Macula

vieil homme Bibliographie[modifier] ▪ Cézanne. Catalogue d'exposition. Éditions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1995. ▪ Joachim Gasquet, Cézanne, édition Bernheim jeune 1921, réédition Encre Marine 2002 ▪ Conversations avec Cézanne, Macula, 1986. ▪ Marcel Brion, Paul Cézanne, Bordas, 1988 ▪ Philippe Sollers, Le Paradis de Cézanne, Gallimard, 1995 (repris dans Éloge de l'infini, Gallimard, Folio, 2001). ▪ Ambroise Vollard, En écoutant Cézanne, Degas, Renoir, Grasset et Fasquelle

Gallimard, Folio Essais, Paris, 1997 ; p. 418. 2 J.-F. Lyotard, Le postmodernisme expliqué aux enfants, Galilée, Le livre de poche, Biblio Essais, Paris, 1988 ; p. 108. 3 R. Krauss, L’originalité de l’avant-garde et autres mythes modernistes, Paris, Macula, 1993 ; note 3 du traducteur (J.-P. Criqui), p. 13. 2 L’architecture de la postmodernité : de la forme au symbole Le sens de l’histoire de l’art. L’évolution dans l’interprétation de la signification, portée par les œuvres, s’appréhende d’abord

méthodologiques confondues (de Philostrate et Quintilien à Barthes en passant par Boileau, Diderot, Zola, Lanson, Valéry et Lukacs), de la « description », et à constituer pour moi-même une anthologie de textes sur la question (qui a fini par être publiée chez Macula en 1991). Un livre théorique sur « Le descriptif » s’est alors imposé de lui-même, à partir d’une nébuleuse de concepts vagues qui avaient peu intéressé les chercheurs et qui me sont apparus comme devant être mis en examen, puis en système : le concept

cortex surrénalien. Ces cellules qui sécrètent la rénine semblent être des mécano-récepteurs sensibles à la pression située au niveau de l’artériole. Par ailleurs à ce niveau là les cellules du tubule contourné distal vont former une tache dense ou macula densa et apparaissent comme des chimiorécepteurs et des osmorecepteurs sensibles aux variations de concentration du liquide tubulaire. L’appareil juxta glomérulaire joue un rôle important dans la régulation de l’équilibre sodique et dans la régulation

la lumière, d’où leur capacité a percevoir de très faibles lumières la nuit ils servent donc a la vision de nuit. Au fond de l’œil, dans l’axe de la pupille on trouve une petite tache colorée en jaune : la macula qui représente la zone d’acuité visuelle maximale de l’œil. Le centre de la macula est la fovéa compose uniquement de cônes. Ainsi, le trajet des rayons lumineux dans l’œil est simple ;les rayons sont tout d’abord réfléchis par la cornée, puis ils traversent l’humeur vitrée ,liquide transparent

THOMAS Chantal, L'invention de la Catastrophe Au XVIIIe Siècle: Du Châtiment Divin Au Désastre Naturel, Librairie Droz, Genève, 2008 • RENSSELAER W. Lee, Ut Pictura Poesis : Humanisme et théorie de la peinture :XVème-XVIIIème siècle, ed. Macula, Paris, 1967 • SANCHEZ Pierre, SEYDOUX Xavier, Les catalogues des salons des Beaux-Arts : 1801-1819, ed. l’échelle de Jacob, Paris, 1999 Catalogues d’expositions: • Catalogue de l’exposition : Le paysage et la question du Sublime, Musée

serrées) ; – d’autres à la fois dans les cellules épithéliales et non épithéliales (ex : jonctions communicantes). 2. Classifications des jonctions cellulaires a) Classification selon leur morphologie globale – Forme de tâche grossièrement arrondie : macula. – Forme de bande continue autour des cellules (ceinture) : zonula. b) Classification selon leur fonction • Les jonctions occlusives scellent les cellules en un épithélium de manière à contrôler la perméabilité de ces tissus. • Les jonctions d’ancrage

présentés par), Les écrivains devant l’impressionisme, Paris, Macula, 1989. *I RIVIÈRE, G., Renoir et ses amis, Paris, 1921, p.25. *D ROBSTEIN, Dominique, Au temps de l’Impressionnisme, Paris, Gallimard, 1993. ROOKMAAKER, H. R., Gauguin and the 19th Century Art Theory, Amsterdam, Swets and Zeitlinger, 1972. ROSENTHAL, Léon, Manet, aquafortiste et lithographe, Paris, 1925. *D ROSENTHAL, Léon, Du romantisme au réalisme (1914), rééd., Paris, Macula, 1987. ROUART, D., Paris, 1950, p.44 (lundi 12 septembre

L’attention à l’auto-réflexivité, ou à ce que les structuralistes nomment le dédoublement, est un des traits les plus généraux de la sensibilité moderniste au sens large » (R. Krauss, L’originalité de l’avant-garde et autres mythes modernistes, Macula, Paris, 1993, « Un regard sur le modernisme », p. 22). 5 R. Krauss, L’originalité de l’avant-garde et autres mythes modernistes, note 3 du traducteur (J.-P. Criqui), p. 13. 2 2 Esthétiques de la postmodernité L’art postmoderne, reflet

à ce qu’il est, comme l’énonce Aldo Giorgio Gargani : En se redécrivant à travers un récit, l’homme cherche à devenir celui qu’il est. Bien que cela paraisse paradoxal, la Rosalind Krauss, « Notes sur l’index. L’art des années 70 aux Etats-Unis », Macula, nº 5 et 6, 1979, p. 165-175. 21. Thierry de Duve, Nominalisme pictural. Marcel Duchamp, la peinture de la modernité, Minuit, 1984, p. 70. 16 Perin Emel Yavuz forme narrative montre que l’homme, pour dire celui qu’il est, doit en même temps s’inventer