Lucas Courbe Phillips

d’industries traditionnelles (textile, chaussures, jouets) qui visent tout d’abord le marché intérieur et l’exportation ; grandes entreprises qui s’établissent spécialement pour exporter vers les marchés mondiaux des produits à technologie élaborée (Phillips à Singapour) : coût et qualification de la main d’œuvre, stabilité politique, avantages fiscaux ; délocalisation de certains segments de l’activité productive, ceux à fort contenu de main d’œuvre, pour profiter des bas salaires ; On constate

apparaît de l’inflation (hausse du niveau général des prix, P). Principe n°10 : A court terme, il existe un arbitra ge entre chômage et inflation Cet arbitrage fait référence à la relation inverse entre inflation et chômage mise en évidence par A. W. Phillips (économiste néo-zélandais) en 1958. => Si le gouvernement veut réduire l’inflation, il devra tolérer plus de chômage et vice versa. INTRODUCTION - Chapitre 2 17 MICROECONOMIE Microéconomie : étude du comportement individuel des agents

.....................................................................................................93 Le modèle IS-LM…sans LM ...........................................................................................................94 La courbe de Phillips ......................................................................................................................95 Soutenabilité de la dette publique ....................................................................................

représentation du marché qui est stylisé, schématique. Sur un marché il y a deux choses -> Une offre et une demande. La demande. Elle est fonction décroissante du prix. Plus le prix est élevé plus la demande est faible et inversement. La représentation est la courbe de demande de Walras. Plus le prix est élevé plus le cout pour le consommateur est élevé, il doit donc sacrifier une partie importante de son revues a la satisfaction de se besoin. Certains consommateurs vont considérer que se sacrifice est trop grand

 chômage,  l’Etat  ne   doit  pas  intervenir  (juste  dans  la  finance).       3  -­‐  Courant  des  anticipations  rationnelles  (=  prévoir  correctement)   Auteurs  :  Lucas  et  Sargent.   -­‐  Les  agents  économiques  peuvent  se  tromper.  Mais  il  n’y  a  pas  de  raison  qu’ils  fassent  tous   les  mêmes  erreurs.  Si  un  sous-­‐estime

croissance économique cherchent précisément à construire des modèles expliquant l'apparition de ce facteur, c'est-à-dire à l'endogéneïser[N 16]. Ces modèles ont été développés à partir de la fin des années 1970, notamment par Paul Romer, Robert E. Lucas[N 17] et Robert Barro. Ils se fondent sur l'hypothèse que la croissance crée par elle-même le progrès technique. Ainsi, il n'y a plus de fatalité des rendements décroissants : la croissance engendre un progrès technique qui permet que ces rendements

taux d’intérêt non couverte exprimée en temps continu et utilisant des équivalences certains à cause de la linéarité du marché. L’équation (1.10) est la condition d’équilibre sur le marché monétaire et l’équation (1.11) est la relation de la courbe de Phillips reliant les mouvements des prix domestiques à la demande agrégée excédentaire,où cette dernière a une composante autonome dépendante de la compétitivité internationale et une autre laquelle est la sensitivité du taux d'intérêt. Si nous utilisons

croissance endogène, c’est un phénomène auto entretenu grâce à l’existence d’externalités positives. - «Nouvelle économie» où le capital humain et la maîtrise des nouvelles technologies seraient, encore plus qu’avant, des atouts essentiels. - Le modèle de Lucas (1988), montre que l'accumulation du capital humain est un facteur de croissance endogène devant en partie être prit en charge par collectivité. - Barro (1990) montre l’importance des dépenses publiques, sources d’externalités positives pour l’économie

parties sur la base des derniers prix offreur (bid) et demandeur (ask) affichés sur les écrans. A la différence du marché boursier, il n’y a donc aucune transparence sur les transactions non réalisées (carnets d’ordre), c’est à dire sur les formes des courbe d’offre et de demande. Ceci contribue à expliquer que le marché des changes soit un des plus volatils à très court terme (on peut observer des variations de prix brutales en un temps très court après une nouvelle macroéconomique ou quand une transaction

Keynes, J. M., “The General Theory of Employment, Interest and Money”, London, McMillan, 1936 9- Kydland, F. et E. Prescott, « Rules rather than Discretion: The Inconsistency of Optimal Plans”, Journal of Political Economy 85, p.473-491, 1977 10- Lucas, R. E., « Expectations and the Neutrality of Money », Journal of Economic Theory 4, p.103-124, 1972 11- Mankiw, N. G., „A Quick Refresher Course in Macroeconomics”, Journal of Economic Literature 28, p.1645-1660, 1990 12- Modigliani F. et R. Brumberg