Lois Nuremberg

Pour vivre dans une société d’une façon ordonnée et respectueuse, il faut un système qui régit des lois et qui les fait respecter. Dans le Criton de Platon, on discute de la façon de réagir face à une loi injuste, Criton propose d’y désobéir tandis que Socrate propose l’inverse. Mais qu’est-ce que la justice? La Justice est à l’âme ce que la santé est au corps. L’une et l’autre renvoient à la notion d’ordre, d’équilibre, de mesure, de proportionnalité et d’harmonie qui sont pour les Grecs le principe

choix d’accepter sa sentence puisqu’il s’agit d’un choix de raison. Il ne veut pas seulement le persuader en l’éblouissant par son sens de la rhétorique mais il tient à ce qu’il saisisse le sens de sa réflexion : le devoir, le nécessaire respect des lois. Ses arguments sont les suivants : • L’obligation de prendre en considération l’opinion du plus grand nombre qui est à même de nous faire périr… (réputation compromise, enfants non élevés) • La prévalence de vivre bien (sous entendu en accord

D'une part, Thrasymaque affirme que la justice, c'est l'intérêt du plus fort. Celui-ci définit le plus fort comme étant en fait le gouvernement, car peu importe le régime politique en place, > . Or, l'intérêt devient alors ces lois instaurées par le gouvernement. Une fois ces lois établies, le peuple se voit contraint de les suivre. Dans le cas contraire, il est puni pour l'injustice qu'il a commise, puisque désobéir est injuste. Cette définition est encore applicable aujourd'hui. Examinons le cas du

sociale, ou loi sociale, est l'exposé de tendances sociales ; c'est-à-dire qu'elle indique qu'on peut, dans certaines conditions, s'attendre à voir les membres d'un groupe social agir d'une certaine façon » et « Les lois économiques, ou exposés de tendances économiques, sont, parmi les lois sociales, celles qui s'appliquent aux catégories d'actes pour lesquels la force des mobiles en jeu peut se mesurer par un prix en monnaie.

vivre en cité. - L’être qui ne fait pas partie d’un cité, n’est pas un être humain (bête ou un dieu) - La nature décide qui sont les maîtres, qui sont les esclaves, quel est le sexe fort, le sexe faible, qui a de la force, qui n’en a pas, ce sont les lois de la nature. - Quand on est inférieur, c’est une sureté d’être soumis à l’homme, il est mieux de se soumettre à l’autorité de l’homme. - Les citoyens qui ont le pouvoir, ce sont eux qui gèrent la vie politique donc le fonctionnement de la cité.

détaillé : I. Des lois sont votées pour consolider la République 1. Les lois scolaires de J. Ferry (1881 et 1882) ont pour but de développer l’attachement à la République. - contenu et objectif des lois - les instituteurs, « hussards noirs » de la République 2. L’influence de l’Eglise, qui a soutenu les régimes autoritaires, est réduite par la loi de 1905. - contenu de la loi => liberté de conscience. - conséquences (oppositions, inventaires) Conclusion partielle : Des lois permettent donc

individus. Mais la justice n'est qu'un concept et les lois en sont le fruit matériel. Elles sont le reflet d'une société organisée suivant des règles que chaque individu est tenu de respecter au risque de se voir sanctionner. I. La notion de justice chez le philosophe Platon A. Définition de la justice B. L'objet et les fonctions de la justice II. Le concept de « Lois » chez Platon A. Définition de la loi B. L'application des lois III. Le Bien et le Juste A. La Justice nécessaire

conflits de lois dans le temps » La loi est une disposition normative et abstraite posant une règle juridique d'application obligatoire. Après l’adoption d’une loi, le Président de la République doit la promulguer sous 15 jours afin de paraître dans le bulletin officiel. Alors, elle devient effective sur tout le territoire français un jour franc après la publication, et l’adage « nul n’est censé ignorer la loi » prend acte. Le phénomène législatif qui induit la multiplication des lois et des réformes

de créer de nouvelles divinités et de corrompre la jeunesse. Ce philosophe en question, Socrate, croit « qu’il faut toujours respecter les lois et si on n’est pas d’accord avec elles, il ne faut pas les enfreindre, mais plutôt tenter de les modifier ». Il est alors possible de se poser la question suivante : « Socrate a-t-il raison? », considérant que les lois sont un ensemble de règles qui précisent ce qui est permis et ce qui est interdit, selon la société, au niveau politique. Dans le texte qui

aussi allusion à l'histoire d'une jeune femme condamnée pour avoir été jugé trop libertine chaque fois qu'elle tombait enceinte. Dans le dernier chapitre, A et B approuvent les mœurs tahitiennes, il remettent même en cause leur civilisation et leurs lois artificielles, arbitraires et contradictoires. Il passent alors, l'une après l'autre les conventions de la vie amoureuse que donnent le code civil et religieux pour savoir si elles viennent de la nature ou pas. Leur dialogue s'arrête une fois que le