Lombroso

sauf au second empire, et correspond aux idées des criminologues positivistes italiens, qui classent les délinquants en type de délinquant, considérant qu’il y a des types prédéterminés de délinquants. Ils mettent à part les délinquants politiques. Lombroso, criminologue italien de la deuxième moitié du 19ème siècle : «Le délinquant politique a une grande beauté physique, de l’élévation morale, une honnêteté exagérée ». Il y a eu un retour à la sévérité à la veille de la 2nd guerre mondiale. En 1939

sous la forme d’un stigmate imprimé sur le front des mendiants condamnés à la prison, les galériens, les voleurs, les prostituées. Longtemps pour nos sociétés occidentales le tatouage a été associé à la primitivité de ceux qui y recourent . Pour Lombroso ou Lacassagne, criminologues de la fin du siècle dernier, les individus tatoués ne sont que des « sauvages »,le tatouage pouvant être un signe de délinquance, de criminalité. A cette époque encore, les populations concernées plus spécifiquement par

Le phénomène criminel Durkheim avait relevé que le crime s’observe dans toute société. Et l’étude du phénomène criminel est l’objet d’une science qui est la criminologie. Elle est apparue à la fin du XIXème siècle avec deux auteurs fondamentaux : Lombroso et Garofalo. La criminologie n’est pas du droit. Depuis les années 70 on utilise les statistiques, annuellement publiées en France. Ces statistiques donnent une vision partielle de la délinquance : elles donnent les infractions qui ont été constatées

lehr- und lernbar. [L'art peut être enseigné et appris.], pour ensuite présenter une courte biographie sélective d'Alfred Kurella qui le met en relation avec son père, le psychiatre Hans Kurella, avec le psychologue et criminaliste italien Cesare Lombroso (1835 - 1909) et le médecin Max Nordau (1849 1923)329. Via le commentaire en voix-off, nous apprenons que Hans 328 329 Dürers Erben, 21'23'' – 22'10''. Notons que Max Nordau était sioniste et l'auteur d'un ouvrage en deux tomes intitulé

comportements. Ces sciences humaines accouchent de la criminologie. C’est une tentative d’explication du phénomène criminel, du crime en lui même, de la connaissance de la psychologie du criminel. On dit que le père de la criminologie est Cesare Lombroso, médecin militaire et des prisons et qui s’est lancé dans les facteurs anthropologiques de la délinquance. Il a écrit « L’homme Criminel » (1876) où il développe la thèse du criminel né. Dans d’autres livres, il va donner une classification du délinquant

ni plus qu’il n’est utile. La peine est à l’équivalent. Cette école a fait reposer la responsabilité pénale sur la liberté de la personne qui a commis l’infraction. L’école positiviste a cherché un autre fondement que la liberté. Ainsi en 1976, Lombroso a écrit que l’homme est un facteur génétique qui nous pousse à faire une infraction. Ferry va penser que l’idée de commettre une infraction provient de l’état dangereux qui est provenu avant même la commission. D’où l’idée d’intervenir avant par

Charles Lucas, Bonneville de Marsangy. Ils développent le droit pénal sous tout son aspect, ils proposent une exception de peine la plus respectueuse de l’individu. De Marsangy met en place le casier judiciaire. - - Ecole positiviste : Cesare Lombroso, Raffaele Garofalo, Enrico Ferri o Place du déterminisme. L’individu n’est pas doué de libre arbitre. Déterminisme endogène et déterminisme exogène (extérieure à l’individu). o Responsabilité pénale sociale o Mesures de sûreté => réponse à un acte

moins un péché qu’un délit social. 2 / La pensée positiviste. Elle va se développer en même temps que la criminologie. Quand la criminologie. Quand la criminologie apparait on va expliquer le phénomène criminel par la science. 19ème siècle, Lombroso publie un ouvrage qui s’intitule : « L’homme criminel » dans lequel il va dire que le crime dépend de facteur biologique, qu’il existe des criminels nés. Par certaines anomalies crâniennes. Enrico Ferri, «La sociologie criminelle», mais également

de la délinquance, elle ne traite donc pas de la peine et les deux matières semblent parfaitement séparées. En réalité, il existe des liens étroits entre les deux, à tel point qu’à la fin du XIXe on les assimilait cf. école du positivisme italien (Lombroso, Ferri, Garofalo…) : les facteurs de délinquance donnent lieu à une classification des délinquants qui permet l’établissement de mesures particulières pour chaque catégorie (apparition de l’idée de l’individualisation de la répression pénale). Criminologie

adéquate. Selon les différents courants très nombreux, on peut systématiser trois types de causes qui donnent trois courants. A) Le déterminisme constitutionnel. A la base du déterminisme constitutionnel se trouve les travaux d’un médecin légiste Lombroso (il est considéré comme le père de la criminologie). Il a publié un livre en 1876 qui s’intitule L’Homme délinquant. Il a pratiqué des centaines d’autopsie sur des criminelles et sur un groupe témoin. En étudiant les cranes des délinquants, il a