Lorris Murail

souillait. De ce porche, sous lequel s'ouvraient deux portes, l'une conduisant aux appartements du rez−de−chaussée, l'autre à une salle qui avait pu jadis servir de salle des gardes, on débouchait dans une cour triste, nue et froide, entourée de hautes murailles rayées de longs filaments noirs par les pluies d'hiver. Dans les angles de la cour, parmi les gravats tombés des corniches ébréchées, poussaient l'ortie, la folle avoine et la ciguë, et les pavés étaient encadrés d'herbe verte. Au fond, une rampe

et les Sœurs des Fraternités Monastiques de Jérusalem assurent cette présence spirituelle depuis 2001. Parallèlement au développement de l'abbaye un village s'organise dès le Moyen-âge. Il prospère sur le flanc sud-est du rocher, à l'abri de murailles remontant pour la plupart à la guerre de Cent ans .Ce village a depuis toujours une vocation commerciale. Inscrit au "Patrimoine Mondial" par l'Unesco en 1979, ce haut lieu touristique reçoit aujourd'hui plus de trois millions de visiteurs par

description : VOIR LE DESSIN L'age d'or des châteaux Au XIII eme siecle , vient L'âge d'or des châteaux : c' est L'apogée du château fort . À partir de 1150, les techniques castrales s’adaptent aux progrès de la poliorcétique* : Les murailles deviennent plus hautes et plus épaisses pour résister aux tirs des catapultes. Les châteaux adoptent un plan plus « ramassé », plus « tassé » afin de réduire la surface à défendre. Les meurtrières apparaissent à la fin du XIIe siècle pour

coupoles. Là, les pavés sont secs, les ruisseaux n'ont ni boue ni eau, l'herbe croit le long des murs. L'homme le plus insouciant s'y attriste comme tous les passants, le bruit d'une voiture y devient un événement, les maisons y sont mornes, les murailles y sentent la prison. Un Parisien égaré ne verrait là que des pensions bourgeoises ou des institutions, de la misère ou de l'ennui, de la vieillesse qui meurt, de la joyeuse jeunesse contrainte à travailler. Nul quartier de Paris n'est plus horrible

plutôt de longues étendues naturelles à perte de vue. Toutefois, on peut distinguer deux types d'architecture : une architecture contemporaine, qui fait référence à la modernité ; et une architecture médiévale, dont font partie châteaux, tours et murailles. On distingue six diptyques poèmes / dessins évoquant l'architecture médiévale :  "Château abandonné" à la page 19  "Les Tours du silence" à la page 38  "Le Château d'If", à la page 96  "Les Tours d'Eliane", à la page 110  Les deux

caractère sacré doit être sauvegardé. Mais à l'aube du 21ème siècle, la ville s'est laissé envahir par un nouvel ennemi, la circulation automobile. La pollution et les vibrations des véhicules, entrainent dégradation, fissures dans les bâtiments et murailles. Mr Lemghari ESSAKL, Directeur général de l’agence pour l’aménagement de la Vallée du Bouregreg : « Avec le développement de l'automobile, cet espace a été utilisé comme un passage entre l’amant et l’aval pour aller sur la corniche, au point où

des cités hérités de l'antiquité puis à côté de ses villes anciennes dont la population à augmenter ont trouvedes Bourgs qui s’implantent en dehors des murailles des grandes villes, le long des voie de communication autour des châteaux et Église. Progressivement ses bourgs sont rejoins par la grande ville etil font construire de nouvelle muraille qui les protègent. L'urbanisation passe aussi par la création de villes neuves notamment dans le sud et l'est de l'Europe à partir du 13ème siècle ses

enceintes fortifiées autour de leurs villes, qui sont souvent réutilisées durant le Haut Moyen Âge et même après, comme par exemple au Mans. Dans d'autres cas, on a construit des murailles pour s'y réfugier, par exemple lors des attaques vikings. Cependant, à partir du XIIe siècle, on assiste à une multiplication des murailles, de plus en plus vastes car elles intègrent les quartiers périphériques, à moins qu'ils ne soient eux-mêmes dotés de leur propre enceinte. Les villes se développent aussi en

très petite avec un château et une église romane consacrée à Sainte Marie et une petite muraille autour de la ville. Après une concession especialle donnaite à Reus, cette région s’a commencé à repeupler. Cette place nous indique la naissance de la ville, car ici il y avait le château de Reus et l’église de Sainte Marie était situé dans le même lieu que l’église actuele de Sant Pierre. En dehors des murailles de la ville il y avait le marché, le juif cartier et l’hôpital. La peste noire est arrivé

autres familles en dehors des murailles à Karguentah. Le peuplement ne tarda pas à provoquer la crise du logement: les grottes des ravins du Murdjadjo sont habitées. La période turque s’achevait en 1831 avec le résultat d’une nouvelle ville construite avec ses cinq quartiers ainsi que les faubourgs qui se sont formés suite à la saturation de la ville. Les français complétèrent la structuration et l’occupation de Sidi Houari en se confinant à l’intérieur de la muraille pendant les douloureuses