Loi du talion

enjeux en France ? Après une définition puis d’un rappel historique, nous montrerons en quoi ce débat sur l’application de la peine capitale est encore sujet à controverse en France. La peine de mort ou peine capitale est une peine prévue par la loi consistant à retirer la vie à une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de « crime capital ». La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est

système judiciaire, il n’en reste pas moins qu’elle n’est pas la plus appliquée. Arrive en première position la peine pécuniaire. En effet du point de vue historique celle-ci précède largement la peine privative de liberté. Avant tout il y avait la loi du talion, l’idée donc de sanction au même niveau que le crime, autrement dit « œil pour œil, dent pour dent ». Ensuite celle-ci a été progressivement remplacée par la peine pécuniaire qui, elle, a fait son apparition en même temps que les notions de compensation

physique et morale). 2. Un constat pénible • Vers 34 : « Un monde d’innocents se tue et se torture » comporte une allitération en [T] et [D] pour accentuer la dureté de la situation. Les verbes pronominaux (se tuer, se torturer) rappellent la loi de Talion, le sujet « Monde » comprend une impression de massacre collectif, puis la présence du paradoxe est rajoutée à l’incompréhension. 3. L’indifférence des Hommes Sous la plume d’Anouilh, on trouve du registre pathétique lié à la souffrance des différents

physique et morale). B.2. Un constat pénible Vers 34 : « Un monde d’innocents se tue et se torture » comporte une allitération en [T] et [D] pour accentuer la dureté de la situation. Les verbes pronominaux (se tuer, se torturer) rappellent la loi de Talion, le sujet « Monde » comprend une impression de massacre collectif, puis la présence du paradoxe est rajoutée à l’incompréhension. B.3. L’indifférence des Hommes Sous la plume d’Anouilh, on trouve du registre pathétique lié à la souffrance

est de l’individu, punir est de Dieu" ; cette dernière formule a les accents d’un nouveau commandement qui s’oppose à celui du talion : "Œil pour œil, dent pour dent.". En outre, aux formules d’obligation impersonnelles et presque vidées de leur sens ("Il faut"), V. Hugo répond par le verbe "devoir", comme si le devoir de justice qui fonde le droit, devait s’opposer à une loi perverse qui ordonne la mise à mort. Dans l’ensemble du texte, le ton est grave, impérieux, et, sous l’ironie, se fait sentir

les gouvernements. D'autres utilisent un système de common law comme le Royaume-Uni. Et un petit nombre de pays continue de fonder leurs règles sur les textes religieux. Par exemple alors que la France a adopté la loi de séparation des églises et de l’État le 9 décembre de 1905, la loi juive établit une réglementation dans de très nombreux domaines, ces lois sont basées sur les versets de la Torah, elles obligent certaines prières et bénédictions, le Shabbat et les fêtes religieuses. Les règles

1.Etude d’enssemble A. La loi «définition» a. Processus législatif b. Nom d’une loi B. Règle de forme C. Portée d'une loi 2. La loi faîte par qui? Annexes : les différentes lois. A. La loi «définition» et exemple de loi en France. Au sens strict du terme, la loi est une règle, générale et impersonnelle, d’abord proposée (proposition de loi) puis élaborée par le pouvoir législatif (loi d’origine parlementaire : loi ordinaire, loi organique, loi de pleins-pouvoirs) ou exceptionnellement

quoi sert le droit : à organiser la vie société. Le droit défini les droits et les obligations de chaque individus afin de garantir la paix social et l’ordre dans la société. Le droit va mettre fin à une règle « œil pour œil dent pour dent » loi du Talion. Je te rendrais ce que tu me feras. L’essence du droit se trouve dans la morale et la religion qui l’on fortement inspiré. La notion du bien et de mal on l’a retrouve aussi en droit. Dans le code civil notion « bon père de famille », ex : gérer

Erinyes deviennent les « Bienveillantes », c'est-à-dire des Euménides. On peut même aller plus loin en disant qu'elles s'humanisent. Tout d'abord, elles s'humanisent car elles ne veulent plus incarner la loi du sang, la « loi du talion » qu'elles ont fait subir aux générations précédentes. Cette loi consiste à venger un meurtre par le sang. Le spectateur leur découvre également des caractères humains à l'acte II scène 3 : « Nous avons appris ce que contient la vie, c'est fabuleux ». Ici, nous pouvons

de penser que l’un de ces deux aspects prime sur l’autre et le détermine. N’existe-t-il pas en chacun de nous un « sens de la justice » qui nous rend apte à évaluer et juger les décisions et actions, ce sens de la justice étant alors l’origine de la loi et du droit ? Cela est possible, mais on ne peut cependant manquer de constater la diversité des pratiques de justice d’une région ou d’un pays à l’autre. Pascal écrivait : « Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Nous sommes indignés lorsque