Louis de Bonald

les principes d'autorité et de propriété + noblesse impériale 1804. 2. La pensée contre-révolutionnaire – le traditionalisme (conservatisme) Mouvement intellectuel et politique en réaction contre monde moderne engendré par RF et ses principes. Louis de Bonald Théorie du pouvoir politique et religieux 1796 et Joseph de Maistre Considération sur la France 1797 L'histoire est gouvernée non par les hommes mais par la Providence. Le pouvoir ne peut s'exercer qu'au nom de Dieu. La démocratie est incompatible

propose, dans la droite ligne de ses préoccupations sociales soucieux des conséquences de l’industrialisation sur la cohésion de la population. Le Play a, en effet, constaté la même dégradation de la condition ouvrière que Villermé, Adolphe Blanqui ou Louis Reybaud. Il tire cependant ses observations d’enquêtes plus longues que ceux-ci, réalisées à l’occasion de voyages effectués dans le cadre de ses fonctions d’ingénieur des mines et qui donnent lieu en 1855 à la publication de son premier ouvrage majeur

autorité, le pape s'attribuait le droit de sacrer en occident un nouvel empereur. L'empire Carolingien établit en la personne de Charlemagne va rétablir la prospérité. Lui succède son fils Louis le Pieux. Puis, intervient le Traité de Verdun en 843 qui divise l'empire entre les 3 fils de Louis le Pieux : Louis reçoit les pays de langue germanique, à l'Est du Rhin. Charles le Chauve reçoit les contrées de langue romane. Lothaire reçoit les terres intermédiaires et le titre d'empereur

et Virginie de 1787. La mode, stimulée par la découverte de Pompéi et d'Herculanum, vers 1755, dirigea l'attention et le goût vers l'Antiquité, Antiquité d'ailleurs fort décorative ; mais cela ne pouvait affaiblir le romantisme des contemporains de Louis XVI, car c'est avec passion « romantique » qu'alors, et depuis, l'Antiquité a souvent été regrettée et aimée. La nostalgie de l'ailleurs, et notamment d'une époque que l'on s'imagine avoir été primitive et jeune, d'une Grèce interprétée comme une république

séculier adopta la première solution, c’est à dire la reconnaissance d’un mariage célébré devant un Pasteur protestant. Le raidissement de la politique à l’égard des protestants poussa le pouvoir monarchique à abandonner cette pratique. En 1685, Louis XIV révoque l’Edit de Nantes, ce qui incite les protestants qui ne veulent pas abjurer leur foi soit à quitter la France, soit à simuler leur catholicité ou soit à se marier au « désert », c’est à dire de façon clandestine mais cela constitue en fait

l'analyse, passion exclusive du bonheur terrestre. Dans ce cadre, des dates : les Lettres persanes vers 1725, L'Esprit des Lois, Histoire naturelle et l'Encyclopédie, vers le milieu du siècle ; 1778, avec la mort de Rousseau et Voltaire : un style Louis XVI commence, au ton de défi jusqu'à l'outrance. En 1790, avec la fête de la fédération, une nouvelle ère commence. Mais c'est le temps des affrontements entre écrivains selon leurs options, temps d'une poésie ardente et d'une réflexion morale amère

applaudissements. Je ne jouis pas de cette fleur de renommée qui s'attacha à mon nom dès le lendemain de la publication de ce premier volume des Méditations. Trois jours après je quittai Paris pour aller occuper un poste diplomatique à l'étranger. Louis XVIII, qui avait de l'Auguste dans le caractère littéraire, se fit lire, par le duc de Duras, mon petit volume, dont les journaux et les salons retentissaient. Il crut qu'une nouvelle Mantoue promettait à son règne un nouveau Virgile. Il ordonna à

dégradée de la monarchie : ainsi, dans les régimes grecs, la tyrannie qui, très souvent, a succédé dans les cités à la monarchie n'avait rien de particulièrement intéressé. De même, il était tout à fait abusif, en 1790, de parler de tyran au sujet de Louis XVI. On adopte généralement une autre distinction parmi les divers régimes où le pouvoir est exercé par un seul. La monarchie est une forme du pouvoir « réglée », c'est-à-dire organisée en fonction de principes et de normes qui ne dépendent pas d'elle

parfaitement achevé, un idéal. Au XIX° siècle, les auteurs libéraux donnent au mot « absolu » un sens de tyrannie, un sens discrétionnaire, sens qui est totalement absent de la langue au temps de Jean Bodin. Parmi ces auteurs du XIX° siècle, Louis de Bonald est celui qui propose une définition assez claire, assez satisfaisante de la distinction entre absolutisme et tyrannie : « Le pouvoir absolu est un pouvoir indépendant des hommes sur lequel il s’exerce, un pouvoir arbitraire est un pouvoir indépendant

germains et les saxons païens. E donc charlemagne devient le souverain chrétien de presque toute l’Europe. Ce qui a fait dire a à J. Favier « Charlemagne préfigure le père de l’Europe. » Le 25 Décembre de l’An 800 Charlemagne est couronné par le Pape Louis III. Les papes avaient toujours eu l’idée de maintenir la dignité impériale en Europe. A) Les pouvoirs de l’Empereur. A partir de l’an 800 Charlemagne se veut encore Empereur robuste. Il se réclame d’un double héritage : - Romain