Lucas Courbe Phillips

1975 et 1982.Cette relation négative permet de dire que lorsque Q/Q* varie d’un point le taux de chômage subit une variation en sens inverse en supposant un taux de chômage potentiel (U*) donné. Dans le graphique nous avons pu remarquer que cette courbe à un pente négative de 0,4 c’est à dire que par exemple chaque variation de 5 points de Q/Q* cela entrainerait une variation 5x0,4=2 points ici avec un (U*) à 6% , donc nous serons avec 8% de chômage si il y a une variation de 5 points de Q/Q*. Nous

stabilisation) en cas d’inflation et de déséquilibre des échanges extérieurs, le plus souvent provoqués par une expansion mal maîtrisée. Il s’agit des fameuses politiques de stop and go pratiquées pendant les Trente Glorieuses, dont la clé était la courbe de Phillips, illustrant la nécessité d’arbitrer entre le chômage et l’inflation dans l’optique keynésienne. Une politique de relance (déplacement de A vers B sur le schéma) passe par une augmentation des dépenses publiques ou une baisse des impôts et

pertinente au moment de la formation des anticipations. C’est la propriété d’orthogonalité statistique. Ainsi, l’hypothèse des anticipations rationnelles a le mérite d’expliquer le redressement des courbes de Phillips observés dans les pays développés au cours des années 1970 : selon la NMC, la courbe de Phillips est verticale à court terme comme à long terme. Les politiques de relance par la demande ne peuvent créer que de l’inflation, sans diminuer le chômage, car les acteurs ont appris quelles étaient

la courbe de Phillips. Pour faire simple : quand il existe un déséquilibre sur le marche du travail, l'ajustement se fait par les salaires. Concrètement, quand le chômage augmente, autrement dit l'offre de travail augmente. Les salaires baissent (inflation diminue) pour retourner à l'équilibre. A l'inverse quand le chômage baisse (offre de travail diminue). Les salaires augmentent (inflation augmente). Il existe une relation inverse entre taux de chômage et inflation. (courbe de phillips). Quand

droite IS  et LM : l’équation, les 4 cadrant, la droite à 45 degrés. B- la variation de la courbe IS La variation de la courbe IS concerne les translations de la courbe IS vers la droite et vers la gauche, càd que c’est la partie autonome Co + Io seulement qui va varier. Voir feuille C- la forme de la courbe et les variables qui l’influencent La forme de la courbe IS signifie la pente de la courbe IS donc l’autre partie : celle qui dépend du taux d’intérêt. Voir feuille R = F(y) Y = F(R)

consensus keynésien Le modèle keynésien constitue le point de départ des grands modèles macroéconomiques. Ces modèles reposent sur une structure IS-LM à laquelle on rajoute une courbe de Phillips pour décrire le processus d'ajustement des prix. C'est ce qu'on appel le consensus keynésien = IS-LM + courbe de Phillips; Au Royaume-Uni les décideurs politiques adhèrent très rapidement aux principes keynésiens. Aux USA, l'approche keynésienne est adoptée dès les années 60. Cette période de prospérité

Ensuite, nous examinons la période de dominance de la macroéconomie keynésienne dans la double dimension évoquée plus haut. Notre histoire se poursuit par l’examen de la remise en cause de cette macroéconomie impulsée d’abord par Friedman et ensuite par Lucas et autres auteurs nouveaux classiques. Ensuite, nous exposons les grands traits de la nouvelle macroéconomie, dynamique et stochastique. Pour terminer, nous nous interrogeons sur la contestation récente des modèles de cycle réel de la première génération

La relation de Phillips, le NAIRU et le NAWRUFabien Di Filippo Depuis que la pensée économique existe, ses experts ont toujours été à la recherche de relations de causalité entre les évolutions des différents paramètres macroéconomiques, des connexions qui, si elles se vérifiaient, assureraient la postérité à leurs auteurs et pourraient constituer de véritables « martingales » de politique économique. Cependant, les grandeurs économiques étant souvent influencées par une infinité d’éléments

sillage keynésien * Le multiplicateur de l’investissement R.F. KAHN (1905-1989), l’accélérateur (1909) A. AFTALION (1874-1956), l’oscillateur (1939) P. SAMUELSON * Le paradoxe de RM. SOLOW (1987) * La lecture keynésienne de la courbe de Phillips (1960) P. SAMUELSON * Les coûts de rotation (1977) J. STIGLITZ * Salaire d’efficience (1957) H. LIEBENSTEIN * Insiders / outsiders (années 1980) A. LINDBECK * La théorie du déséquilibre (années 1970) E. MALINVAUD

Keynes). Cependant on y observe le dilemme de la politique économique. En effet cela fait référence aux politiques de « stop and go » (alternativement une politique de rigueur « stop » et de relance « go »). Ces politiques nous rappellent la courbe de Phillips qui définit la relation entre chômage et inflation à court terme : si le chômage est faible alors il y a risque d’inflation et inversement. 2) A) Politiques passives Les politiques passives comme son nom l’entend agissent indirectement