Légitimité Pragmatique

peuple souverain est introuvable, il n’est pas unifié. Le monarque, lui tire sa légitimité du droit divin (à part pour les Francs, Clovis élu par ses pairs). Le droit descend alors du droit de dieux, le droit est coutumier et repose sur la tradition car la volonté de dieux ne change pas, mais le souverain de droit divin n’est pas le même que ses prédécesseurs. * La souveraineté : principe d’égalité et non de légitimité. Horace est acquitté, ce n’est pas légal, mais légitime étant donné sa position

qu’il y aurait des normes juridiques pour indiquer exclusivement la procédure a suivre pour créer d’autres normes semblables. Il faut donc des normes A qui seraient des procédures de formation d’autres normes B pour qu’elles puissent avoir une légitimité et donc être respectées, en d’autres termes une norme ne sera légitime que si elle a été créée selon une procédure indiquée par une autre norme procédurière. Une norme n’est valable que si et seulement si elle a été crée d’une certaine manière.

explique dans la Désobéissance civile, la désobéissance volontaire aux lois peut être un moyen de proteste contre une loi ou un État considéré injuste (il peut l´être ou pas, c´est quand même une proteste). Voici comment le jugement de chacun sur la légitimité des lois rend l´obéissance assez hétérogène et issue d´une obligation de laquelle on peut s´en passer volontairement. Finalement, l´obéissance à l´État peut être, non seulement sélective, mais totalement niée. Ceci prouve qu´on peut toujours choisir

•peut : Est-il possible, est-il légitime. •renoncer : Abandonner un droit, une idée, se défaire, se dessaisir, se démettre. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des

cette méfiance, que peut générer le regard de l'autre sur moi, instaure une relation de méfiance de soi à soi. Car c'est bien encore la crainte d'être jugé, d'être étiqueté et catalogué qui est ici mise à la question à travers le problème de la légitimité d'une telle crainte. « L'enfer, c'est les autres », nous dit Sartre. Et en effet, comme le sous-entend le sujet, nous craignons le regard de ces autres qui nous jugent, qui nous mettent en face de nous-mêmes. Ces jugements nous font peur et nous

« DANS QUEL ÉTAT SE TROUVE L’ÉTAT ? » Plan du premier texte à résumer INTRODUCTION : regroupez ces 3 aspects dans le premier paragraphe de votre résumé • Sujet amené : pertinence de traiter de l’État, de nos jours, ou notions théoriques sur l’État (sans émettre une idée spécifique du texte) ; • Sujet posé : vous indiquez que ce travail est un résumé, vous précisez le titre du texte, qui en est l’auteur et vous énoncez brièvement que celui-ci tente de présenter les notions essentielles

devenus des représentants du peuple travaillant dans son intérêt et n’étant légitime que par le vote de celui-ci. Ceux qui gouvernent n’ont d’autre légitimité que parce qu’ils sont choisis et parce qu’ils continuent de travailler suivant la volonté du peuple. Mais souvent la volonté du peuple est confuse et c’est ce qui donne une certaine légitimité a la recherche des intérêts de la nation (non du peuple seul) et d’inscrire toute la démarche des représentants dans la légalité. Toute forme de répression

lumières) * Paragraphe5: définition de l’autorité = peuple possède l’autorité qu’il peut reprendre. (= prudent dans la forme mais les thèmes sont très forts et scandaleux pour l’époque) 1) L’autorité et la légitimité: - Connotations positives * Paragraphe4: évoque une hypothèse: est ce que ça suffit de reconnaitre l’autorité de quelqu’un pour quelle soit légitime? Donner autorité à une personne est irrationnel = pouvoir de Dieu. (référence à

et le 16ème siècle. La transmission se faisait par la loi divine. C’est au nom de dieu que le roi régnait. Rupture : rationalisation et institutionnalisation du pouvoir. L’Etat moderne va offrir des prérogatives essentielles au titulaire : la légitimité. Il faut trouver un autre fondement au pouvoir que la loi divine. Il s’agit de convaincre les citoyens d’obéir et pas de les soumettre. Un pouvoir est légitime si il est attribué et exercé d’après des principes et règles accepté sans discussion

LEGALITE ET LEGITIMITE LA LEGALITE PEUT-ELLE ÊTRE ILLEGITIME ? Définition légalité : Définition légitimité et illégitimité : Qualité d’un pouvoir d’être conforme aux aspirations des gouvernés (notamment sur son origine et sa forme), ce qui lui vaut l’assentiment général et l’obéissance spontanée. La légitimité n’est pas immuable. LA légitimité démocratique est une légitimité fondée sur l’investiture populaire des gouvernants (élection). Enfin une autre forme de légitimité ; la légitimité monarchique