Logos

physicien mathématicien de la grecque antique Articulation en 3 temps du discours : logos cerveau = logique raison structure, sert à convaincre ethos contact = style sympathie, crédibilité, sert à séduire qui veut dire détourner du droit chemin pathos cœur = passion émotion sensibilité, sert à séduire aussi I le logos ou la rationalité tout argument qui engage la rationalité se situe du cote du logos, c'est le pole de la logique, de la démonstration mathématique. Il définit également des

Éléments de logique stoïcienne Notion de la raison (logos). L’objet de la dialectique est le lékton, soit cet incorporel qui fait le sens de nos discours. Le terme de logos peut servir à désigner la partie de l’âme qui distingue l’homme des autres animaux : “ La raison n’est pas autre chose qu’une part de l’esprit divin plongée dans le corps des hommes ” (Sénèque, Lettres, 66, 12). Il est alors syno- nyme de noûs et dianoïa. Mais les Stoïciens lui font aussi désigner, plus souvent que la

doté l’homme du langage (du logos mot grec qui désigne également la raison ou le discours argumenté). Phrase 5: « Certes la voix est le signe du douloureux et de l’agréable, aussi la rencontre-t-on chez les animaux ; leur nature, en effet, est parvenue jusqu’au point d’éprouver la sensation du douloureux et de l’agréable et de se les signifier mutuellement. » Pour bien nous faire comprendre en quoi consiste cette spécificité de l'homme, Aristote oppose lle langage (logos) à la voix des animaux (phonè)

et de l’espace. On peut d’ailleurs mettre en comparaison cela avec une phrase de la bible, dans l’évangile selon Jean “au commencement était le verbe”. Dans les anciens textes le mot “verbe” se traduit par “logos” en grecque, et logos signifie la raison, l’esprit ou encore la pensée. Le logos est en rapport direct avec l’idée, c’est le monde des idées. Dans la bible la phrase “au commencement était le verbe ” reviendrait donc à dire que commencement était les idées, les pensées. Ceci montre bien

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violence dans le sport. Johan Heilbron et Maarten van Bottenburg dans l’essai Le monde diplomatique décrit les brutalités que l’on retrouve dans le sport qui sont très médiatisées et pas du tout caché au grand public. Pascal Duret dans l’essai Socio-logos, analyse les valeurs que les jeunes accordent au sport à travers leur perception du coup de tête donné par Zinedine Zidane au joueur italien Materazzi lors de la finale de la coupe du monde de football de 2006. Le romancier français Laurent Mauvignier

enseignant c’est être héritier d’un passé et être un passeur. I. L’antiquité : le logos a) Le contexte Socrate est considéré comme le premier philosophe. Au Vème siècle avant JC, le discours qui prédomine est le mythe (mytho). Il y a une incidence sur la vie des grecques. Discours dominant est le religieux, avec une religion polythéiste ; cette religion décline car ce qui va prédominer c’est le logos. Le logos est le discours, la parole, la mesure, les sciences. Dans ce contexte, la parole va

destin. Or, cette découverte, qui n'est autre que celle de la liberté, constituera un axe majeur du développement de la rationalité occidentale. C'est donc en analysant pas à pas différentes expressions de ce passage tellement fécond du muthos au logos, et en suivant tout aussi bien les chemins de la vérité triomphant des sophismes que les survivances, surprenantes parfois, de la pensée mythographique, que nous pourrons apercevoir, dans l'espace culturel de la Grèce de Périclès, l'avènement d'une

moyen de résistance à la dégradation des mœurs publiques dans une époque troublée. Le « summum bonum » (le souverain bien), c’est-à-dire ce que l’on cherche à atteindre, est la vertu, la beauté morale. [pic] Zénon Sa logique : Il existe un logos : une providence divine, un feu qui assure l’harmonie et la rationalité du monde. Notre raison est une « étincelle de cet esprit divin » ; l’homme doit donc donner son assentiment à l’ordre du monde. Son éthique : Il faut éviter les passions

fournir à la rhétorique une fonction bienfaisante ; à quelles conditions en a-t-elle une. La rhétorique, comme dit plus tôt, est l’art de la parole. C’est donc un art de la raison, du logos, car toute activité contenant langage implique réflexion, comme l’explique Isocrate dans Sur l’échange, avançant que, grâce au logos, l’homme s’est “affranchi de la vie sauvage”, a délaissé les simples sensations et perceptions animales pour la délibération. C’est aussi ce que montre Aristote en déterminant les trois