Lutte gréco-romaine

l’écriture jusqu’à la chute de Rome en 476. L’Europe est une expression géographique qui tient son nom d’une légende grecque et qui n’est pas dans la période de l’antiquité un espace très connu ou très civilisé dans l’esprit des grecs, méditerranéens, et romains de l’époque. Le cœur de cette époque est la méditerranée. Ce cœur se déplace de la méditerranée sémitique ver la méditerranée orientale (grecque) ver la méditerranée occidentale (latine). Cette méditerranée pratique l’écriture, la navigation, le commerce

approcher la question du mythe en littérature et à définir la notion de « mythe littéraire », plus spécifique. Vaste sujet, tant le mythe irrigue non seulement l’imaginaire des écrivains, mais plus généralement nos discours et modes de pensée ! Les mythes gréco-latins, notamment, gardent une empreinte persistante sur l’ensemble de la culture occidentale. Le langage courant est un formidable conservatoire des mythes : ne parlet-on pas du talon d’Achille, du fil d’Ariane, d’un combat de Titan, d’une force herculéenne

européennes. On sortit progressivement de cette situation de monopole : Pétrarque dès le XIVe siècle élargis la gamme des auteurs antiques connus, L'« humaniste » Flavio Biondo découvrit de nouvelles œuvres d'auteurs romains et entreprit des fouilles archéologiques dans le Forum romain (vers 1430), En 1453, Constantinople fut prise par les Turcs ottomans, qui brûlèrent la bibliothèque, La même année l'invention de l'imprimerie allait permettre d'amplifier le phénomène. Par conséquent : L'archéologie

condamna à verser éternellement de l’eau dans des tonneaux percés et dénués de fond. Ces images disent l’impossibilité de l’assouvissement du désir et stipulent sa perpétuelle renaissance dans la douleur et la frustration. la tradition philosophique gréco-latine va prolonger la réflexion de Platon ainsi Lucrèce décrit avec précision, dans De la nature des choses, ce fonctionnement négatif du désir humain quand il écrit ce qui suit : « aussi longtemps que quelque chose manque à notre ardent désir, cette

/ Virgile.
Homère actif ver -750
Virgile poète romain plus récent -70 mort -19
troyen Enée qui est le héros de l’épopée virgilienne qui est l’Énédie représente le trait d’union entre la guerre de Troie et la fondation de Rome fondé par Romulus.
1. LaguerredeTroieetl’Iliade
A. La figure du poète grec Homère (actif ver -750) c’est la désignation de l’auteur de ce que son l’Iliade et l’Odyssée. Immense prestige des poètes homérique dans l’antiquité greco-latine. ( contenu littéraire)
L’iliade à pour

Aux Jeux Olympiques de Montréal, il y avait 21 épreuves. L’athlétisme, le cyclisme sur piste et sur route, l’escrime qui a toujours été dans les Jeux Olympiques jusqu’à aujourd’hui, le gymnastique artistique, l’haltérophilie, la lutte libre et la lutte Gréco-romaine qui était le sport le plus populaire dans la plupart des pays antiques, la natation, le plongeon et le water-polo étaient des sports présents depuis 1896, aux premiers Jeux Olympiques modernes à Athènes. Ensuite, la boxe, le canoë/kayak

Histoire du droit : C’est un cours présent depuis la fin du 19ème siècle. Avant, il n’y en avait pas mais il y avait du droit romain. En 1876, on procède au recrutement des professeurs de faculté de droit, mai c’était un professeur polyvalent qui devait présenter plusieurs cours. C’est en 1896 que les professeurs se spécialisent dans une « section ». Ce cours permet de connaitre l’origine du droit, de découvrir les institutions et, aujourd’hui, de donner le sens de l’évolution. Attention, l’étude

chrétienté et l’impose au monde entier comme référence commune par l’expansion des empires coloniaux. ! abandon d’une conception circulaire du temps qui était extrêmement répandue (Chine, Japon, Empire byzantin, …) Après l’effondrement de l’Empire romain, on data par référence aux diverses autorités : les souverains dataient à partir du début du règne, et les moines à partir de la fondation de leur abbaye ou par abbatiat. Quant aux hommes ordinaires : temps structuré par les travaux des champs et

Vite), en passant par le XVIIIe siècle de Johann Joachim Winckelmann jusqu'au XIXe siècle hégelien - est l'histoire d'un progrès de l'art. L'art est supposé passer d'un stade archaïque à un stade classique puis tomber en décadence. L'art grec et romain sont présentés en exemple de cette courbe de développement. Pour l'art grec, la notion d'art était différente de celle qui est présente dans la civilisation occidentale. En effet, en grec, le mot « art » se disait tekhné, la technique. Les Grecs

qu'elle est souvent figurée dans l'Antiquité gréco-romaine nous montre également le poète subordonner sa propre personne à l'exigence d'une révélation supérieure, dont il se fait le serviteur et le porte-parole. Le poète n'est pas décrit ici comme un technicien habile du beau langage, mais essentiellement comme un inspiré, qui ne crée que sous l'action d'une source de vérité extérieure à lui, et cela dans une espèce de fièvre que l'on appelle depuis les Romains la "fureur poétique" (furor poeticus) :