Luy

nombreux plats sont énumérés tout au long du roman montrant ainsi la variété et l’abondance des plats « jambons de Magence et de Baionne » ; « langues de beuf fumées » ; « andouilles ». L’appétit de Gargantua est gigantesque et cela dès sa naissance : « luy feurent ordonnées di et sept mille neuf cens treze vaches de Pautille et de Brehemont ». Dans l’œuvre de Rabelais, chaque repas du roman semble devenir un véritable banquet, un véritable festin, également pour un simple petit déjeuner. En effet, dans

comme ses euvres de long tans semées par toute la France contreignent les envieus mesmes à confesser : & le prie d’ouir les complaintes qu’il fait, pour estre absent de sa dame, sans grande esperance de la revoir. Un presque semblable Sonet luy avoit ecrit du Bellai, dans son Olive : lequel m’a semblé bon de metre ici. Divin Ronsard qui de l’arc à set cordes » Etc.6 ____________________ p. 105-107, Sonnet « Petit nombril, que mon penser adore... » v. 1-5 « Petit nombril, que mon

Steven LY BTS IRIS 2006/2007 Remerciements Tout d'abord, je voudrais adresser un grand merci à Monsieur Jean Pierre Chao pour m'avoir permis de faire mon stage dans son entreprise. J’exprime toute ma gratitude à Monsieur Ratha LUY qui m'a fait une place dans son service. Je remercie aussi les membres du service Après-vente pour leur gentillesse et leur disponibilité à mon égard. Et enfin, je remercie les personnes qui par leur gentillesse m'ont permis d'effectuer ce stage dans

d’un Chirurgien pour panser & médicamenter ceux qui seront logez aux Bastides ou Cabanes desdits Terroirs qui pourront être atteints du mal contagieux & auquel Chirurgien seront tenus faire donner retraite en une Metairie ou Cabane particulière, & luy donner un Valet pour préparer ses Viandes, ou bien lesdits malades seront conduits à l’Infirmerie la plus prochaine pour y être pansez & médicamentez par les Medecins & Chirurgiens desdites Infirmeries. LXXXIV. Enjoint ausdits Consuls d’établir un

Pourquoi pas? mais dans le corpus de nouvelles sérieuses que j’ai étudiées, une telle affirmation semble absente (Je m’empresse d’ajouter que Geburon précise bien la question: "Appelez-vous contentement bestial... si la femme veut avoir de son mari ce qui luy appartient?", s’attirant la réponse de Longarine que je viens de citer. Le texte semble jeter un éclairage trouble sur l’amour physique qui, même dans un(e) ’honneste amour’ semble dangereux. L’ensemble de l’Heptaméron se prêterait assez bien à une

Pantagruel se pourmenoit après soupper avecques ses compaignons par la porte | |dont l'on va à Paris. Là rencontra ur escholier tout jolliet, qui venoit par icelluy chemin ; et, après qu'ilz | |se furent saluez, luy demanda : " Mon amy, d'ont viens tu à ceste heure ? L'escholier luy respondit : " De | |l'alme, inclyte et celebre academie que l'on vocite Lutece. | |Qu'est ce à dire ? dist Pantagruel à un de ses gens ?

d’un chat. — Le premier tercet du sonnet 62 contient un message métatextuel et une allusion directe à la satire. Sonnet 62 La Satyre (Dilliers) est un publiq exemple, Où, comme en un miroir, l’homme sage contemple Tout ce qui est en luy ou de laid, ou de beau. — La séquence qui va des sonnets 63 à 73, dont le sens reste le plus obscur du recueil, est axée sur des critiques personelles, à l’exemple de Berni, et non d’après la maxime de Martial (X, 30, 10) «Parcere personis, dicere

PRESENTATION Preface Je hay plus que la mort un jeune casanier, Qui ne sort jamais hors, sinon aux jours de feste, Et craignant plus le jour qu’une sauvage beste, Se fait en sa maison luy mesmes prisonnier. Mais je ne puis aymer un vieillard voyager, Qui court deça dela, et jamais ne s’arreste Ains des pieds moins léger que léger de la teste, Ne séjourne jamais non plus qu’un messager. L’un sans se travailler en seureté demeure, L’autre, qui n’a repos jusques à tant qu’il meure

voluptés naturelles, pourveu que la mesure y soit joinct, et en presche la modération, non la fuite ; […] Mais ay-je pas raison d’estimes que ces préceptes, qui ont pourtant d’ailleurs, selon moy, un peu de rigueur, […] et par l’entremise de la fantaisie, luy faire revenir l’appetit et l’allégresse […] (Virgile, 107)» Dans ce passage, Montaigne montre que parfois on a besoin de « fantaisie » - plaisir qui part au-delà de la modération – pour raviver le désir de vivre disparu à cause de la vieillesse dans

Grange écrit ce jour : « Ce mesme jour après la Comédie sur les 10 heures du soir Monsieur de Molière mourust dans sa maison Rue de Richelieu, ayant joué le rosle dudit malade imaginaire fort incommodé d'un rhume de fluction sur la poitrine qui luy causoit une grande toux de sorte que dans les grans efforts qu'il fist pour cracher il se rompit une veyne dans le corps et ne vescut pas demye heure ou trois quarts d'heure depuis ladite veyne rompue. Son corps est enterré à St Joseph, ayde de la parroisse