Logorrhée

manque de mots, créant ainsi une atmosphère lourde ou suscitant l’attente et le malaise du spectateur. [1.4.2. La parole vidée de son sens : parler pour parler] Ailleurs, la parole est omniprésente, mais vidée de son sens, et devient une longue logorrhée, quelquefois sans suite ou sans logique, ou encore sans aucun sens : lorsque Vladimir et Estragon attendent Godot, ils ne cessent de parler mais pour ne rien dire ni vraiment raconter. La pièce de Beckett Oh les beaux jours déroule un monologue à

liberté syndicale, le droit de grève, le droit à la négociation collective et le droit à la gestion des entreprises. Les lois et les règlements Le code du travail : codification de tous ces textes législatifs et réglementaires. La doctrine parle de logorrhée (avalanche de paroles contradictoires, l’abus de textes) A travers le changement, le législateur communique Principe de contingence : raisonnement dans l’immédiateté « Légiférer mieux c’est légiférer moins Les sources négociées Les conventions

concerne le territoire et non ses habitants. Il aime l’Afrique mais pas les Africains. L’Afrique mortifère de Cal On sait déjà que pour Cal l’Afrique et plus encore ses habitants sont obsessionnellement menaçants. Il soulage sa paranoïa par une logorrhée d’insultes : l’Afrique si souvent nommée (15 fois) est une «saloperie», «pire que tout», «un trou» où «tout est pourri». De même, les Noirs sont toujours désignés «nègres» (12 fois), «boubous» (11 fois), «bouffeurs de chiens», «salauds». Le territoire

(v. 1036 à 1041, acte II, scène 9). C'est un écorché vif, sans cesse sur la défensive et qui, de ce fait, passe sans cesse à l'offensive. Car le personnage public, «le paraître», s'il parle le plus fort possible, s'il s'engage dans une logorrhée inouïe pour affirmer son indépendance (v. 966 à 1041, acte II, scène 9 – tirade des «Non, merci»), n'est-ce pas pour ne plus entendre le désarroi qui hurle en lui ... A la fin de ce célèbre monologue - véritable ode à la liberté sociale - son ami

type de dépression : * La dépression unipolaire : un seul type de manifestation et se soigne relativement bien) * La dépression bipolaire (= dépression maniaco-dépressive): elle est constituée de 2 phases : * une phase maniaque : Logorrhée (parle bcp) , forte confiance en soi , un optimisme exacerbé * et une phase dépressive : La dépression bipolaire a une connotation génétique plus importante que la dépression unipolaire , les traitements ne marchent pas toujours. La dépression

tranchant comme un couteau qui serait comme un rasoir Le gâteau, vous l’avez bien compris, il était fabriqué d’ingrédients faciles 56 Sorte de pause batarde : Monsieur loyal : Ouais, et une fois que t’as dit ça ? C’est pas fini cette logorrhée ? je sais pas j’ai pas appris C’est commencé Ça fait longtemps Elle 1 : Ça va finir Ça tape entre l’ancien et le nouveau et le futur est son royaume (Jean Ferrat) Monsieur loyal : Elle 2 Elle 1 : : L’animal humain Et les

instrumentalisés au bénéfice des intérêts des adultes. II. - LE MYTHE DE L'ENFANT-ROI Si nous précisons que pour nous l'enfant-roi est un mythe au sens où l'enfant n'est pas roi dans notre société, le propos paraîtra pour le moins paradoxal, tant la logorrhée sur les « droits de l'enfant » a convaincu tout un chacun de la prééminence absolue de l'« intérêt supérieur » de l'enfant. Ce discours culmine dans la Convention internationale relative aux droits de l'enfant, qui a fait entrer l'intérêt de l'enfant

antipaludiques V - 1 Effets indésirables par appareils Neurologiques : • Neuropathies sensitivomotrices (paresthésies) • Acouphènes • Baisse de l'acuité auditive • Tremblements • Céphalées et étourdissement • Convulsions • Ataxie Psychiatriques : • Logorrhée • Anxiété • Agitation, agressivité • Attaque de panique • Humeur dépressive • Troubles de la mémoire • Troubles du sommeil • Confusion • Hallucinations • Réaction psychotique ou paranoïde • Idées suicidaires Hématologiques : • Thrombopénie • Leucopénie

: «à 63 ans et mèche» ; - «mettre les bouts» : partir : «il a mis les bouts tout à l’azimut» (page 113) ; - «ce ne sont pas mes oignons» (page 64) : « ce ne sont pas mes affaires » ; - «pédaler dans le verbe» (page 128) : « se lancer dans la logorrhée » ; - «pétrin» (page 100) : « situation embarrassante dont il semble difficile de sortir » ; - «putain» : «de toute ma putain» (page 54), au lieu (pourquoi?) de l’expression complète : «de toute ma putain de vie» ; - «putes» (page 37) ; - «rentrer

ou à l'Odéon. Je ne comprend pas grand chose à ce qui s'y dit mais j'y participe avec jubilation : je sens qu'il se passe quelque chose. Je crois que la société peut changer. J'ai l'impression de participer à un mouvement social. Je découvre la logorrhée marxisante des groupuscules vis-à-vis desquels je suis très ambivalent. Leur radicalisme me fait peur, leur terrorisme verbal m'exaspère, leurs objectifs révolutionnaires m'attirent. Je me sens solidaire de leur combat contre la répression mais je