Lombroso

appel à des experts psychiatriques qui décident de la responsabilité pénale des personnes invoquant un trouble mental. Dans l’histoire il y a eu 2 grands courants d’explication du phénomène criminel : Les positivistes : école biologique Cesare Lombroso, chef de file de l’anthropologie criminelle : il étudie les cranes de criminels pour identifier le criminel né à travers les stigmates déformatives, les caractéristiques physiques et physiologiques. Ecole dangereuse car stigmatisante. Ecole Sociale Enrico

faille pas considéré l'anormalité négativement, a contrario elle est nécessaire puisqu'elle permet de délimiter les bornes de la normalité. La déviance peut-être comprise selon trois approches différentes : La première est celle énoncée par Césare LOMBROSO, au XIX°siècle, qui donne une explication biologique de la déviance, il pense que le crime est une pathologie congénitale. Mais cette première approche n'est plus prise en compte par les sociologues. L'approche suivante est celle d'Émile DURKHEIM

notion d’état dangereux. Le droit pénal pourrait intervenir sur les individus qui présenteraient un état dangereux. Des chercheurs ont établi des tables de prédictions de la récidive. Ici, le criminel serait un malade et la délinquance une maladie. Lombroso parlait de « microbe social ». II. En ce qui concerne la peine Dans un système subjectif, la peine va avoir des fonctions particulières et un régime juridique particulier. Les fonctions : A partir du moment où le criminel a une personnalité particulière

modération de la peine. 3) La pensée positiviste Elle se développe dans la seconde moitié du XIX siècle sous l'influence de la philosophie d'Auguste Comte. On situe sa naissance en Italie avec la parution de L'homme criminel de Lombroso. Il situe l'explication du crime avec des facteurs biologiques notamment du fait de certaines anomalies crâniennes. Enrico Ferry écrit dans cette continuité La sociologie criminelle et Garofalo écrit La criminologie. Cette pensée positiviste est

A quelle distance sommes-nous de nos ancêtres simiesques ? Pas très loin selon les criminologues du 19ème siècle César Lombroso et Max Nordau, qui pensaient que l’homme violent possédait un visage "primitif" avec de larges mâchoires et un front proéminent. En mesurant le tour de tête de criminels Italiens, Lombroso croyait pouvoir cibler le criminel violent. - Bien que Lombroso et son système de mesures aient été discrédités depuis longtemps, le concept d’une brutalité animale refoulée en l’homme

collectifs de la délinquance, et les milieux immédiats dans lesquels baignent la personnalité du criminel ( par exemple sa famille). C’est d’abord l’école marxiste mais aussi nord américaine. Enfin, la biologie criminelle apporte aussi sa contribution : Lombroso domine. Il étudie l’ordre criminel, le point de départ de la criminologie. Sa thèse était que les criminels présentent des comportements stigmatiques. Il avait établit la théorie de « criminel né ». La biologie criminelle a connu d’autres développement

décider. Pour Lombroso, le système pénal doit neutraliser les personnes dangereuses si elles sont passées à l’acte et les traiter comme des patients. Il y a selon lui des criminels « récupérables », que l’on peut traiter, et des irrécupérables, pour qui on ne peut rien faire qu’il faut éliminer. Peine de mort, ou peine de relégation (travaux forcés dans les colonies). L’aspect biologique de ses idées étaient contestées, mais pas l’aspect philosophique. Ferri va reprendre les idées de Lombroso, mais avec

Un fait : il est classique de considérer la délinquance juvénile plus fréquente chez les garçons que chez les filles. 9.2. La genèse de la délinquance juvénile a. Les facteurs constitutionnels et somatiques : On parle du « criminel-né » (cf. Lombroso, C. cité par Heuyer, G. (1968) ayant un type somato-psychique spécifique. Cette notion est actuellement battue en brèche par la plupart des auteurs. La tendance à l‟acte n‟implique pas nécessairement la fatalité de l‟action, mais elle favorise

monistes « moniste » parce que mono=seul , les premières expériences criminologiques sont qualifiées de monistes car elles proposent une origine au phénomène criminel mais ne retienne qu'UN facteur . *Le courant Anthropologique : Le chef de file est Lombroso et s'efforce de rechercher les coïncidences entre les caractéristiques anthropologique de l'individu et son comportement criminel , il va même jusqu'à travailler sur l'importance de l'hérédité dans la délinquance ce qui va le conduire à élaborer

catégories : catégorie naturel-nutrition, naturel-mouvement (sévère,…), naturel-sensibilité, inharmonie (criminels), etc. Conclusion : partout, on n’engage que les personnages qualifiés mais aussi harmonieux avec les autres. L’anthropologie criminelle C. Lombroso. Il a l’idée que le tempérament criminel est inscrit dans la physiologie de l’individu. Sa théorie a un grand succès ; elle se propose comme une science qui présente le criminel comme un individu humain dégénéré, avec des traits anciens (simiesques)