Lois Lane

contre les lois divines et humaines. Il est un amour fou entre les deux, car quand ce vin herbé commence cesser de fonctionner, Iseult pense irrésistiblement à Tristan, et Tristan la même chose. Pour ne pas se rendre déprimer pour le reste de sa vie, Tristan épouse Iseult aux Blanches Mains vraiment pour vaincre les conséquences du poison. On pourra dire que ce mariage s’est passé en dépit de l’amour que les deux amants avaient envers eux. L’amour entre Tristan et Iseult surpasse tous lois de religion

régime Athènien au temps de la démocratie antique comme exemple de démocratie directe et représentative. Il nous explique qu'une partie des gouvernants étaient tirés au sort ou élu. • L'Ecclésia est l'assemblée de citoyens qui se réunit et vote les lois à main levée et à la majorité simple. N'importe quel citoyen peut prendre la parole et proposer une loi . C’est le propre de la démocratie directe selon Manin. • La Boulè est souvent appelée « Conseil des Cinq Cents », car, elle est composée de 500

deux et au fil des années une rivalité s’est crée ce qui a voulu que l’on hiérarchise d’une certaine manière ces deux sources de droit en finissant par mettre en doute si la coutume en est vraiment une, ce qui ne faisait pas vraiment débat avant les lois écrites. Renier d’où l’on vient, renier une partie de ses origines ne conduira-t-il pas à la perte de loi ? La coutume a-t-elle encore véritablement un rôle à jouer de nos jours? La loi peut-elle à elle seule régler tous les problèmes de la société

Bérénice est une pièce de théâtre tragique écrite en vers par Racine en 1670. Elle évoque la difficulté du choix entre l’amour et le devoir. Bérénice, reine palestinienne et Titus, empereur romain, s’aiment d’un amour réciproque. Mais les lois romaines ne permettent pas à l’Empereur d’épouser une reine étrangère. Dans l’acte IV scène 5, Titus annonce à Bérénice qu’ils ne peuvent pas s’unir en raison de son statut d’empereur. A travers les deux tirades de Bérénice, la passion de la reine s’exprime

République désigne avant tout l’objet même du pouvoir politique  : le bien commun, la chose publique (" res publica "). Par suite, | |bien sûr, c’est l’Etat de droit, un gouvernement légitime (i.e. : le pouvoir ne s’exerce que sur des hommes libres, les lois ne sont pas| |répressives mais plus précisément, limitent les libertés afin qu’elles s’accordent entre elles et au bout du compte soient mieux | |assurées, etc.).

vivent ac modérat°, éloge de ceux qui vivent ds la démesure. 3ème partie : L. 22 à 44 Calliclès fait l’apologie de la vie tyrannq. Pr lui l’H le + heureux est celui qui vit sans modérat°, ds la tyrannie. La modérat°, la sagesse , l’obéissance aux lois st pr Calliclès des convent° hypocrites. On a ts un désir de la tte puissance, de la tyrannie en ns. Argument Calliclès=arg. cynique. Le cynq prétend à certaine lucidité. Pr Calliclès, le désir inavouable de l’H est la tte puissance. 4ème partie

A QUOI SERVENT LES LOIS? Selon l'article 6 de la DDHC de 1789, «la loi est l'expression de la volonté générale» qui émane du peuple souverain. Le mot loi est couramment employé pour désigner la règle de droit elle-même; il s'agit alors de la loi où des lois au sens matériel, c'est-à-dire considéré d'après leur objet qui consiste à édicter une norme. On peut donc ce demander à quoi servent les lois? Pour répondre à cette problématique, nous allons analyser les sources et les caractères de loi

une infinité de situations paraît heurter le bon sens. C’est la raison pour laquelle Portalis écrit : « les lois, une fois rédigées, demeurent telles qu’elles ont été écrites ; les hommes, au contraire, ne se reposent jamais (…) [ce qui] produit à chaque instant quelque combinaison nouvelle ». La loi ne peut donc tout prévoir, quoi qu’en veuille le législateur qui peut, à force de créer des lois, croire que toutes les situations seront maîtrisées. Par ricochet, ne rien abandonner au juge est un leurre

universelle. Mais il faut distinguer deux types de lois. b. Les lois naturelles ou scientifiques Les lois de la nature sont les principes universels selon lesquels se produisent nécessairement les phénomènes naturels : ceux-ci constituent l'objet propre des sciences de la nature. Telle est par exemple la loi de l'attraction universelle de Newton. Ce sont des lois constatives ; elles renvoient à ce qui, en fait, est ou advient dans la nature : « Les lois de la nature, dit Kant, ne traitent que de ce

avoir des citoyens unis, et non divisés en fonction de leur lieu d'habitation ou de leur métier ; ensuite, la participation de tous à la vie politique, c'est à dire en grec, à la vie de leur cité ; enfin, le partage des pouvoirs entre ceux qui font les lois, ceux qui les font appliquer, et ceux qui les font respecter. Le système est donc beaucoup plus juste et égalitaire que tout ce qui a pu exister en Grèce jusque là. C'est une vraie révolution politique. Le système donne donc aux Athéniens la possibilité