Lothaire II de Lotharingie

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plus qu’un seul fils vivant, Louis le Pieux, qui est donc son successeur. Lothaire Charles le Chauve Louis le Germain Louis le Pieux a trois fils, si bien que l’Empire se divese à nouveau. En 843, il éclate en trois royaumes : l’un devient le royaume de France ; l’autre le royaume d’Allemagne; le dernier, étroit et allongé de la mer du Nord à la Méditettanée, doit son nom de Lotharingie à Lothaire, le fils à qui il fut attribué. De lui vient le nom de Lothaine (en allemand Lothringen)

Ceux qui pensent comme lui se désignent maîtres de l'Orthodoxie et se considèrent comme des intermédiaires entre le peuple et Dieu. II – L'empire sous les empereurs Macédoniens et Comnènes (IX – XIII) 1) un age d'or de l'expansion byzantine (IX – X) : L'empire retrouve un pied-à-terre au Sud de l'Italie. Cette domination dure jusqu'à la mort de Basile II en 1025. Cependant, il meurt sans héritier et cela donne lieu à des guerres internes et une séstabilisation de l'empire. 2) Difficultés

monnaies celtes font leur apparition. Les diverses tribus celtes vivant sur ces territoires à cette époque étaient les Éburons, les Aduatiques, les Nerviens, les Ménapiens, les Morins et les Trévires. Les écrits de Jules César De Bello Gallico (I et II) forment le début de l’histoire écrite. « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves ». Ainsi parlait Jules César des tribus qui ont donné tant de fil à retordre à ses légions. Cette citation (légèrement amputée) est toujours présente

a pas des limites à la puissance de l’empire ? Dans quelles mesures peut-on dire que l’empire carolingien est un colosse aux pieds d’argile ? L’empire carolingien a un aspect de colosse (I) mais possède bien des limites à l’image de pieds d’argile (II). I – L’empire carolingien : l’image d’un colosse Les sources du pouvoir carolingien sont le modèle romain (A) et l’Eglise (B). • Le modèle romain Pépin le Bref meurt et Charlemagne hérite de tout le royaume, continue les conquêtes territoriales

de partager son empire (que son père Charlemagne lui avait transmis intact car il n'y avait pas de frère avec qui le partager) entre ses fils, mais en accordant une prééminence à l'aîné (Lothaire), seul héritier du titre impérial. A Lothaire va le coeur de l'empire (la Francie médiane, également appelée Lotharingie) et surtout le prestigieux titre impérial. Malheureusement, ce titre est vidé d'une partie de son sens puisque les deux autres frères ne lui sont pas subordonnés A Louis va la partie

donc interdit. Les distinctions ethniques s'affaiblissent, mais se renforcent l'identité de la foi et le sentiment d'une appartenance politique. Les habitants de la Francia sont tous sujets du roi, mais le territoire ne va pas rester homogène. II- Le morcellement territorialité L’Empire bâti par Charlemagne était trop vaste et n'a pu conservé son unité après la mort de son fils Louis le Pieux. Ses trois petits-fils se disputent l'héritage comme s'il s'agissait d'un bien privé. La conception

moment-là celle des laïcs, il semble cependant avoir été initié par Pépin à la connaissance des hommes, à la pratique gouvernementale et aux devoirs de la royauté à l'égard de l'Église. Il assista tout jeune à la visite que fit à son père le pape Étienne II et reçut, des mains de ce dernier, le sacre royal (754). Avant de mourir, Pépin, fidèle à la coutume qui avait longtemps prévalu chez les Mérovingiens, partagea le royaume entre ses deux fils (768) ; les régions qui furent attribuées à Charles entouraient

égoïstes, offense par là à tel point le Créateur » cette citation de Nithard fait référence à Louis Ier dit le Pieux qui s'est battu pour maintenir l’unité et le prestige de l’empire carolingien. À sa mort, ses trois fils, Charles II le Chauve, Louis le Germanique et Lothaire se partagent l’Empire et se battent pour le réunifier chacun à son profit. Ce texte est un acte normatif à valeur législative qui tend à s'imposer dans tout l'empire. Ce capitulaire est un acte impérial qui par définition à l'époque

Wisigoths, cette loi est plus évolué de par ses traits tirés des jurisprudents. On y trouve également les constitutions impériales du Code Théodosien (438). Mais ces constitutions impériales sont complexes, d’où des résumés simplificateurs. En 506, Alaric II (roi wisigoth) écrit une loi romaine pour ses sujets romains. Ce texte s’appellera les Brevière d’Alaric, qui n’est pas une nouvelle constitution de lois mais plutôt une compilation (de textes déjà connus). Ce texte constituera désormais le recueil