Lycurgue

l’exercer ». Seulement, il faut prendre garde que les puissants ne laissent pas leur arrogance contrôler la Diké. Dans cette période, on va trouver des Nomothoppes et de Aisymnètes qui sont des arbitres. Pour Sparte, il y aurait un législateur (Lycurgue). Pour Athènes, le premier législateur serait Dracon, le suivant serait Solon qui a dit « j’ai rédigé des lois fixant pour chacun une justice droite ». Section 2 : La cité Athénienne La présence des Dieux restera particulière (Socrate sera

à travers de nouvelles créations, et par la production de pièces anciennes, notamment dues aux trois grands : Eschyle est rejoué dès après sa mort, et la reprise des auteurs anciens est officiellement organisée à partir du IVe siècle av. J.-C. et Lycurgue fait établir le texte officiel des pièces[111]. Héraclide du Pont consacre aussi aux trois anciens un traité intitulé Sur les trois tragiques. Hormis peut-être le Rhésos, faussement attribué à Euripide[91], il ne subsiste en revanche que des fragments

nouvelle manière la grandeur de Rome. Les tenants de l'humanisme civique florentin expliquaient la grandeur de l'Etat par la fortune (le hasard) et les vertus de la discipline, de la loi militaire. Par exemple, Sparte a dut sa grandeur à l'arrivée de Lycurgue, un homme hors du commun qui a mit en place une constitution mixte, célébrée comme un modèle de tempérance et d'harmonie par les auteurs du quattrocento qui contestent ce qui était institué au Moyen-Age, mettant la foi au dessus de tout valorisait

des modèles de mauvaises actions, avant même que de savoir lire. Telle était l'éducation des Spartiates, au rapport du plus grand de leurs rois. C'est, dit Montaigne, chose digne de très grande considération, qu'en cette excellente police de Lycurgue, et à la vérité monstrueuse par sa perfection, si soigneuse pourtant de la nourriture des enfants, comme de sa principale charge, et au gîte même des Muses, il s'y fasse si peu mention de la doctrine: comme si, cette généreuse jeunesse dédaignant

et vertu en parallèle avec les Indiens et l’âge d’or donc référence à l’antiquité (l.26) pour les penseurs humanistes -> mettre en valeur la réalité sensible, incontestable qui est présente « expérience » (l.27). La sagesse antique est référée par Lycurgue et Platon, la république de Platon est une fiction idéale « toutes les peintures... » (l.28 à 30). Montaigne met en valeur l’expérience directe. Le face à face est favorable à la réalité indigène : si proche de la perfection donc presque inconcevable

abominables représailles, extermine toute la maison d’Ochosias son époux, et le seul Joas échappe. Jéhu est vaincu sur la fin de son règne par Hazaël, roi de Syrie. C’est dans ce temps que Sparte, en proie aux dissensions civiles, reçoit de Lycurgue ces fameuses lois, établies toutes pour la guerre. Carthage commence à combattre pour s’affranchir du tribut et pour étendre ses frontières. Joachas, fils de Jéhu, est en armes toute sa vie contre les Syriens, tantôt défait, tantôt vainqueur

et une femme, à la fin elle met son destin entre les mains du Dieu. Le chœur joue une série de comparaisons entre la condamnation d'Antigone et d'autres figures mythique grecque par exemple l'histoire de "Danaé", Cléopâtre fille de vent Borée, Lycurgue et sa révolte contre le Dieu Dionysos Etc. Notre histoire d'Antigone n'est pas encore terminée avec la mort de cette dernière, mais sur la scène. On va trouver l'arrivée du vieux devin " Tirésias aveugle " conduit par un aveugle , et selon les

fin du VIe siècle et au début de l’époque classique. Les auteurs anciens en attribuaient la paternité à un législateur unique Lycurgue, personnage plus ou moins légendaire. On ne sait en effet ni quand il aurait vécu ni dans quelles circonstances il aurait créé ces institutions. Déjà, Plutarque écrit dans sa vie de Lycurgue : « Si incertains sont les récits relatifs à Lycurgue le législateur de Sparte que les déclarations d’un historien sont remises en cause par un autre. Leurs opinions sont diverses

commandements ; c'est même dans une telle pureté que je me prends parfois à regretter vivement que la connaissance n'en soit pas venue plus tôt [dans nos pays], du temps où il y avait des hommes qui auraient mieux su en juger que nous. Je regrette que Lycurgue et Platon5 ne l'aient pas eue ; il me semble, en efet, que ce que nous voyons par expérience dans ces nations-là surpasse non seulement toutes les peintures par lesquelles les poètes ont embelli l'âge d'or et toutes leurs inventions pour imaginer

qu'un avis particulier. Il importe donc pour avoir bien l'énoncé de la volonté générale qu'il n'y ait pas de société partielle dans l'Etat et que chaque citoyen n'opine que d'après lui (Note 8) . Telle fut l'unique et sublime institution du grand Lycurgue. Que s'il y a des sociétés partielles, il en faut multiplier le nombre et en prévenir l'inégalité, comme firent Solon, Numa, Servius. Ces précautions sont les seules bonnes pour que la volonté générale soit toujours éclairée, et que le peuple