Long métrage

capacité (Daneman & Carpenter, 1980, 1983 ; Turner & Engle, 1989), et d’études empiriques destinés à décrire ses relations avec l’attention (Cowan, 2005 ; Engle, 2002), l’intelligence (Kane, Bleckeley, Conway, & Engle, 2001) ainsi que la mémoire à long terme (Rosen & Engle, 1997). En tant que centre exécutif du système cognitif, la psychologie contemporaine considère que la mémoire de travail joue un rôle essentiel dans les activités dites contrôlées, par opposition aux activités réputées automatiques

peut y avoir des interférences mesurables = coût attentionnel. La mémorisation La mémoire correspond à différentes notions telles que la persistance, la rétention, la récupération des informations/connaissances apprises par apprentissage tout au long de la vie. Il existe différents types de mémoire, localisés à différents endroits du cortex télencéphalique. Il est très facile de montrer l’existence de ces différents types de mémoire. Leur discrimination est fonction de la longévité de ses mécanismes/fonctions

travail, pour faire passer des informations de la mémoire à court terme, dans la mémoire à long terme). On s’intéresse à l’acquisition, l’organisation et l’utilisation des connaissances. La structure principale qui permet tout cela est la mémoire. La mémoire n’est pas unitaire mais elle est constitué de deux mémoires complémentaires : la mémoire à court terme, et la mémoire à long terme. La mémoire à long terme à une capacité de stockage quasiment illimité, qui contient tous types d’informations

transférer les informations pertinentes de la mémoire sensorielle à la mémoire à court terme permet, entre autre, de procéder à la reconnaissance des formes. Il s'agit d'identifier un élément en se basant sur les informations emmagasinées dans la mémoire à long terme. Concrètement, cela consiste, par exemple, à reconnaître un visage dans une foule. La mémoire sensorielle est donc l'étape initiale du traitement de l'information à mémoriser. C'est elle, en quelque sorte, qui ouvre la porte de la mémoire. Les

ont pu stimuler : leur praxis à travers le découpage de fruits la mémoire procédurale lors de la réalisation de la charlotte aux fraises et de l'utilisation des instruments. la mémoire à court terme : à travers la recette la mémoire à long terme : à travers l'évocation des souvenirs de recettes, moment de partage avec la famille autours de la cuisine, reconnaissances des saveurs les capacités exécutives: à travers le suivi des étapes et respect des consignes. Estime de soi

traitement de l'information = succession d'étapes et d'états (représentations) Chaque étape (état) est associée à des systèmes de mémoire différents Environnement Mémoires sensorielles Mémoire à court terme (de travail) Mémoire(s) à long terme Réponses contrôlées LES MÉMOIRES SENSORIELLES Spécifiques aux différentes modalités sensorielles Peuvent se manifester à un niveau : • périphérique (e.g. rétine) ¥ persistance visible (audible) • central (cortical) ¥ persistance

d’acquisition des informations est dite d’encodage, elle transforme les informations sensorielles (auditives, visuelles, olfactives, tactiles) en représentations mnésiques. L’encodage peut être non-conscient ou conscient. Cependant nous ne stockons pas à long terme tous les stimulus provenant de nos entrées, certains disparaissent alors que d’autres persistent pendant un laps de temps variable. Ce maintien en mémoire est une troisième phase appelée phase de consolidation. La troisième phase, nommée récupération

Les troubles de la mémoire se caractérise par plusieurs statut: La mémoire à long terme concerne les informations que nous avons mémorisées. En début de maladie, ce sont d’abord les faits récents qui ne sont plus traités, et donc oubliés.Puis, il y aura un processus d’effacement des souvenirs, remontant petit à petit l’histoire de la personne et les évènements survenus tout au long de sa vie. La mémoire à long terme est constituée de deux entités : La mémoire épisodique, qui va correspondre

deux facteurs généraux correspondant à l’intelligence fluide et à l’intelligence cristallisée. Dans les années 1960, il a ajouté aux deux facteurs généraux Gf et Gc, les facteurs : - Visualisation (Gv) : - Récupération en mémoire à long terme (Gr) - Vitesse cognitive (Gs c. Les raisons des discordances Il faut garder à l’esprit que dans une analyse factorielle, les facteurs sont toujours relatifs… - Relatifs à l’échantillonnage des tests : aucun facteur spatial

d’échec qui fait un tournoi qui mémorise environ 1000 pièces qui bougent en permanence, conclusion : joueur d’échec a une mémoire supérieure à la moyenne. On est donc pas tous égaux. En 1973 il reprend la même expérience mais en intégrant la mémoire à long terme, quand celle-ci est solide alors la mémoire à court terme le sera aussi. La mémoire sont 2 éléments essentiels du traitement de l’information. 2) Les grands courants cognitivistes Le computationnisme (Fodor) : assimiler le fonctionnement