Louange

parure » (L.1). « M. de Nemours fut tellement surpris de sa beauté » (L. 12). « L’air brillant » (L. 9).  On notera également les caractérisations hyperboliques de ces êtres d'exception qui soulèvent « un grand étonnement » (L.11) et « un murmure de louange » (L. 14). Chez les convives : Madame de Clèves : - « l'on admira sa beauté et sa parure » (L.1). - « mais il était difficile aussi de voir Madame de Clèves pour la première fois sans avoir un  grand étonnement » (L.9/10). - « Monsieur de Nemours

qui est le seul moment de parole entre les deux jeunes gens et accentue leur pudeur. La fusion de M. de Nemours et de Mme de Clèves se fait à travers la danse comme le montre les termes « ils commencèrent à danser ». La métonymie « un murmure de louanges » montre l’attention et l’admiration qu’éprouve la Cour vis-à-vis du couple. D’ailleurs le Roi et la Reine trouve si étonnant « de les voir danser ensemble sans se connaître » qu’ils les mettent dans le malaise en demandant « s'ils n'avaient pas

reines », L 29 « votre Majesté » + la Dauphine (marie Stuart). Il s’agit donc d’un cadre brillant (idéal précieux). Tout semble parfait ainsi qu’en témoignent les termes valorisants « beauté » « air brillant » « admiration » « étonnement » ou encore « louanges ». Le but du bal est de voir et d’être vu. Nous avons ici une mise en scène caractéristique du classicisme, tout semble parfait : ex du soin porté aux parures. B – Une rencontre romanesque théâtrale : Cette rencontre a été préparée : Mme de

parler de cet art qui est le théâtre en présentant la tragédie. Tragédie : de l'action, de l'amour et la mort. Epidictique : genre de l'éloge et du blâme. Celui-ci permet de vanter les qualités et les petites d'une personne (louanges ou blâme). Laudatif : qui loue, marque la louange. "Si haut" vers 19--> le théâtre à atteint son apogée. Le théâtre devient l'art préféré des élites (ceux qui n'aime pas le théâtre son sans esprits). Argumentation schématisée : Passage de "chacun" à Paris, à la province

l’éducation ? Annonce du plan  : Dans un 1er temps, nous montrerons que La Fontaine à travers cette fable fait l’éloge de Louis 14. Dans un 2e temps, nous verrons quel serait le modèle d’éducation idéal selon La Fontaine. I- La louange au roi Tout d’abord, La Fontaine utilise le champ lexical de la mythologie : « Jupiter » et « divine » (lignes 1 et 3) dont il s’est souvent inspiré. Il annonce directement « Jupiter eu un fils » : Il place donc Louis 14 en Dieu des dieux. Ces premières

pleinement assumée mais qui est malgré tout contrebalancée par un quelquefois : « Ma muse quelquefois sera de vous aymée. ». On a donc également une forme de Modestie du poète qui s’efface presque derrière son éloge ou du moins prétend laisser place à la louange d’elle-même. IB] L’hymne devient donc pure dévotion en faveur du destinataire : « Ma muse quelquefois sera de vous aymée, puisque votre faveur est toute acoutumée d’attirer doucement les poètes chez vous, non pas comme seigneur mais comme père

maxime citation de Malherbe, ainsi que le précise lepremier hémistiche du vers 3. Le deuxième implique le poète (j' et moi) qui est d'accord avec la citation. v. 4 octosyllabe conclusif expliqué par les deux vers suivants : personnification de la louange et verbes chatouillent (flattent) et gagnent (conséquence de la première action). Le vers 5 est construit en deux propositions coordonnées indépendantes mais lien cause-conséquence. Si on lit ce qui suit, on comprend que ces deux vers exposent la

L 29 « votre Majesté » + la Dauphine (marie Stuart). Il s’agit donc d’un cadre brillant (idéal précieux). Tout semble parfait ainsi qu’en témoignent les termes valorisants « beauté » « air brillant » « admiration » « étonnement » ou encore « louanges ». Le but du bal est de voir et d’être vu. Nous avons ici une mise en scène caractéristique du classicisme, tout semble parfait : ex du soin porté aux parures. B – Une rencontre romanesque théâtrale : Cette rencontre a été préparée :

Il en est digne à cause de son oeuvre de rachat en faveur de tous les hommes. «A celui qui est assis sur le trône, et à l'Agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles!» (Apocalypse 5:13). «L'Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange» (v. 12). Cette adoration exclusive de Dieu est un commandement à garder dans son cœur, à mettre en pratique et à enseigner, et les versets

de la vie un pareil étonnement 20 (étym. = frappé par le tonnerre) - satisfaction de l'amour-propre de JJ: me flatta 21 ; on le complimente: louange… si pleine et entière et d'un air si content, toute la table 27  adv. d'intensité et redondance pour exprimer la perfection, la plénitude de son bonheur ; il fait l'unanimité (faire chorus = concert de louanges) - plaisir intense, qui le comble : ce moment fut court, mais délicieux à tous égards 28 B. La naissance d'une idylle - JJ surtout sensible