Luigi Sturzo

totalitarisme est précédé du mot totalitaire et émerge du champ politique italien. Employé dès le début des années 20. 1922 : accession au pouvoir de Mussolini. Les opposants à Mussolini commencent à utiliser l’adjectif totalitaire à l’image de Luigi Sturzo, exilé en GB en 1924. Il publie en 1926, « L’Italie et le fascisme » dans lequel il qualifie l’Italie mussolinienne de totalitaire et la compare à l’URSS. Il est le premier à utiliser 2 expressions : il parle de fascisme de gauche pour qualifier

avant l’unité italienne[64] [64] De même que celle annexée par L. Gambi dans son dernier... suite. Le nom « Émilie » qui renvoyait à l’une des grandes régions d’Auguste de même que l’emprise peu ou prou correspondante furent remis en vigueur par Luigi Carlo Farini, originaire de Ravenne, qui s’en fit proclamer « dictateur » en 1859 au cours des manifestations qui précédèrent l’Unité. Mais cette région apparaît historiquement bicéphale du fait de son patrimoine juridico-institutionnel, se rattachant

contestation du gouvernement. En janvier 1921: création du parti communiste qui est hostile au gouvernement en place, qui est démocratique mais de façon nominal. -le catholicisme, qui était soutenu par le parti populaire italien, fondé par un prêtre, Don Luigi Sturzo. Précurseur de la démocratie chrétienne en Italie. Parti critique à l'égard du gouvernement, veut une politique libérale, sociale et décentralisé pour permettre l'autonomie des régions. La république en place est anti-cléricale, donc un soutien

Copenhague 1938)[2]. Le sociologue américain Nathaniel Stone Preston (Politics, Economics, and Power; Ideology and Practice Under Capitalism, Socialism, Communism and Fascism, New York, Macmillan, 1967), à l’instar notamment de l’historien italien Luigi Salvatorelli (1886-1974) (Nazionalfascismo, 1923), considère le fascisme comme l’expression politique de la classe moyenne prolétarisée, en opposition à la fois au grand capitalisme et au marxisme[2]. Le sociologue politique américain Seymour Martin

gouvernement. En janvier 1921, c’est la création du parti communiste qui est hostile au gouvernement en place, qui est démocratique mais de façon nominale. Le catholicisme, qui était soutenu par le parti populaire italien, fondé par un prêtre, Don Luigi Sturzo ; précurseur de la démocratie chrétienne en Italie, est un parti critique à l'égard du gouvernement, et veut une politique libérale, sociale et décentralisée pour permettre l'autonomie des régions. La république en place est anticléricale, donc

se crée en 1921 et considère que le régime démocratique est d’origine bourgeoise et que la démocratie ne l’est que de façon nominale - le catholicisme avait trouvé une expression politique avec le Parti Populaire Italien fondé par le prêtre Don Luigi Sturzo. C’est le parti qui est le précurseur de la démocratie chrétienne en Italie. Ce PPI prône une politique libérale, sociale et de décentraliser pour permettre l’autonomie des régions. Ce parti critique la politique menée par la république italienne

à Forli, puis dans toute l'Italie du Nord. A Rome, la municipalité avait du faire vendre au rabais les denrées alimentaires. Des terres avaient été occupées. En présence de l'abstention gouvernementale, le parti catholique populaire, créé par dom Sturzo, préconisait, avec l'autorisation du pape Benoît XV, le lotissement des latifundia en petites propriétés au profit des anciens combattants ; et le parti socialiste demandait l'exploitation collective de ces terres incultes. Aux élections de 1919,

(éviter l’oppression de certains groupes). Enfin, l’Etat doit être le régulateur des conduites sociales. Durkheim et Léon Duguit ont théorisé le solidarisme : les parties du corps social sont interdpdts. 2) La démocratie chrétienne ►Italie : Don Luigi Sturzo pose les bases. 1944, Gasperi fonde la Démocratie Chrétienne (au pvr jusqu’en 1994). e ►Allemagne : posée ds des termes différents, mais résultat assez semblable. 19 s., les catholiques allemands sont minoritaires (se rassemblent pour se protéger

devaient être. D’Annunzio avec des petits soldats, pour une petite crise, montre bien le thème de la victoire mutilée. 2. L’absence de solution politique La monté de deux partis de masse : - Le parti populaire italien : fondé en 1919 par Don Luigi Sturzo qui obtient la bénédiction du pape, mais qui reste finalement timoré et ne parvient pas à jouer un rôle considérable dans la vie politique, parce que le parti est composite et divisé. - Le parti socialiste italien (PSI) : il ne soutient pas

perpétuer pendant plus de dix ans (1) : Le Gramsci des Conseils, par opposition à l'« homme de parti »de naguère( 2); le Gramsci de l' « hégémonie »et du consenso, théoricien d'une « dictature du prolétariat »qui ne serait plus, selon la formule de Luigi Longo, que « capacité de direction de la classe ouvrière, direction ouvrière, nécessité de cette direction pour la conquête et la conservation du pouvoir, pour la transformation de la société dans une direction socialiste (3)». Un Gramsci dont la