Légitimité Pragmatique

c’est l’aîné, le fils légitime, qui sera exclu du cercle familial et s’engagera comme médecin sur le transatlantique "Lorraine". Les personnages Personnages principaux Pierre Roland : homme brun de 30 ans, né en 1855, il va enquêter sur la légitimité de son frère Jean et va trouver qu'il est le fils de Maréchal. Il est reçu docteur en médecine et souhaite installer un cabinet de médecine dans la région, il trouve un appartement qui lui conviendrait mais finalement c'est Jean qui va le louer

Arrêtons-nous un instant sur ce "semble-t-il". Kant est prudent, et la suite du texte s'attachera à empêcher toute équivoque. Il ne s'agit pas en effet d'entrer dans une contradiction avec le principe qui ne reconnaît qu'à la "raison pure" la légitimité de définir nos devoirs. Nos devoirs sont exclusivement les fins qu'un être doué de raison, en tant qu'il est rationnel, doit poursuivre. Tout se passe cependant comme si une finalité empiriquement définie, le bonheur, pouvait constituer un devoir

française. On peut toutefois ajouter que ce contrôle de la constitutionnalité s’opère de différentes manières. En France la constitution correspond à la base de la législation, on peut également dire que la constitution permet de régir de par sa légitimité, l’ensemble de notre société. Mais qu’est-ce que la constitution a proprement parlé ? La constitution est un ensemble de normes placées au sommet de ma hiérarchie juridique et qui s’imposent à tous. Elle est le garant des droits et libertés fondamentales

international. Il s’agit donc d’un problème relevant du droit, de l’application de règles juridiques et non pas de définitions politiques, d’un art de gouverner. Le DIP ne peut s’envisager que sous l’angle de la conformité ou de la légalité et pas de la légitimité ou du caractère juste. La morale et la politique relèvent du registre de l’opinion, d’une vision particulière du monde, de la relativité et non de l’universalité. Cela les oppose au DIP qui par essence, est unique. III.b. Articulation étroite

le 4 octobre 1958 sous la Cinquième République. Agissant comme autorité de contrôle sur le déroulement des élections et des référendum, le Conseil Constitutionnel dont les membres sont souvent appelés « sages » sont aussi là pour vérifier la légitimité d’une loi et son bon fondement. Ils peuvent en effet mettre leur veto sur une loi pensée et passée à l’Assemblée Nationale si elle leur est perçue comme inefficace ou injustifiée. C’est récemment le cas de la taxe carbone rejetée par le Conseil

pour eux le droit international est juste un rapport de force entre Etats, c'est à dire une relation entre dominés et dominants. En effet, un Etat puissant aura plus d'emprise sur un Etat considéré comme faible, et ainsi cela lui confére plus de légitimité au regards des autres Etats. Ces négateurs du droit international invoquent surtout le défaut de contrainte. Il n'y a pas de monopole de la contrainte, elle est inexistante, non organisée. Le droit international n'a pas de pouvoir supra étatique

Selon cette théorie, toute autorité vient de Dieu mais par l’intermédiaire du peuple. Dans cette pensée, c’est le peuple qui historiquement, a décidé que la souveraineté devant être exercée par un roi. Traditionnellement, la monarchie justifiait sa légitimité d’autorité par le fait que le peuple aurait choisi les rois pour exercer le pouvoir. En conséquence, si un roi exerce le pouvoir dans son propre intérêt, ce n’est plus un roi mais un tyran. La charge du pouvoir retourne alors au peuple. Au contraire

toujours servi dans un but légitime, à savoir la fonction qui lui est propre : harmoniser les décisions de justice. En outre, il faut préciser que l’exercice de moyens de pression tels que l’astreinte et l’injonction posait un réel problème de légitimité avant 1958 dans la mesure où le juge administratif ne disposait pas d’une assise constitutionnelle, cela justifie en partie l’absence de l’utilisation de ces procédés à l’encontre de l’exécutif. Dès 1958 cette raison n’est plus valable et, poussé

sur une "crise de l'Etat-Providence"), mais sur son moyen spécifique: le concept de monopole de la violence physique légitime. L'articulation de la notion d'Etat à celles de Nation et de souveraineté implique un approfondissement de ce concept de légitimité, que la philosophie utilise pour opposer la puissance et le droit. En effet, l'Etat de droit a été imaginé à travers la remise en cause de sa souveraineté qui caractérisait l'Etat de puissance. Les théoriciens ont alors cherché à redéfinir la

légalité entraine un respect de la forme * * La légitimité * C’est la conformité a l’égard de l’idéal de justice dominant. * * Il arrive que certaines situations soit a la fois légale et légitime : respect du droit et en même temps la conformité a l’égard de l’idéal de justice dominant. * En revanche il existe beaucoup de situations légales mais où la légitimité est contestable. Qui entre la légalité et la légitimité l’emporte dans ce cas ??? il y a là un rapport de force