Luzerne

concentrations, généralement observée chez les plantes F. Mosseddaq, Formation 'Analyses de sol et de végétal' 13/10/11 High Plant Analysis Level Plant Analysis Level F. Mosseddaq, Formation 'Analyses de sol et de végétal' 13/10/11 Mais Luzerne Graminée Feuille drapeau Feuilles sup. Feuilles sup. Apparition des soies 10% floraison Avant épiaison Plage de ‘suffisance’(%) 2.75 – 3.50 3.75 – 5.50 2.50-3.50 0.25 – 0.50 0.25 – 0.70 0.20-0.40 1.70 – 2.50 2.00 – 3.50 1.50-3.00 0

agir : • En empoisonnant la larve dés sa pénétration dans la plante : Le cas de l’arachide qui contient du di-n-butylsuccinate toxique pour pratylenchuscoffeae, du cytise des inde ou pois du Congo toxique pour Méloidogyneincognita, la luzerne toxique pour pratylenchuspenetrans, (Baldridjeet al.,1998 in Bernad,2008)avoine et gros chiendent toxique pour Méloidogynespp • En bloquant son développement et sa multiplication : tel est le cas du ricin, les chrysanthèmes et les mucuna qui permettent

/kg | Prix final en Dhs | L’ensilage | 8 Kg / vache | 1,50 | 12 ,00 | Bran | 4 kg / vache | 2,50 | 10,00 | betterave | 6 kg / vache | 2,40 | 14,40 | Orge | 4 kg / vache | 3,60 | 14,40 | Le foin | 10 kg / vache | 1,20 | 12 ,00 | luzerne | ¼UN/vache | 7,00 | 7,00 | TOTAL journalier | (TTC) | | 69,80 | 1.5. Les salariés : La réussite d’un tel projet réclame la réalisation d’un certain niveau d’expérience. Pour avoir une part dans le marché ca nécessite, entre outre

Wassili Kandinsky, «Cours du Bauhaus», in: Ecrits complets, Paris 1970, III, p. 201, et Punkt und Linie zu Fläche (1926), Bern 1973, p. 14. 34 Otto von Simson, «Musik und Architektur», in: Anil de Silva et al., Mensch und Musik im Spiegel der Kunst, Luzern 1973, pp. 35-37. 35 Rudolph Schnyder, «Die Schalltöpfe von St. Arbogast in Oberwinterthur», in: Zeitschrift für Schweizerische Archäologie und Kunstgeschichte, 38, 1981, pp. 226-275 36 Alberto Abriani et Jacques Gubler, Alberto Sartoris, Milano

production totale de « fourrages annuels » est estimée à 19 M de tonnes de matière sèche (dont 17 p our le maïs). • Les prairies artificielles (prairies de 0 à 5 ans) correspondent à environ 520 000 hectares et comprennent essentiellement de la « luzerne » (420 000 hectares), le « trèfle violet » correspondant à 530 000 hectares et les « autres légumineuses et mélanges de légumineuses » à 450 000 hectares. Globalement la production de ces « prairies artificielles » est de 4,8 M de tonnes de matière

développer une agriculture moderne. Pour remplacer la jachère, on pratique désormais les assèchements triennaux (ou quadriennaux) : ces derniers permettent de régénérer le sol, en alternant les céréales avec des plantes fourragères, comme le trèfle ou la luzerne, ou des tubercules. Les plantes fourragères, en plus de régénérer le sol, permettent de nourrir le bétail. Mieux nourri, celui-ci permet d'obtenir de l'engrais naturel, qui sera complété par d'autres engrais, chimiques ou naturels (guano péruvien)

Potassium | 15 U | 45 U/ha | Donc, cela fait 60 U d’azote, 54 U de phosphore et 45 U de potassium en moins à apporter. Comparons l’itinéraire technique de l’intégrée à celui de l’intensif (tableau ci-contre). Dans l’avenir, on pourrait implanter de la luzerne pour allonger les rotations, ainsi qu’enrichir le sol en azote, en fixant l’azote de l’air grâce aux nodosités. 34- Impacts sociaux Avec la réduction des passages de pulvérisateur, Messieurs PICHOT sont dorénavant moins exposés aux produits

savoirs. Adoptions de techniques venues d'Angleterre, comme l'introduction de la culture du navet par exemple qui permet de fixer l'azote dans le sol (forme les engrais). A cette culture, s'en ajoute d'autres qui ont les mêmes vertus, le trèfle, la luzerne,... Ces cultures permettent de développer l'élevage qui à son tour engraisse les sols. Introduction de bétail plus performant comme le mouton espagnol par exemple (forte production de laine) et premières sélections de bovins. 3) Innovations agricoles

un engraissement surtout par la filière maïs-soja 3. le développement de l'irrigation plus de 20 millions d'hectares irrigués ; un facteur décisif d'intensification une utilisation plus particulière pour le coton, les cultures maraîchères, la luzerne destinée aux feed-lots a permis de faire reculer la limite de la culture de plus de 100 kms dans les hautes plaines une irrigation ultramoderne fertilisante par aspersion automatisée des paysages très humanisés, magnifiques, notamment en

surtout par la filière maïs-soja 3. le développement de l'irrigation ú plus de 20 millions d'hectares irrigués ; ú un facteur décisif d'intensification ± une utilisation plus particulière pour le coton, les cultures maraîchères, la luzerne destinée aux feed-lots ± a permis de faire reculer la limite de la culture de plus de 100 kms dans les hautes plaines ú une irrigation ultramoderne ± fertilisante ± par aspersion ± automatisée