Lyrisme Universel

très baudelairien comme l’amour, la mort, le spleen ainsi que les saisons. Je l’ai donc choisi car en traitant de l’automne Charles Baudelaire nous exprime ses sentiments et son mal du siècle envers la fuite du temps. C’est un poème appartenant au lyrisme élégiaque, et pour ainsi dire, l’automne est la saison avant l’hiver et donc à travers cette image on peut s’apercevoir du chant désemparé du poète. Le pin des Landes On ne voit en passant par les Landes désertes,  Vrai Sahara français, poudré

n'est pas située dans le temps. Nous reviendrons un peu plus loin sur ce caractère dé-temporalisé du sujet lyrique. IV.2.1.5. Le contenu de l'énoncé lyrique est irréel Cependant Käte Hamburger fait une distinction très importante dans le cas du lyrisme entre la réalité (ou non) du sujet de l'énonciation et la réalité (ou non) du contenu de l'énoncé. Soit un énoncé comme celui d'Eluard: La terre est bleue comme une orange. Si l'on suit Käte Hamburger, on doit admettre que c'est une énonciation réelle

puissance des forces engagées. Le poème alterne également récit et dialogues, à travers lesquels les personnages révèlent leur valeur ou leur félonie. 40 Guillaume d’Aquitaine Poésies page 50 Objectif Étudier l’expression du lyrisme dans la chanson médiévale Repères « Le comte de Poitiers fut un des plus courtois du monde et des plus grands tricheurs de dames. Bon chevalier d’armes et généreux dans les affaires d’amour, il sut bien trouver [trobar] et chanter. Et il alla

d’inégalité. I. Expression d’un éloge paradoxal. Le poète exprime un véritable amour pour ces deux créatures que sont l’araignée et l’ortie. Or, ce sentiment semble tout à fait paradoxal étant donné leur nature. 1- Expression immédiate d’un lyrisme amoureux à contre-courant. Poème placé dès le 1er vers sous le signe de l’amour : présence de la première personne du singulier – « je » - articulée à un verbe de sentiment – « aimer » - montre la transmission d’un sentiment personnel), la répétition

Considérations générales. Le programme de l’école romantique. Les poètes romatiques: | | | | |Lamartine entre le classicisme et le romantisme, V. Hugo- génie lyrique et épique, Vigny-poète de l’idée, | | | | |Musset- le lyrisme personnel. | | | |3 |Le roman romantique: le roman sentimental, le roman historique, le roman d’inspiration sociale et | | | | |humanitaire

Jusqu’à Madame Bovary, Flaubert, très influencé par Honoré de Balzac, se sent atteint de schizophrénie littéraire : « Il y a en moi, écrit-il en 1852 à Louise Colet, littérairement parlant, deux bonshommes distincts : un qui est épris de gueulades, de lyrisme, de grands vols d’aigle, de toutes les sonorités de la phrase et des sommets de l’idée ; un autre qui creuse et qui fouille le vrai tant qu’il peut, qui aime à accuser le petit fait aussi puissamment que le grand, qui voudrait vous faire ressentir

le contrepied de la conception classique. Pour eux, la poésie est conçue non comme un jeu formel et une virtuosité de la langue mais comme exaltation du moi. A la suite de Alphonse de Lamartine, pour lequel , Alfred de Musset défendit l’idée de lyrisme personnel et la conception du poète comme un être tourmenté, doté d’une sensibilité exceptionnelle au point qu’il établissait un lien de cause à effet entre le désespoir ressenti et la beauté du poème. C’est cette idée qu’exprime sa célèbre formule

thématiques et stylistiques : la tonalité poétique (analogue à l’émotion indéfinissable (le « je-ne-sais-quoi » de V. Jankélévitch) suscitée par la poésie), lyrique (qui suscite une vive émotion – pathétique : émotion intense et extravertie ; élégiaque : lyrisme en mineur de l’émotion du deuil, mélancolie – la tonalité dramatique exprime une forte tension par exemple le tragique évoque la fatalité de la destinée) , le comique suscite le rire et induit l’ironie, l’épique exprime l’ampleur d’une fresque historique

AGE, MOYEN FRANçAIS Cette littérature médiévale va s’affiner avec le Moyen français et des gens comme RUTEBEUF : « savez-vous comment je m’arrange ? L’espérance du lendemain, Ce sont mes fêtes. » Premier à exprimer en langue d’oïl un lyrisme personnel. CHRISTINE de PISAN : 1ère femme à vivre de sa plume. Des œuvres de commande mais aussi des rondeaux qui laissent échapper la confidence personnelle. = poésie de circonstance et fonction lyrique marquée par la confidence personnelle

dramaturgique) face à dilemme = incertain, bouleversé informatif / narratif / argumentatif (délibération) / interpellation (dieux) réflexion, doutes, projet récit (tirade, monologue) : rendre vivant l’événement stances : morceaux poétiques en alexandrins => lyrisme, pathétisme stichomythies : tension, symétrie, relation conflictuelle aparté quiproquo : méprise, malentendu, ironie Personnage (statut ? caractéristiques, traits psychologiques ? fonction sociale ?) comédie : milieu bourgeois tragédie : univers