Lombroso

l’inégalité à l’égalité de tous devant la loi et la responsabilité collective à la responsabilité individuelle. ECOLE POSITIVISTE ITALIENNE Cette école prend en compte la personnalité pour déterminer la peine. Les précurseurs de cette école sont LOMBROSO qui explique que la criminalité s’explique par la présence d’atavismes c’est-à-dire caractères ancestraux que le délinquant porte en lui et faisant de lui un criminel-né, soit un aliéné, soit un criminel par passion. GAROFALO définit le délit

celle-ci et éventuellement les remèdes que l’on pourrait y apporter. Elle s’intéresse donc a la genèse de l’infraction. Il existe 3 fondateurs de la criminologie qui sont italiens. Le premier reconnu comme le père de l’anthropologie criminelle est Lombroso (1835-1909) qui développe la théorie du criminel né dans son ouvrage majeur « l’homme criminel » datant de 1874. Il est avant tout médecin et va étudier les caractéristiques morphologiques des délinquants, et à partir de ces constatations, va effectuer

l'ont expliqué les sujets. De ce fait l'opération se déroule fréquemment en état d'alcoolisation afin de mieux supporter les effets secondaires. L'idée de l'hyposensibilité ou de l'insensibilité à la douleur, qui persiste depuis les travaux de Lombroso, ne peut être retenue. Le tatouage tel qu'il est pratiqué dans les prisons n'est pas douloureux, au contraire des tatouages par incision profonde pratiqués dans certaines peuplades. LA PEAU La peau forme la limite de notre corps ; elle

la réflexion sur l’identité trouve son intérêt. C’est aussi l’approche criminologique qui a longtemps été retenue. Quelle structuration de l’identité permet d’expliquer la déviance criminelle, la poussée criminogène ? Au-delà de l’approche de Lombroso sur les profils morpho-psychologiques du criminel, il est intéressant de voir qu’une approche criminologique consiste à voir dans la socialisation et l’inculcation des normes et valeurs, le levier contre la délinquance. Les déviances représenteraient

l’inefficacité de la modération de la peine. L’école positiviste avait d’autres idées à proposer à ce titre. b- L’Ecole Positiviste Le droit pénal a été profondément bouleversé par la doctrine positiviste. Cette école a été créée par trois Italiens : Lombroso (1836-1909) Professeur de médecine légale à Turin, il a écrit Uemodélinquantee en 1876 (homme criminel). C’est le maître des deux autres qui vont approfondir mais parfois nuancer sa théorie. Ferri (1856-1928) Professeur de droit et Avocat à Rome

ème on part d’un préjugé qui est l’anormalité du criminel= le criminel est différent des honnêtes gens. On part d’emblé dans l’étude du criminel et pas du crime. On part du fait qu’il est anormal et on pense qu’elle est physique et psychologique. Lombroso va développer théorie de l’atavisme = le criminel est différent que pour lui ça se voit même à son crane. Il a examiné crane de détenus dans prisons italiennes, … à partir de ses études il remarque que les criminels sont physiquement différents :

du traitement qui, généralement, s'organi- sent autour de deux pôles: la dangerosité du sujet et ses possibilités de réinsertion4. Toute l'histoire de cette criminologie clinique dominante est marquée par cette préoccupation. Elle est affirmée par Lombroso : «On doit traiter les criminels individuellement, modifier le traitement suivant le caractère personnel, si l'on veut obtenir un résultat quelque peu satisfaisant. Comment pourrait-on pratiquer la libération condition- nelle, administrer avec succès

Correction dun certain nombre dinfraction Dans le mme temps amlioration du rgime pnitentiaire notamment en posant la rgle de lencadrement individuel Dveloppement des peines coloniales (le bagne) Fin XIX sicle rvolution positiviste. Pour les positivistes (Lombroso Ferri et Garafanano...) le crime est un produit dun dterminisme il y a des causes sociales a la criminalit) Le positivisme ne sest pas poursuivi concrtement par des mesures. Mais il a inspir quelques rformes 1855 cration de la Relgation (loignement

délinquance. Le droit pénal a pour finalité de sanctionner la délinquance et de ce fait de la prévenir. Même si la délinquance n'est pas une notion juridique, elle est donc au coeur du droit pénal. 1) Comment connaître la criminalité ? Selon Ferri, Lombroso, Garofalo, qui font partie de l'école positiviste italienne, il existe une criminalité naturelle, en soi, qu'on peut définir indépendament du droit. Les crimes en soi sont les comportements qui portent atteinte au sentiment de pitié et au sentiment

la moins élevé de ces deux limites le droit de punir pour la société s’arrête ». On ne peut plus condamner soit par ce que ce n’est pas , soit par ce que ce n’est plus utile. - L’école positiviste : portée par des auteurs italien et par Cesare Lombroso qui publie en 1876 « l’homme criminel ». Toute connotation morale n’a rien à faire dans le Code pénal car si une personne commet une infraction elle y était destinée donc on ne peut lui reprocher . Néanmoins, il faut protéger la société de cette