Lois De Newton

Dioptres et miroirs quelconques les lois de Snell-Descartes s'appliquent localement pour chaque rayon. Il faut insister sur le fait que les lois, précédemment définies, n'exigent en rien la planéité de l'interface : ce sont des lois locales applicables si l'on peut définir une normale à l'interface au point où le rayon l'atteint (point d'incidence). Les lois de Snell-Descartes s'appliquent donc lorsque les surfaces sont non-planes. L'application des lois de la réflexion et de la réfraction permettent

abstraites. Les science pures ou autrement dit les mathématiques et la logique ne sont donc pas un secret pour lui. Cependant pour fournir tous ces raisonnements déductifs il a fallu réfléchir de longues heures et rester rationnel pour trouver les bonnes lois et les bonnes relations, chose qui n'est pas donnée aux autres espèces. De plus l'Homme ne sait pas quelque chose il l'expérimente une première fois puis une deuxième et encore des centaines voir des milliers de fois et quand il retrouve une constante

innées 20 3. La perception elle-même est intellectuelle 21 4. Le système déductif du savoir (Descartes) 22 B. L’empirisme : le système hypothético-déductif de Newton 22 1. Il n’y a pas de connaissance a priori 22 2. La raison elle-même provient de l’expérience 22 3. Le système hypothético-déductif de Newton 23 C. Le problème de l’induction 24 1. Le problème de l’induction 24 2. La validité de l’induction dépend du cadre théorique 24 3. La solution de Popper

moins crédible aux yeux des gens. Sir Isaac Newton, physicien, mathématicien et astronome anglais, né à Woolsthorpe (Lincolnshire) (1642-1727) donne une forme nouvelle au rationalisme cartésien. L'homme de science affirme qu'il existe un principe rationnel valable dans tout l'univers et ce principe doit forcément servir de juste base à toute la pensée humaine. Le premier philosophe a avoir appliqué les principes du rationalisme issu de la démarche de Newton est sans doute Gottfried Wilhelm Leibnitz

voir que la logique s’occupait de la validité, c'est-à-dire de la cohérence interne des jugements, et pas de leur « vérité » au-delà de cette sphère. La logique opère sur un plan purement formel. Wittgenstein va encore plus loin car pour lui, les lois logiques sont vides de sens, au sens où elles ne nous apportent aucune connaissance sur le monde : ce sont toujours des tautologies. Il distingue plusieurs types de proposition qui sont censées cerner l’ensemble des propositions que nous pouvons faire

des connaissances, qui pourtant ne s'illustrent pas en lois irréfutables et universelles. Ce que d'ailleurs N.G. Mankiw induit, lorsqu'il met en alerte sur le caractère hypothétique de l'analyse ne s'appliquant pas à tous les cadres de figure. Après un bref débat autour de la démarche scientifique, voyons maintenant pourquoi les connaissances produites par l'étude économique n'assurent aucune loi fondamentale, au contraire de la gravité de Newton en physique par exemple. Pour André Orléan, l'explication

résout à adopter l'ellipse comme trajectoire des planètes. Galilée veut prouver la validité du système de Copernic. Il décrit un monde clos où les planètes tournent autour du Soleil d'un mouvement d'inertie parfait, éternel; un monde où les mêmes lois physiques régissent le Ciel et la Terre. Sa méthode scientifique admet l'expérience comme critère de validité: la science doit permettre à l'homme de comprendre les actes de Dieu - sa création. L'astrologie est exclue de la pensée rationnelle. Cherchant

que la thèse à rejeter est solide. C’est pourtant ce à quoi s’attela Newton rejetant l’héritage du passé de la physique d’Aristote, il étudie les mouvements des corps sous un nouvel angle. Alors que dans l’antiquité les mouvements étaient partagés en deux selon l’évidence des observations: les chutes rectilignes, mouvements imparfaits du monde sublunaire, et les mouvements circulaires, du monde supralunaire « parfait », Newton rejette ces certitudes. Le physicien à partir de la chute d’une pomme

Galilée imagine la lunette astronomique. S'appuyant sur des relevés d'observation très précis faits par le grand astronome Tycho Brahe, Kepler est le premier à imaginer un système de lois régissant les détails du mouvement des planètes autour du Soleil. C'est Isaac Newton qui, en décrivant la gravitation par ses lois du mouvement, la rend universelle et permet finalement de donner une explication rationnelle au mouvement des planètes. Il invente aussi le télescope réflecteur, qui améliore les observations

particulier, jointe à ses travaux en géométrie algébrique où il introduisit le système de coordonnées dit cartésien, elle servira de base avec les ouvrages de Galilée et Kepler aux travaux de Newton qui cependant ira beaucoup plus loin que Descartes, aussi bien en mathématique qu’en physique. On doit à Descartes les lois de la réfraction en optique, qu’il redécouvre indépendamment de Snell. Sa conception de l’origine du système solaire sera reprise et étendu par Kant, Laplace et par Carl Friedrich Von