Loxam Mecanique

Compte rendu du TP de Mécanique Des Fluides Groupe B9 ELKHAMSI Oussama ELAINOUS Abdellah EL MAMOUN Adil EL OUALJI Hicham Année Universitaire 2004-2005 ____________________________________________________________ _________________________ Compte rendu de MDF B9 © I3D ENIM 2005 1 Introduction: Dans l’établissement de tout projet hydraulique, il est nécessaire d’évaluer les débits qui circulent dans les canalisations et les pertes de charges qui en résultant, en fonction des caractéristiques

l’esprit humain ne peut trouver un sens à une quelconque matière, c’est la preuve que celle-ci n’existe pas. En ce qui concerne la science, dès le début du dix-neuvième siècle, au regard du nombre si important de phénomènes que l’astronomie, la mécanique et les mathématiques parvenaient à expliquer, beaucoup ont acquis la conviction que l’humanité était sur le point de découvrir que l’univers était parfaitement explicable, sans avoir besoin de recourir à « l’hypothèse de l’existence de Dieu. » Il

n'ont pas toujours de grand succés auprès du public, leur capacité à convaincre et à émouvoir sont réadaptés au cinéma, à la TV, ce qui donne une certaine notoriété. Par exemples, l’œuvre cinématographique de Stanley Kubrick avec notamment Orange mécanique qui a fait connaître le roman de l’écrivain anglais Anthony Burgess, un conte philosophique et satirique de politique-fiction dont le ton est proche du Candide de Voltaire, et qui est traversé de références à Swift ; ou bien encore à Barry Lyndon

plus faible appelé état fondamentale. Prenons en exemple un atome fictif possédant uniquement deux états d’énergie dont la différence énergétique est représentée par la valeur delta E ; et voyons comment cet atome réagit avec la lumière. Suivant la mécanique quantique, l’atome réagit avec la lumière sur une fréquence v (la fréquence étant liée à la longueur d’onde et à la couleur), déterminée par l’équation v=delta E/h, où h représente la constante de Planck, physicien allemand. Trois types de réactions

. . . . . . 21 3.2 Plusieurs qu-bits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 3.3 Exemple de qu-bit : La lumière polarisée . . . . . . . . . . . . 26 4 Formulation générale de la mécanique quantique 4.1 Etats et principe de superposition . . . . . . . . . 4.2 Les postulats de la mécanique quantique . . . . . 4.3 Le processus de mesure . . . . . . . . . . . . . . . 4.4 Cryptographie quantique . . . . . . . . . . . . . . 4.5 Le spin et la manipulation de qu-bits . . . . . . .

DE TORSEUR 3 2.1 Définition 2.1.1 Propriétés liées aux torseurs 2.1.2 Produit ou comoment de deux torseurs 3 4 4 2.2 Torseurs élémentaires 2.2.1 Torseur couple 2.2.2 Torseur glisseur 4 4 4 2.3 Les torseurs de la mécanique du solide parfait 2.3.1 Torseur des efforts extérieurs 2.3.2 Torseur cinématique 2.3.3 Torseur cinétique 2.3.4 Torseur dynamique 4 4 5 5 5 3 6 CINEMATIQUE 3.1 Introduction 3.1.1 Définition 3.1.2 Notion de temps 3

Evaluation du cours de Mécanique des Fluides Etudiants de N+I GPE 2014 Réalisé par : Paul Chaboureau Prashant Arora Rechoum Abou Bakr Esseddik 1 Exercice 1 : En passant au tour du cylindre, le fluide est dévié de telle sorte que sa vitesse change de direction (le mouvement n’est pas uniforme), et aussi sa valeur absolu diminue par les effets des contraintes visqueuses. Dans notre cas on utilise le théorème d’Euler pour déterminer la force exercée par le fluide sur le cylindre

une incompatibilité entre deux grandes théories de la physique de l'époque : les équations de l'électromagnétisme de Maxwell (qui décrivent les phénomènes électriques etmagnétiquesles lois de la mécanique de Galilée et de Newton(appelées mécanique classique, par opposition à lamécanique quantique et à la mécanique relativiste, justement instaurée par la théorie de la relativité). Elle est qualifiée de restreinte parce qu'elle ne considère que les référentiels galiléens. Einstein l'étendra ensuite aux

Rydberg-Ritz : (où n et m et tels que )  : constante de Rydberg Remarque : Pour , on retrouve la série de Lyman Pour , la série de Balmer… B) Interprétation du spectre de l’hydrogène Niels Bohr a posé deux affirmations : Postulat mécanique : L’électron de l’atome d’hydrogène ne possède qu’un nombre limité d’états accessibles. Chaque état possède une énergie invariante (quantification des niveaux d’énergie de l’hydrogène) Postulat optique : La transition entre deux états accessibles

système de référence (référentiel) constitué par : - r r r un repère R (O; x, y, z ) associé à l’espace physique, du temps (unité de durée : la seconde) L’ensemble S(R,t) est donc appelé système de référence ou référentiel. Remarque : en mécanique classique on formule l’hypothèse que le temps est le même dans tous les référentiels donc le changement de système de référence S1(R1,t) vers S2(R2,t) se limite donc au changement de repère R1 vers R2. 2) Solide indéformable : 2.1) Définition