Légitimité Pragmatique

humaine (« c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs »). Un tel renoncement ne peut avoir de prix. Rousseau soulève en outre, toute une série de difficultés que rencontrent ceux qui voudraient affirmer la légitimité de l’esclavage. Grotius affirme par exemple que tout un peuple pourrait aliéner sa liberté pour se rendre sujet d’un roi. À cela Rousseau répond que même si un homme avait le droit de s’aliéner auprès d’un maître, il ne pourrait le faire pour ses

financier il n peut pas y avoir de pouvoir politique. A partir du pouvoir financier on établi un pouvoir politique, on finance son pouvoir. Droit public financier : a partir d’un certain stade le pouvoir financier cherche à s’appuyer sur une légitimité juridique pour s’installer de façon solide. Droit budgétaire, droit de la comptabilité publique, droit fiscal. Section 1 : les origines financières du pouvoir politique. Impôt qui est à la source de l’état. Dépend l’état. Un passage obligé

Thèse principale de l’ouvrage : Il est de plus en plus question de nos jours du sens du métier des armes. Le général Bachelet dans " Pour l’éthique du métier des armes - Vaincre la violence" mène une réflexion sur la problématique de la légitimité de l’usage de la force armée. Pour lui, l’emploi de la force devient une nécessité pour faire pièce à une violence qui porte atteinte à l’éthique humaine, à l’universalité de l’homme. Cette force devrait être efficiente c’est-à-dire juste ce qu’il

1 Selon Rousseau la liberté signifie faire quelque chose qui ne porte pas de préjudice à autrui quelque chose que n’importe quel personne peut faire, par exemple : cultiver ses légumes sur sa terre. La liberté consiste à être soumis à la volonté des autres, donc à avoir des limites qui sont imposées par l’ensemble de la société. Et l’indépendance signifie faire quelque chose qui nous plaît même si cela porte tors à quelqu’un, commettre un acte qui n’est pas à la porté de chacun et qui ne respecte

Dissertation de Philosophie Nietzsche affirmait : « Nos devoirs, ce sont les droits que les autres ont sur nous. » Cela implique que mon devoir est une contrainte exercée par les autres, c’est une force extérieure qui m’empêche l’action volontaire. Le devoir est-il réellement une contrainte qui m’est extérieure ? Si c’est le cas, on peut alors se demander qui est autorisé à me dire « Tu dois », c’est à dire qui a le droit de me dicter mon devoir. Le droit est ce qui est légitime

important qu’une loi soit mise en vigueur, seulement si le peuple ne la subit pas et vote au moins une fois à l’unanimité. Cela pose cette fois ci la question de la légitimité. C’est donc après avoir vu qu’il semble généralement être légal qu’un homme soit privé de sa liberté, nous allons voir si cette légalité entraîne nécessairement la légitimité de cet acte. Voyons maintenant dans quelle mesure il peut paraître légitime d’ôter sa liberté à un homme. Comme nous l‘avons vu précédemment, les désirs d’un

un sentiment d'appartenance à une nation. C'est ce sentiment d'appartenance qui peut ensuite créer un Etat. Le critère fonctionnel : des institutions qui exercent une autorité. Cette autorité est appelée la souveraineté, qui va de paire avec la légitimité et la reconnaissance des autres Etats de cette autorité. Paragraphe 2 : Les différents rapprochements avec l'Etat A. Le lien entre Etat et souveraineté Au début, rien n'était clair ni précis (avant XVIème s.). La notion de souveraineté

personnelle et d'une appréciation subjective du bien commun en dehors de toute position dans la chaîne hiérarchique. L'homme du 18 juin et les Forces françaises Libres se posent comme autant de maillons dissidents au nom d'un idéal transcendant, et de la légitimité d'une valeur plus importante à leurs yeux que la légalité, parfois entachée d'injustice[7]. III. Du devoir de désobéissance civile. Si pour Max Weber, l’honneur d’un agent se trouve dans son aptitude à exécuter consciencieusement un ordre

le cadre d’une entreprise, il y’a manifestement la création d’interactions entre eux et dès lors le pouvoir apparait. Ce pouvoir s’exprime d’abord sous une forme particulière : « l’autorité, qui lui confère un caractère formel et qui n’est que la légitimité du pouvoir du point de vue de l’organisation » (Jameux, 1994). Parmi tous les modes d’influence, l’autorité occupe une place particulière, puisqu’elle « trace la ligne de démarcation entre le comportement des individus en tant que membres de

et les représentations collectives. En philosophie, la justice renvoie à d'autres concepts comme la liberté, l'égalité, l'équité, l'éthique, la paix sociale. De manière générale, on distingue la justice dans son sens moral, l'on parle alors de légitimité, et la justice dans son sens juridique, l'on parle alors de légalité. L'histoire de la notion de justice est liée à l'histoire des peuples et des civilisations. Son étude exige une approche mêlant philosophie, théologie, économie, morale et Droit