Lucas Courbe Phillips

politiques ont été mis en cause parce que considérées comme des politiques non optimales induisant à des résultats inflationnistes. A) le modèle d’analyse de Barro & Gordon Cette analyse est issue de toutes les controverses issue de la courbe de Phillips et la théorie de l’anticipation rationnelle. Barro et Gordon vont montrer que si l’objectif d’un gouvernement est a la fois le plein emploi et la croissance alors sa politique mènera toujours à l’inflation. Il n’y a une notion très importante

l’offre globale L’équilibre macroéconomique et l’efficacité des politiques économiques Chapitre III : Nature des anticipations et modélisations économiques 1) Construction de l’offre global 2) La formation des anticipations 3) Les débats autours de la courbe de Philipps Chapitre IV : La théorie des cycles réels 1) 2) 3) 4) La quantification du phénomène cyclique Le modèle canonique de cycle réel Les modèles DSGE (Équilibre Général Dynamique stochastiques) Consensus et controverses dans la macroéconomie

celle de la préférence pour la liquidité. Au même moment John Richard Hicks, publia "Mr Keynes and the Classics : A suggested interpretation" dans la revue Econometrica (1937).  Dans cet article il trace deux courbes, "SI" et "LL" pour illustrer ces relations d’interdépendance. Ces courbes sont à l’origine du modèle IS-LM popularisé par Alvin Hansen dans deux textes célèbres (1949, 1953) [4]. Ce modèle permet de présenter dans un seul diagramme les relations entre le taux d’intérêt et le niveau de

autres dans un univers d’information parfaite (complète et pertinente). Ces postulats de rationalité ne laissent aucune place à la politique économique dans la mesure où des agents rationnels intègrent immédiatement l’information. De plus, LUCAS (1976) montre l’impossibilité d’utiliser un modèle macroéconomique simple pour évaluer les effets d’un changement important de politique économique. Avec Milton Friedman et Paul Anthony Samuelson (1915-2009) 1.3 L’approche keynésienne Bien

jour sep 2003 Vision moderne : l’économie est soumise à des chocs d’ampleur et de nature variables (cf graphique manuel de Stiglitz). 5. Persistant : jusqu’à 10 ans. Exemple très récent le dernier cycle américain. 6. Les cycles se ressemblent. Lucas (1977) : « Bien qu’il n’y ait aucune raison d’anticiper un tel phénomène, nous sommes amenés à conclure que le s cycles économiques sont tous les mêmes. Cela suggère la possibilité d’une explication unifiée fondée sur la compréhension du fonctionnement

par Tobin : le rendement attendu des obligations est une variable aléatoire ; afin de minimiser les titres, l'agent diversifie son portefeuille (détention de monnaie et de titres). - Samuelson, Solow et Lipsey transforment la relation initiale de Phillips entre taux de chomage et hausse des salaires nomnaux en une relation antre tx de chomage et hausse des prix. Fondements politiques de relance des années 1960. Conciliation entre analyse de Keynes et celle des classiques car relance = ajustement

synthèse. ...................................................................... 41 TP Séances 2 : Chapitre VI et VIII. ................................................................................................................. 54 Chapitre IX : La courbe de Philips ................................................................................................................. 58 Chapitre X: Inflation, activité et croissance de la masse monétaire ..................................................

................................. 18 B/ LES PROLONGEMENTS NEOCLASSIQUES ............................................................ 19 Le modèle Offre globale/Demande globale (OG-DG)......................................................... 19 La courbe de demande globale.............................................................................................. 20 Une critique radicale par l'École des anticipations rationnelles........................................ 25 Conclusion des prolongements

Le mécanisme fonctionne de la même manière quand la qté de monnaie diminue. Chez Pigou, les individus ne sont pas victimes de l'illusion monétaire. ⁃ Chez les nouveaux classiques : A partir des 1970's, les nouveaux classiques comme Lucas ou Barro ont nié toute possibilité d'action à la monnaie, en réaction contre la théorie keynésienne. On parle parfois de superneutralité de la monnaie. Il s'agit donc d'un retour à l'idée de monnaie voile. Pour eux, comme pour Pigou, les agents ne

px D < O ⇔ baisse du px D = O ⇔ équilibre de mché. Si cette situation est générale, c’est l’équilibre fort décrit par Léon Walras en 1874. A) La relat° de Phillips-Lipsey * En 1958, sur des bases empiriques, Phillips fait paraître une étude sur le lien entre le chômage et la Δ des W en GB. ΔW/ W Ceci représente la courbe de Phillips : Si hausse W ⇔ Baisse du tx de chôm Baisse W ⇔ hausse du tx de chôm U : tx de chôm pr lequel, Δ W nom = 0 C’est le tx de chôm d’équilibre en qq sorte.