Longues Didascalies

1. Apparences romantiques retournement de situation, surprise du spectateur ⇒ Indications scéniques (décor) + familiarité/jurons/argent 2. scène séparée en deux parties ⇒ didascalie (« entre Maffio ») : nouvelle du spectateur, pas de changement de scène à l’arrivée d’un nouveau personnage 3. Action rapide ( didascalie, verbes d’actions, stichomythie ) + épée, combat ⇒ contradiction de la règle de bienséance : on ne doit pas se battre sur scène Transition :originalité de l’exposition différente

Premier tête à tête du couple dit amoureux. Mais commence pas « Non, monsieur je ne vous comprends pas... ». B. 51 répliques : Échange rapide de répliques courtes. Scène longue à la représentation, donc intérêt dramaturge = ne pas laisser fléchir intérêt donc deux fausses sorties dont la première indiquée par didascalie et la deuxième impliqué par l' « Adieu » de La Comtesse. Première fausse sortie : c'est à Lélio de la retenir. Doit prendre une initiative. Réplique 26, un impératif de prière

le rôle des didascalies et la leçon ainsi amenée. *** Au début de ce monologue (le personnage parle seul sur scène, mais son discours est destiné au public). Bérenger est très déterminé à ne pas devenir animal : « Ce n'est tout de même pas si vilain que ça un homme ! Et pourtant, je ne suis pas parmi les plus beaux ! », il appelle alors Daisy en espérant qu'elle revienne mais en vain, il se sent trahit par celle-ci : « Daisy tu m'avait promis ! Daisy ! Daisy ! ». Les didascalies nous montrent

c'est-à-dire le dénouement : il ne lui reste plus qu'à jouer le dernier acte de cette tragédie qu'il a lui-même montée. Caligula est d'abord seul en scène devant son miroir, il se lance dans un long monologue, ou plutôt dialogue avec lui-même, dans une longue tirade qui occupe les deux tiers de la scène. Il y fait le bilan désespéré de son action, puis il s'offre aux coups des conjurés qui surgissent et on assiste sur scène à la mort de Caligula et de son fidèle confident, Hélicon. Nous étudierons tout

lorsque le prof, infatué, remet l'élève à sa place en lui interdisant d'étaler ses connaissances et lui intime l'ordre d'écouter ce discours "présomptueux". Il semblerait que l'élève connaisse sa leçon telle une étudiante "modèle" puisqu'à la fin de longues tirades redondantes, l'élève coupe de façon intempestive la parole au prof puis termine son cours méthodique et "exemplaire". Le tuteur est en soi ridicule ds la mesure où ses cours sont irrationnels, l'exemple cité, relatif aux sons est incompréhensible

rendre compte de l'absurdité de la vie humaine, certains dramaturges prennent le contre-pied du théâtre traditionnel. Beckett, après En attendant Godot (1952) écrit Oh les beaux jours (1962). Présentation du texte : La pièce débute par une longue didascalie : deux personnages - un couple - sont visibles, mais la scène est composée d'un long monologue de Winnie, sans réelle consistance. Annonce du plan : Cette scène rejette les conventions du genre théâtral et ne prend sa vraie mesure qu'à la

O.E. LE THEATRE / SQ 1 : Parcours « Spectacle et comédie » ETUDE LINEAIRE N°2 : Georges FEYDEAU, La Dame de chez Maxim (1899), Extrait de l’acte I, scène 7 Dans ce vaudeville, Petypon et Mongicourt sont deux amis médecins. La veille, Mongicourt a convaincu Petypon de sortir ; or, Petypon vient de se réveiller et s’est rendu compte qu’il a ramené une danseuse du Moulin-Rouge (célèbre cabaret parisien), surnommée « la Môme ». Son épouse, le croyant malade, lui apporte du thé ; Mongicourt

même, et ce, jusqu’en 1759.      Il n’y a pas de metteur en scène, souvent le dramaturge est chef de troupe. Beaumarchais, sera le premier metteur en scène à se nommer comme tel.      Les représentations se font à 17 heures avec deux œuvres : une longue et une plus courte.      Le public est constitué d’habitués et de versatiles (surtout les provinciaux et les étrangers). La « claque » impose toujours sa loi.      La condition des acteurs et leur niveau de vie augmente peu à peu.  3) Les auteurs

Sur scène, les personnages se parlent et échangent des répliques. Quand la réplique d'un personnage est très longue, on l'appelle une tirade. Lorsqu'un personnage est seul sur scène et se parle à lui-même, c'est un monologue. Si la réplique ne s'adresse qu'au public ou si elle exprime tout haut la pensée d’un personnage (en cachette des autres), il s'agit d'un aparté. Une didascalie ne correspond pas à un texte à dire à voix haute. Elle est une simple indication donnée par l'auteur (= le dramaturge)

des personnages qui prononcent des répliques. Celles-ci varient en fonction de la situation et des enjeux. Mais la parole de personnage peut aussi ne pas s’inscrire dans un échange. On distingue quatre formes de répliques : TIRADE : réplique assez longue dans laquelle le personnage développe un discours délibératif, argumentatif ou conflictuel. MONOLOGUE : tirade prononcé par un personnage seul sur scène (ou qui croit être seul). Il permet au spectateur de connaître les pensées et les intentions