Légitimité Pragmatique

n’atteint-elle pas la raison de l’homme ainsi que ses passions ? Si le droit est toujours plus ou moins lié à des rapports de forces et si la loi consacre le pouvoir du plus fort, il en résulte que la légalité ne coïncide pas toujours avec la légitimité. Le droit ne peut donc être assimilé à ce qui a été ou à ce qui est et l'exigence du droit ne peut être enfermée dans les lois positives. Le droit est aussi un idéal qui exprime ce qui doit ou devrait être. Les deux thèses, précédemment évoquées

LES FAITS JUSTIFICATIFS LES CAUSES OBJECTIVES DE NON-RESPONSABILITE (Faits justificatifs) §1 La justification par l’ordre de la loi ou le commandement de l’autorité légitime Si sous l’ancien Code Pénal, il fallait retrouver les deux conditions (ordre de la loi et commandement de l’autorité légitime), le nouveau Code Pénal retient l’ordre de la loi et l’ordre donné par une autorité légitime (si l’acte n’est pas manifestement illégal) comme deux causes de justification. A Ordre de la loi

fonctionnement des activités économiques car les managers privilégient leur propre intérêt (salaire, statut, etc.) au détriment de celui de l'organisation pour laquelle ils sont censés travailler. 26 1.1 Du pouvoir du propriétaire à celui du dirigeant La légitimité du pouvoir des dirigeants est remise en cause. 27 1.1 Du pouvoir du propriétaire à celui du dirigeant Les théories contemporaines des droits de propriété et de l'agence reprennent et enrichissent le thème de la dichotomie propriétaire / dirigeant

2 Les types de légitimité du chef - légitimité légale : l’autorité pour s’exercer s’appuie sur des règles. Dans l’entreprise elle suppose que les droits, devoirs, responsabilités de chacun soit bien établi, le plus souvent formalisé en termes hiérarchiques. - légitimité charismatique et d’expertise : l’autorité s’exerce parce que les membres du groupe croient soit aux qualités exceptionnelles, soit aux compétences professionnelles (techniques, managériales). - légitimité fondée sur les usages

générations actuelles ou le monarque actuel ne peuvent être liées par les générations (passés) futures. Elles ne peuvent être liées par les générations passées. Ce n'est donc pas le passé mais le présent, la présence continue du souverain qui fonde la légitimité du pouvoir. C'est pourquoi son actualisation, à travers l'exercice de la souveraineté en est l'élément caractéristique. II. L’état unitaire est aussi un frein à la souveraineté. A) Principes de l’état unitaire qui vont à l’encontre de la souveraineté

L’autorité dans les groupes militants, les groupes libertaires ? La notion d’autorité a deux sens, l’autorité de compétence, liée au savoir, au savoir faire, à l’expérience et l’autorité comme possibilité de donner des ordres, de commander. Comme pour la qualification de maître, deux manières d’être sont concernées, celle qui transmet, qui aide à apprendre, et celle qui suppose une position hiérarchique supérieure, ce qui lui donne le droit de se faire obéir. Dans les deux cas, il y a une position

particulièrement en France, l'idée que la loi est la manifestation suprême de la volonté populaire, héritage de Rousseau et des Lumières. C'est à ce moment là qu'apparait la théorie du légicentrisme, théorie de droit où la loi est au centre de tout de part sa légitimité populaire. Ceci expliquant donc le rejet longtemps exprimé face au Constitutionnalisme, doctrine qui surgit de la pensée de l'Abbé Sieyes en 1795, lorsqu'il évoque: « une Constitution est un corps de lois obligatoires, ou ce n’est rien ; si c’est

po s’incline devant domination d’un indiv ou d’un groupe car société po trouve une justification à cette domination, c’est lorsque cette domination est justifiée que autorité est acceptée. Selon Max Weber (sociologue), il y a 3 fondements de la légitimité po : La tradition : Coutumes validées au fil du temps que citoyens ont pris habitude de respecter. Comme dans régime britannique (PM doit être leader parti majoritaire). La Grâce personnelle et sublime d’un indiv : Le charisme. Le D constitutionnel

qu’il y aurait des normes juridiques pour indiquer exclusivement la procédure a suivre pour créer d’autres normes semblables. Il faut donc des normes A qui seraient des procédures de formation d’autres normes B pour qu’elles puissent avoir une légitimité et donc être respectées, en d’autres termes une norme ne sera légitime que si elle a été créée selon une procédure indiquée par une autre norme procédurière. Une norme n’est valable que si et seulement si elle a été crée d’une certaine manière.

comme son successeur légitime, et celui-ci devient le roi Henri IV. Pour Henri IV commence la longue reconquête du royaume, car les trois quarts des Français ne le reconnaissent pas pour roi. Les catholiques de la Ligue refusent de reconnaître la légitimité de cette succession.