Machiavel Le Prince La Fin Justifie Les Moyens

3) 3) Les symptômes de la maladie historique (chapitres 4 à 9) 4) L'éloge de l'oubli comme remède à cette maladie Conclusion I II- Des bons usages de l'histoire A- L'utilité de l'histoire (le passé " vivant ") 1) Les leçons de l'histoire -Machiavel 2) L'histoire peut encore servir à la connaissance du genre humain B- Mais n'est-ce que l'utilité qui fait que l'homme s'intéresse à son passé ? N'est-ce pas également un plaisir gratuit ? 1) Peut-on vraiment tirer des leçons de l'histoire ? -

COURS Terminale "LE POUVOIR " INTRODUCTION I) LES GRANDES FIGURES DU POUVOIR A) L’ ESSENCE DU POUVOIR B) LES MOYENS ET LES MEDIATIONS DU POUVOIR C) LES DIFFERENTES FIGURES DU POUVOIR II) LES FONDEMENTS DU POUVOIR A) LA DOMINATION ET SES RACINES B) LES RACINES DE LA DOMINATION C) LE POUVOIR, PRINCIPE VITAL D) LE POUVOIR ET LE SACRE CONCLUSION GENERALE SUR LE POUVOIR SUJETS DE DISSERTATION LECTURES CONSEILLEES DEFINITIONS A CONNAITRE EXERCICE DE CONTROLE DE COMPREHENSION DE LA FICHE

réflexion provient de la lecture du texte et la copie doit donc faire allusion au texte. Remarque : en philo en terminale, il y a des dissertations ( réflexion) et des explications de texte ( interprétation). LES POUVOIRS DE LA PAROLE : Antiquité, Moyen-AgeLES REPRESENTATIONS DU MONDE : Renaissance (XVème), XVIIème (siècle classicisme, le grand siècle), XVIIIème. I. L’art de la parole Dans un premier sens, l’art est une activité de créations d’œuvres qui expriment des sentiments

(donner tous son temps à la cité). On parle d’un métier de citoyen : commander et obéir à la fois, et être un homme politique à plein temps. 5/ Quels sont les moyens pour éviter le pouvoir personnel à Athènes Athènes a organisé le pouvoir de telle sorte qu’en principe, personne ne peut s’emparer du personnellement du pouvoir. A inventé des moyens pour éviter ce risque : * Les fonctions sont annuelles : pour éviter la prise du pouvoir, sa collégialité. Rapide et peut être gênant pour l’exercice du

Ciel, qui justifie cette union nécessaire. A cela, Montaigne ajoute que cette amitié là est absolue, car elle ne peut dépendre de rien que delle...Sauvegarder le document De l Amitié , Montaigne , Analyse deux sortes d' amitiés , une vraie que l on ne rencontre que très rarement comme chez Montaigne et de la Boetie et une futile qui n est qu une relation sociale sans...Sauvegarder le document Commentaire Composé, Essais, Montaigne bons moyens et le bon moment dagir pour obtenir la fin souhaitée

| | | |Nicolas MACHIAVEL (1515) | |

livres de la République Jean Bodin La période qui s’étend du XVe au XVIIIe siècle est marquée par une véritable volonté de réflexion sur la place et l’exercice du pouvoir royal. Une multitude de théoriciens tels que Machiavel, Richelieu ou encore Bossuet ont cherché à justifier les pouvoirs absolus du roi. Un autre auteur du XVIe siècle, Jean Bodin, à chercher également à défendre l’autorité du roi. Economiste et juriste français né à Angers en 1530 et décédé en 1596, il a été député aux Etats

et les affrontements religieux ont apporté les réflexions politiques sur l’Etat et les princes. On passe à partir du XVIe d’une Europe d’empire à une Europe d’Etat. Et à partir de la fin du XVIIIe on passe des Etats aux nations. Pour autant la notion d’empire reste très importante, l’idée d’empereur pour les chrétiens jusqu’au XVIIe. Le 30/09/2014 Cours 2 2 sur 28 La structure dominante en Europe à la fin de l’antiquité c'est l’empire. Chaque royaume est indépendant mais accepte le pouvoir de

eux-mêmes, mais en fonction de la valeur de leurs effets pour la fin visée. Par exemple, le médecin pourra donc mentir à un patient atteint d’une maladie incurable s’il sait qu’il précipiterait sa perte en lui révélant la vérité. La célèbre formule, héritée de l’analyse de Machiavel (philosophe italien, 1469-1527), qui dit que “la fin justifie les moyens” prend donc tout son sens dans ce cadre. La responsabilité du prince chez Machiavel n’est autre que cette conservation de la communauté. Cet enjeu

en tant que partisan de l’autoritarisme et de la démocratie a la fois .Il donne alors naissance à ce qu’on appelle l’ « absolutisme démocratique », un despotisme camouflé au profit de la volonté générale. Cette dernière est matérialisée par la loi, moyen pour assujettir les hommes pour les rendre libres. C’est son coté impersonnel et universel qui l’empêche de créer toute dépendance. Contrairement au classique Rousseau ne s’intéresse qu’à la forme de la loi .Ainsi s’intéresser au contenu comme