Lucain

législateur.   Chapitre V- Sénèque   Sénèque est un célèbre auteur latin de l’époque impériale. Il est né en l’an 4 avant JC et est mort vers 65 après JC, donc contemporain du Christ. Il est l’un des 3 écrivains du règne de Néron (54 à 68 après JC) = Lucain et Pétrone. Tous les 3 sont des stoïciens (Zénon, Cléanthe, et Chrysippe sont les premiers stoïciens) et ils posent le problème des rapports entre politique et philosophie (recherche de la sagesse).   La dynastie Julio Claudien avec 5 empereurs

Ils traversent l’Achéron sur la barque du nocher Charon.   Chant IV   1  cercle, les limbes puis le château des magnanimes et la prairie verdoyante : défaut  de foi, les non‐baptisés. Damnés : (âmes vertueuses mais ayant vécu avant  l’avènement du Christ) Homère, Horace, Ovide et Lucain.   er   À ce même moment, jʹentendis une voix  Dire  « Rendons hommage à lʹillustre  poète   Son ombre rentre enfin aux lieux quʹelle a  quittés. »    À peine cette voix achevait de parler,  Que je vis sʹavancer vers nous quatre  ombres grandes 

livres, c’est-àdire les sources narratives rassemblées dans les bibliothèques. Parmi celles-ci, les livres d’histoire n’occupent qu’une place secondaire. Celles des monastères sont les plus fournies : leurs fonds contiennent des auteurs païens, tels Lucain ou Salluste, ou chrétiens, tels Eusèbe de Césarée, Orose, Isidore de Séville, Bède… auxquels s’ajoutent des annales ou chroniques locales. Quant aux bibliothèques universitaires et laïques, elles n’en ont que de rares exemplaires. Aux derniers siècles

la Mer Les escaliers Prisonnier dans un phare, Un désir SYMBOLES ET MORALITÉS L'ingratitude filiale Une parole de Jean Hus L'illusion sacrée Ni Remords ni Regrets Le Sphinx Rococo La grande prière Les derniers chants de Lucain La prière du pharisien Le chapelet N'offensons pas les Mânes Fragments (Pour la guerre Civile) Le Canon Tonne... les membres volent, des gémissements de victimes et des Hurlements de sacrificateurs se font entendre... C'est l'Humanité

palais sur la Mer Les escaliers Prisonnier dans un phare, Un désirSYMBOLES ET MORALITÉS L'ingratitude filiale Une parole de Jean Hus L'illusion sacrée Ni Remords ni Regrets Le Sphinx Rococo La grande prière Les derniers chants de Lucain La prière du pharisien Le chapelet N'offensons pas les MânesFragments(Pour la guerre Civile) Le Canon Tonne... les membres volent, des gémissements de victimes et des Hurlements de sacrificateurs se font entendre... C'est l'Humanité qui

sans appel la conduite des Allemands, expression de la « fureur teutonique », à l’instar du chroniqueur de Nantes qui décrivait déjà l’adversaire d’Alain Barbetorte comme un « Saxon plein de fureur ». Ce lieu commun vient d’un vers de la Pharsale et Lucain l’emploie pour qualifier les Teutons que Marius écrasa en 102 av. J.-C. près d’Aix-en-Provence. Les commentateurs médiévaux ont identifié ces « Teutones » avec les « Teutonici », c’est-à-dire les habitants de l’Empire, leurs contemporains. La « fureur »

fable, voyant briller le feu ravi par le sage Prométhée, le trouva si beau qu’il alla le baiser et se brûla 73 . Ainsi le papillon qui, espérant jouir de quelque plaisir se jette sur la lumière parce qu’il la voit briller, éprouve bientôt, comme dit Lucain, qu’elle a aussi la vertu de brûler. Mais supposons encore que ces mignons échappent des mains de celui qu’ils servent, ils ne se sauvent jamais de celles du roi qui lui succède. S’il est bon, il faut rendre compte et se soumettre à la raison ; s’il

mais Prométhée lui cria : « Bouquin, tu pleureras la barbe de ton menton, car il brûle quand on y touche. »). Ainsi le papillon qui, espérant jouir de quelque plaisir se jette sur la lumière parce qu’il la voit briller, éprouve bientôt, comme dit Lucain, qu’elle a aussi la vertu de brûler. Mais supposons encore que ces mignons échappent des mains de celui qu’ils servent, ils ne se sauvent jamais de celles du roi qui lui succède. S’il est bon, il faut rendre compte et se soumettre à la raison ; s’il

Pair, gr., t. 8, p. 78. 3. Schol. de Lucien, Dial. des courtisanes, II, 1, édition Rabe, p. 275-276. Athénée, XIV, 647 a, citant Héraclide le Syracusain. 4. Schol. de Lucien, ibid. 5. Hymne hom. à Déméter; Ovide, Métam., V, 505-508. 6. Lucain, VI, 699; Virgile, Géorgiques, IV, 38-39; -Columelle, X, 270; Servius, Sur les Géorg., I, 39. 7. Hymne hom. à Démêler. 8. Témoignages chrétiens : Minucius Félix, Octavius, 22, 2; Fulgence, MythoL, I, 10; Lactance, Inslil. div., I, 21. — Témoignages

Rome au plus illustre de la nouvelle. » ‘’Pompée’’ était précédé d'un « Remerciement à Monsieur le cardinal Mazarin » et d'une Préface où Corneille, comme à l'accoutumée, indiqua ses sources ; cette fois, elles étaient multiples : ‘’La Pharsale’’ de Lucain, dont il avait traduit et inséré quelques vers dans sa tragédie ; Velleius Paterculus et bon nombre d'autres historiens latins. ____________________________________________________________ _____________________ En 1643, Corneille revint à la