Lucas Courbe Phillips

travail OM. Le produit total est alors donné par le rectangle OCDM. Deuxièmement, il s’obtient en faisant la somme des produits marginaux (12+3+2=17). Géométriquement, cela signifie que le produit total est donné par l'aire qui est située sous la courbe du produit marginal, c’est-à-dire l’aire OEE’A’AM. Les triangles T1 et T2 tendent vers zéro si on raisonne sur des accroissements continus. Ici, nous n’avons que 3 unités de « capital et travail », ce qui explique que les triangles T1 et T2 soient

combinaisons de choix de conso qui sont équivalentes entre elles  théorie des courbes d’indifférence Trois courbes d’utilité (U1 à U3), deux biens X et Y. Sur une courbe d’utilité (par exemple U2), le consommateur est indifférent au contenu du panier : beaucoup de Y et peu de X au point M équivaux à beaucoup de X et peu de Y au point N. Ces deux paniers procurent la même utilité et sont donc sur la même courbe. La courbe est convexe car les biens X et Y sont imparfaitement substituables, càd que le

travail OM. Le produit total est alors donné par le rectangle OCDM. Deuxièmement, il s’obtient en faisant la somme des produits marginaux (12+3+2=17). Géométriquement, cela signifie que le produit total est donné par l'aire qui est située sous la courbe du produit marginal, c’est-à-dire l’aire OEE’A’AM. Les triangles T1 et T2 tendent vers zéro si on raisonne sur des accroissements continus. Ici, nous n’avons que 3 unités de « capital et travail », ce qui explique que les triangles T1 et T2 soient

travail OM. Le produit total est alors donné par le rectangle OCDM. • Deuxièmement, il s’obtient en faisant la somme des produits marginaux (12+3+2=17). Géométriquement, cela signifie que le produit total est donné par l'aire qui est située sous la courbe du produit marginal, c’est-à-dire l’aire OEE’A’AM. Les triangles T1 et T2 tendent vers zéro si on raisonne sur des accroissements continus. Ici, nous n’avons que 3 unités de « capital et travail », ce qui explique que les triangles T1 et T2 soient

de 3% du PIB, depuis 2000 ils représentent plus de 5%. ! Les mécanismes de rééquilibrage de la balance de paiements supposent un retour à l’équilibre par des mécanismes standards mais dans la réalité cela n’a pas lieu. En effet le paradoxe de Lucas infirme la thèse classique basée sur les effets prix, effets de revenu et le rôle de la monnaie. Alors que les flux de capitaux devraient être du Nord vers le Sud, et du Sud vers le Sud, car la rentabilité marginale y est supérieure, les flux provenant

l’augmentation de la part de la population active ayant au moins un niveau de scolarisation secondaire est supposée influer positivement sur la croissance économique, conformément aux résultats obtenus par les principaux théoriciens de la croissance endogène (Lucas, 1988 ; Romer, 1990). En effet, une augmentation de la part scolarisée de la population active, participe au renforcement du capital humain, défini comme l’ensemble des facteurs incorporés à l’homme et qui permettent d’accroître sa productivité (Logossah

les transferts sociaux (allocations familiales, aides aux personnes indigentes....), la fourniture de biens publics collectifs. En termes d'économie du bien-être, il s'agit de transformer l'optimum en optimum optimurum, en se situant sur 4 la courbe sociale d'indifférence la plus élevée qui soit compatible avec la frontière d'efficacité sociale. Celle-ci désigne le lieu des optima parétiens sur un plan des utilités pour deux individus ou groupes d'individus. Schéma p.286 S.2 Définition des

et Arthur Cecil Pigou. Plusieurs courants néoclassiques contemporains se réclament des néoclassiques : les Néo-walrasiens (Kenneth Arrow, Gérard Debreu), l'École des choix publics (James M Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux classiques (Robert Lucas Jr, Paul Romer), l'École de Chicago (Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker) ou encore les monétaristes (Milton Friedman). Les idées néoclassiques La théorie néoclassique va chercher à renforcer les conclusions libérales des penseurs

revient alors à la politique économique de réguler la conjoncture en relançant la demande en période de récession et en la diminuant en période de surchauffe. Ces politiques du Stop and Go reposant sur une série d’instruments (modèle IS-LM, courbe de Phillips…) ont connu leur heure de gloire durant les années 50 et 60. Aujourd’hui les néo-keynésiens (Mankiw, Stiglitz…) réaffirment de la politique conjoncturelle à court terme du fait des rigidités nominales (prix et salaires) fondées sur des comportements

KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS | MARSHALL | MARX | MEADE | MENGER | MILLER | MISES (von) | MILL | MODIGLIANI | MONTCHRESTIEN (de) | MUN | MUSGRAVE | MUNDELL | MYRDAL |   |   |   |   | NORTH | |   |   |   | OHLIN | OLIVENNES | OLSON |   |   | PARETO | PERROUX | PETTY | PHILLIPS | PIGOU | PIKETTY | POLANYI |   |   | RAWLS | QUESNAY |   |   |   |