Machine infernale

Lenglart Fanny 2nde 2 Dissertation sur le prologue de la Machine Infernale de Jean Cocteau. Tout comme une pendule est active grâce à son ressort qui se déroule, la vie humaine serait une machine construite par des dieux infernaux ayant programmé son anéantissement, nous indique Jean Cocteau dans le prologue de la «machine infernale», publié en 1934. L’analogie entre la vie et le mécanisme horloger est ancien car les vielles horloges portent souvent l’inscription latine « Vulnerant Omnes Ultima

correspondant à une forme précise. Le spectateur, connaissant un genre donné, saura à quoi s'attendre. Selon la présentation de l'œuvre (tragédie, comédie…), il aura une vision stéréotypique de l'œuvre. Nous avons ici un extrait de l’œuvre «La Machine Infernale» de Jean Cocteau, une réécriture du mythe d’Œdipe, plus précisément le dénouement de l’acte IV. Dans cette scène on apprend le fait qu’Œdipe se soit crevé les yeux après avoir commis le parricide et l’inceste qu’un oracle lui avait prédit. On

Jocaste 2/ Les illusions d’Oedipe INTRODUCTION « Il tuera son père. Il épousera sa mère. » Cette phrase résume à elle seule toute l’histoire du mythe d’Œdipe ; c’est cette même histoire que Cocteau décide de reprendre lorsqu’il monte La Machine infernale en 1934. En apportant des remaniements à ce célèbre mythe antique, Cocteau parvient à en donner une version originale et moderne. La scène étudiée est tirée du troisième acte : « La nuit de Noces ». Avec ce titre, l’auteur surprend le lecteur

Travail sur « LA GUERRE DE TROIE N’AURA PAS LIEU » et « LA MACHINE INFERNLA ». 1) Préparez une courte biographie des auteurs, Giraudoux et Cocteau. Pour Giraudoux, précisez le contexte historique dans lequel est écrite la pièce. Jean Cocteau est né à Maisons-Laffitte en juillet 1889 et est décédé à Milly-la-Forêt en octobre 1963. Ce sera son grand-père, soucieux de son petit-fils, qui l’initiera à l’art. Jean C. fera de Raymond Dargelos, un camarade rencontré au lycée, l’héro des « enfants

mythe est démythifié car Cocteau veut montrer un personnage plus humain que celui du mythe, plus maladroit et faible. Ainsi le spectateur peut s'identifier plus facilement à Œdipe et ressentir de la pitié. La terreur est totalement gommée de la Machine Infernale. - Laïus est présenté comme un fantôme ridicule et dérisoire qui cherche en vain à communiquer avec le monde des vivants, le surnaturel achève la pièce avec le départ d'Œdipe accompagné d'Antigone et de Jocaste, seule visible aux yeux de son

est évoquée dans la 1ère tirade "bouclé comme la mer, la colonne, la rose", "pieuvre", "un fil qui te ligote avec la volubilité des arabesques folles du miel", image de la boucle, de l'écume moutonante, de l'architecture ionique. Telle une sporale infernale la parole est meurtrière. - Les rythmes créent une sensation d'étouffement, accumulation de verbes d'actions 2ème tirade, rythme binaire qui mime le "tricotage", je passe et repasse. -les images : à la fois masculines et féminines "serpent"

si souple que tu t'imagineras être victime de quelque poison, si dur qu'une maladresse de ma part t'amputerait, si tendu qu'un archet obtiendrait entre-nous une plainte céleste, bouclé comme la mer, la colonne, la rose, musclé comme la pieuvre, machiné comme les décors du rêve, invisible surtout, invisible et majestueux comme la circulation du sang des statues, un fil qui te ligote avec la volubilité des arabesques folles du miel qui tombe sur miel. OEDIPE : Lâche-moi ! LE SPHINX : Et je parle

I. Fin du mythe, du jeu des dieux 1. mère/fils Jocaste revient en tant que spectre purifiée de l’inceste par la mort : « Ta mère est morte, pendue Œdipe, je suis ta mère. ». Elle revient pour soutenir Œdipe dans le besoin d’être guidé, soutenu. On comprend que l’épouse est morte et laisse la place à la mère pour l’éternité comme elle aurait toujours dû l’être. Les surnoms qu’elle lui donne ont changé, ils n’ont plus aucune ambiguïté : « mon enfant, mon petit enfant ». Œdipe peut enfin laisser

par Théramène, le combat n’a pas lieux sur scène ; ce qui respecte les règles de la bienséance imposées à cette époque. La pièce de théâtre en vers et le champ lexical de la guerre donne une dimension épique au texte. En revanche, dans La Machine infernale, le monstre est présent sur scène et dialogue avec le héros. Il y a quelques didascalies mais les indications scéniques sont aussi présentes dans les dialogues « N’essaie pas de te crisper, de résister », « Inutile de fermer les yeux, de détourner

→ Oral ← Léonie: Scène → Acte III de « Vous l'aurez voulu. » à « Vous avez voulu lire de force ce contiennent mes yeux malades, ce que moi-même je n'ai pas déchiffré et vous êtes puni. » Choix = Intéressante car elle annonce en partie la fin de la pièce devant Œdipe qui ne le comprend même pas. Maëlys: Décor : - Lit rouge vaste : Vaste=richesse, Rouge = amour et passion mais aussi sang et colère. Sang → Crime → Inceste + envi de meurtre; colère = Œdipe. Fourrures blanche :Richesse (