Louis le Pieux

Clairvaux· 1096 – 1099 : première croisade.· 1095 : appel à la première croisade par le Pape Urbain II· 1099 : prise de Jérusalem par les Croisés· 1115 : fondation de l’Abbaye de Clairvaux· 1122 – 1204 : vie d’Alienor d’Aquitaine· 1137 : mariage de Louis VII et d’Aliénor d’Aquitaine.· 1146 : appel à la deuxième croisade.· 1152 : mariage d’Aliénor et d’Henri Plantagenêt.· 1174 : canonisation de Bernard de Clairvaux.· 1175 – 1218 : vie Simon IV de Montfort· 1180 – 1223 : règne de Philippe II Auguste·

française de Conques, dans le département de l'Aveyron. Cette abbaye fut construite au XIème siècle en style roman à partir de 1040 à l'emplacement de l'ancien ermitage de Dadon par l'abbé Oldoric, saint homme qui reçut faveurs et protection de Louis le Pieux, fils de Charlemagne et roi d'Aquitaine. Elle est célèbre pour son tympan qui est une des œuvres fondamentales de la sculpture romane et ses pièces d'art uniques de l'époque carolingienne dont les reliques de sainte Foy, jeune martyre chrétienne

France d’Henri IV à Louis XIV. La France de la Fin du XVIe siècle et du XVIIe siècle à la population la plus nombreuse de l’Europe : entre 16 et 18 millions sous Henri IV (1589-1610) et environ 20 millions de français sous Louis XIV (1661-1715). Elle est située au centre de l’Europe avec une importante façade maritime à L’ouest et continentale à l’Est. C’est un territoire immense comprenant Metz sous Henri III en 1152, en 1601 sous Henri IV: Verdun, Toul, Bresse et Bugey et sous Louis XIV le Roussillon

La condition des femmes au XVIIIème siècle Au dix huitième siècle la France était à l’apogée de la civilisation aristocratique qui a fait sa réputation. Son rayonnement politique dominait l’occident.  Cette apogée se situe vers 1745 quand le roi Louis XV reçoit de son peuple le surnom de “bien aimé” qui avait hérité de son arrière grand-père, “le roi soleil,” un système de gouvernement monarchique absolu. Son pays connait une paix et une prospérité relative comparée aux guerres sanglantes et ruineuses

foi, tandis que la main de justice matérialise la fonction de justice qu’il doit exercer au bénéfice de tous. La couronne, enfin, lui est imposée. Instrument suprême de la dignité royale, sa remise avait été incorporée au sacre dès le règne de Louis le Pieux qui fut sacré et couronné en même temps. La portée du sacre Le sacre transforme le roi aussi en une sorte d’évêque investi d’un véritable sacerdoce qui le place dans une position d’intermédiaire entre Dieu et son peuple. Il fait du

Fou de chagrin, il ne peut pleurer. Sa tante Séraphie lui reproche son insensibilité. On lui explique qu'il s'agit de la volonté divineN 2. Il en deviendra athée. Ayant peu d’estime pour son père, avocat au Parlement de Grenoble, homme taciturne, pieux, hypocrite, bourgeois qui ne pensait qu’à ses affaires financières, le précepteur qu'on lui donne, l'abbé Raillane, va empirer leurs rapports : « Je haïssais l'abbé, je haïssais mon père, source des pouvoirs de l'abbé, je haïssais encore plus la religion

une autorité directe sur son domaine royale, mais théorique sur ses vassaux éloignés. Quels sont les limites de ce royaume ? Hugues Capet succède à la dynastie des carolingiens. Les limites sont celles fixés par le Traité de Verdun en 843 entre Louis le germanique (orientale), Lothaire (centrale) et Charles (occidentale). Hugues Capet hérite de la Francia Occidentalis, délimité par le Rhône. Il concède de grands fiefs à de grands seigneurs qui exercent leur autorité pour leur propre profit,

un savoir extrêmement limité, très rudimentaire. Ils ne connaissent pas le système de la ville, ni même du village. Ce sont des nomades qui vont se sédentariser mais en plusieurs siècles. Cette tradition du nomadisme politique va perdurer jusqu'à Louis XIV qui fait cesser ce nomadisme. Ils ont un système clanique, ils utilisent les routes romaines mais n'arrivent pas à en construire. Ils ne connaissent pas l'écriture ni le commerce, leurs mœurs sont extrêmement simple. Il y a eu un déclin de l'occident

(notamment en 69 avec Vespatien). Finalement, la succession dynastique s'impose comme une nécessité car la force armée, la clientèle et la richesse familiale permettent la transmission du pouvoir. La dynastie suivante est celle d'Antonin le Pieux (96-161). Elle s'est constituée par des associations au pouvoir avec l'accord du Sénat et avec l'adoption car aucun des membres de la dynastie n'a eu d'héritier par le sang (dynastie fictive). Le nouvel Empereur, dès son avènement demandait la divinisation

consultatif, ils vont par la suite s’approprier le pouvoir et exerce eux même le pouvoir, Sous les carolingiens les grands assistent aux plaids mais uniquement pour entendre les ordres et non pas les discutés. A la mort de charlemagne, son fils louis le pieux promet aux grands de rien faire d’important sans leur demander leur avis. Locale : La majorité des hommes libres du royaume ne subissent qu’indirectement l’autorité du roi, les grands auront un nombre croissant de prérogatives publiques.