Machine infernale

-La chambre : parallèle avec le premier texte où il était question du "piège" qui se ferme. Ici la chambre est considérée comme une "cage, une prison", symbole des nouvelles fonctions d'Oedipe et de son destin. Voir la "baie grillagée". Huis-clos infernal s'installe comme le montrent les couleurs agressives : rouge et blanc. "La petite boucherie" évoque l'abattoir, sorte de métaphore du destin, la couleur rouge rappelle la mort qui plane sur les deux personnages, cette mort est associée à l'inceste

tragique par sa signification puisqu'on peut penser qu'ici ils chantent le chant du bouc où en grec "bouc" se dit tragos, le chant du bouc serait donc une tragédie qu'on associe à la scène tragique de la locomotive. La mort est donc présente sur la machine et est accentuée par des détails crus. La mort de Jacques et de Pecqueux est décrite avec des détails cru, la présence d'une énumération comme "sans tete, sans pieds, deux tronc sanglants" témoigne d'une volonté de

sort des misérables et a lutté, contre toute formes d'injustices sociales. Dans Mélancholia qui fait partie des Contemplations (1856), il évoque le travail dur et pénible des enfants. Nous étudierons d’abord l’exploitation des enfants dans l’univers infernal de l’usine, puis ses sentiments et ses idées de justice et de liberté. DEVELOPPEMENT C’est avec réalisme que le poète nous décrit l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit », leur

il avait trop bu et le père de Coupeau est tombé d’un toit, alors qu’il était ivre. Pourtant, Gervaise éprouve une étrange fascination pour l’alambic du père Colombe qu’elle tient absolument à voir. Quelle place prend cette description de la machine au sein de la vie de l’héroïne et de l’œuvre en général ? Ce texte s’inscrit bien dans le mouvement naturaliste, dont l’auteur est le chef de file, et à travers le relais des regards portés sur l’alambic par les différents personnages de la scène

Zola donne aussi une vision métaphorique de l’accident. Il est à noter que la machine est humanisée. Tout d’abord, elle possède un nom « Lison », auquel on donne de l'importance en lui ajoutant un déterminant « la », sous-entendant par-là qu'il ne s'agit pas de n'importe quelle machine. Elle est personnifiée telle une femme. Zola la donne un corps réel et physique, doué de sentiment et de vie. Ensuite humanisant la machine par son nom, Zola poursuit avec des caractéristiques propres à l'humain pour

la structure professionnelle pyramidale : patron, ingénieurs, secrétaire, contremaître, chef d'équipe, ouvriers spécialisés. Il ressere les boulons. - Le patron, soucieux d'augmenter la productivité, accélère les cadences jusuq'à obtenir un rythme infernal. - La hiérarchie de l'usine : ouvriers surveillés par les contre-maîtres, sous l'oeil du patron. ➔ Organisation scientifique du travail. I. Le temps organisé et contrôlé Le cadran en fond d'écran du générique : l'importance du temps : taylorisation

Dans ce passage,Coupeau et Gervaise ont la curiosité d'aller observer l'alambic dans l'arrière cour.Le récit s'interrompt pour laisser place à la descrption de la machine qui est présentée sous différents points de vue. Tout d'abord,l'alambic est vu par l'ouvrier Coupeau.Ce dernier explique à Gervaise le fonctionnement de la machine:"et le zingueur..." lui expliqua comment ça marchait,indiquant du doigt les différentes pièces de l'appareil." Par son aspect technique,la description apparait comme

BD. Si je devais décrire à l’aide ce cinq adjectifs So Schnell ils seraient : colorés (pour les couleurs des vêtements), perturbant (pour le caractère bizarre de cette danse), sonore (pour le bruit des machines à tricoter), long (car cette œuvre et longue), variable (car les énergies changent). Si je devais attribuer à cette œuvre cinq verbes d’action ils seraient : bouger, sauter, s’allonger, tourner, regarder. Le thème que j’attribuerais à ma chorégraphie

chœur nous explique la simplicité et la nécessité du mécanisme tragique. A l’aide d’images empruntées au domaine de la machine, « le ressort est bandé… cela n’a plus qu’à se dérouler tout seul…C’est minutieux, bien huilé », il nous laisse entendre qu’un rien suffit à son déclenchement. Tous les ressorts sont prêts à fonctionner et rien ne peut les enrayer. C’est la machine infernale où tout a été décidé d’avance et où le dénouement est irrémédiable. Et c’est là, le vrai caractère de la tragédie.

Faut-il redouter les machines ? Les machines sont des produits de l’inventivité de l’Homme dans sa quête de progrès. Elles sont elles mêmes un progrès en soi, et servent en même temps le progrès. Chaque machine a une finalité, définie par ses mécanismes, mais aussi par l’utilisation qu’en fait l’Homme. Le sujet pose le problème de la peur que peut avoir l’Homme face à ses machines, mais aussi de ce qu’est une machine. Au cours des siècles la définition a évolué. Si au début, machine vient du latin