Logiques Marchande Et Non Marchande

richesse qui estime la valeur produite sur le territoire national au cours d'une année. Pour ce faire, il comptabilise la valeur des biens et services vendus (le PIB marchand qui est la somme des valeurs ajoutées des entreprises) mais aussi lavaleur de la production des administrations qui est évaluée au coût des facteurs (PIB non marchand). Mais ce mode de calcul n'évalue que partiellement la richesse produite. En effet, de nombreuses activités ne rentrent pas en compte dans le calcul du PIB du fait

management ? Y aurait-il, pourrait-il y avoir, des « modèles indigènes » de management dans le secteur social, qui ne soient pas calquées sur celles du secteur marchand ? On voudrait montrer ici que de telles questions se posent pourtant aussi dans chaque entreprise, même dans celles qui sont les plus soumises aux logiques financières et marchandes. Y aurait-il là des « ponts » à établir ? Le management participe de ce qu’on appelle aujourd’hui la « nouvelle gouvernance » dans le secteur social et médico-social

de la modernité Deux grandes conceptions de la société : le point de vue holiste * Proudhon-Marx vs Tocqueville * Proudhon Système des contradictions économiques (1846) : la société industrielle est une totalité contradictoire, avec une logique propre. * Marx Fondements de la critique de l’économie politique (1857) : analyser la structure sociale. * Le tout comme structure d’éléments, comme unité de dimensions (M. Mauss, un « fait social total ») Il y a différentes dimensions dans

agents économiques et leurs opérations A) Les agents économiques La comptabilité nationale regroupe les agents : En 5 secteurs institutionnels résidents Les ménages Sociétés Non Financières (SNF) Sociétés Financières (SF) Institution Sans But Lucratif au Service des Ménages (ISBLSM) État En un secteur non résident : le RDM (reste du monde) B) Les opérations économiques réalisées par les agents Les opérations sur biens et services Les opérations de répartition (primaire et secondaire)

les fonctions du marketing s’étendent et que le marketing gagne de nouveaux domaines d’application. Une définition classique sera proposée dans un premier temps. Cependant, elle s’applique difficilement à la démarche marketing d’organisations non marchandes. Une définition plus générale, reflétant l’ensemble des activités marketing devient nécessaire. CHAPITRE 1 1 • QU’EST-CE QUE LE MARKETING ? Le marketing, terme anglo-saxon introduit en France dans les années 50, est parfois défini comme

l’économie et ne s’arrête qu’ la pauvreté et au chômage et a l’exception de certain sociologue il n’explique pas l’économie. Certains sociologue influent (Parsons) laisse à l’économie d’expliquer l’économie et essaye plutôt d’expliquer des phénomènes non rationnel. Puis cela est bouleversé par les économistes (Becker) qui entreprend les outils de l’économie à travers une démarche économiste et développe que tout part d’un calcul rationnel qui consiste à montrer les avantages et inconvénients d’un achat

Réponse Transmission vers un autre destinataire Impression Sauvegarde Liste de diffusion pour les envois d’un même document à plusieurs destinataires Le World Wide Web (HTTP) Une interface écran conviviale et universelle pour des utilisateurs non spécialistes Il bénéficie des dernières avancées technologiques Augmentation exponentielle de la puissance des processeurs Généralisation des interfaces « objet » (Windows) Progrès dans les techniques de compression d’images, de sons,… Il doit

s'est constitué autour des idées de Pierre De Coubertin, gratuité de l’effort, amateurisme et bénévolat en réaction à l'emprise croissante de l’économie sur la société. C’est pourquoi les dirigeants ne souhaitent pas mettre en lumière la dimension marchande du sport dont une partie était souterraine. Le retournement s'est opéré dans les années 80 avec la médiatisation croissante du sport et l'arrivée massive et plus visible de l’argent dans le sport professionnel via les partenariats. De plus, la relation

→ économie monétaire = la monnaie est un élément fondamental et qu'on ne peut pas éliminer de la représentation de l'économie marchande. C'est l'économie des pré-classiques (Aristote, D'Aquin et les scolastiques, le mercantilisme, Marx, Keynes..). Pour D'Aquin, la monnaie a un rôle fondamental car elle trouve l'origine de son rôle dans le consentement des marchands à l'utiliser. Le mercantilisme est le courant qui développe l'économie politique comme art du gouvernement. L'émergence de

ce qu'il voit. Ce texte sur la gratuité prend racines dans mon histoire personnelle. C'est elle - engagements, expériences, lectures, conversations… - qui en a créé la motivation et fourni l'aliment. La pensée comme témoignage critique. Non pas mise en système, mais mise en relation. Avec l'espoir que ce témoignage atteindra d'autres hommes, d'autres centres de pensée qui sont eux aussi placés sur un poste de guet au paysage unique, que de cette rencontre naîtra la vérification des idées