Madame Bovary Personnage M L Heureux

|1848-1852 |Seconde République |1848-1852 |Louis-Napoléon |1849 : Mémoires d’Outre-tombe, Chateaubriand | | | | | |Bonaparte |1856 : Madame Bovary, Flaubert | | |1852-1870 |Second Empire |1852-1870 |Napoléon III |1854 : Les Filles du feu, Nerval | | | |

les événements Etat initial Processus de transformation Etat terminal Provocation Action Sanction 1 2 3 4 5 Commentaires : • situation initiale : au début, on met en place l’histoire (cadre, moment, lieu, personnages) et un état stable pour les personnages est souvent posé ; quelquefois le récit peut correspondre à une prise de conscience avec le constat liminaire d'un manque, d'une carence à combler. • perturbation : un élément nouveau introduit une instabilité ; il déclenche

est constamment interrompu par des discussions philosophiques, des anecdotes… - Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre (1788) : roman sentimental et moralisateur. Virginie et Paul sont élevés ense ensemble sur l’île Maurice. Ils vivent heureux (utopie), mais Virginie part pour la France. Après 3 ans, elle revient en bateau, mais ce dernier coule sous les yeux de Paul, impuissant. Il meurt peu après. © Diane-Audrey Carlier 50 romans incontournables 4/10 - Le Rouge et le Noir

cette influence littéraire antérieure, c’était l’importance de la représentation de la nature telle que l’homme la voit sans chercher à l’idéaliser. Ainsi, Madame Bovary apparaît comme une figure romanesque extrêmement travaillée pour Zola qui s’en servira pour constituer le destin de ses personnages féminins qui, généralement, comme Emma Bovary, connaîtront un destin foncièrement tragique. Influences contemporaines Zola est souvent surnommé le « maître du naturalisme », mouvement littéraire

A l’aube du XXIème siècle, le genre romanesque est remis en question : après la crise du personnage et « l’ère du soupçon », les lecteurs doutent de plus en plus de la réalité des personnages romanesques, ils préfèrent croire les images ayant une valeur considérée comme objective. C’est pour cette raison qu’ils réclament de plus en plus de biographies, des récits de voyage, c'est-à-dire les « petits faits vrais » que Sarraute avait déjà désignés dans son essai « L’Ere du soupçon » comme ayant d’

réduction (ou à l’opposé de sublimation) relève de la subjectivité pure. Il est permis d’estimer que telle ou telle adaptation cinématographique n’arrive pas à la cheville de l’œuvre littéraire dont elle s’est inspirée en terme de profondeur des personnages, complexité des situations… Il est également permis d’estimer que les thèmes délivrés par tel ou tel film ouvre les portes vers des horizons beaucoup plus vastes et variés que ne le permettait le livre de départ. De nouveau, il n’existe pas deux

varie: les derniers paragraphes, les dernières phrases... Rôle de l’incipit[modifier] L’incipit répond généralement à trois caractéristiques: il informe, intéresse et noue le pacte de lecture. Il informe en mettant en place les lieux, les personnages et la temporalité du récit. Il peut même, comme chez Diderot dans Jacques le fataliste ou comme Balzac par exemple dans Le Père Goriot, apostropher le lecteur et signer un contrat explicite avec lui : « Ainsi ferez-vous, vous qui tenez ce livre

leurs idées et donc leurs rêves sans être « bridé » dans leur imagination. D’un point de vue littéraire, nous pourrions parler d’estime intuitive, très présente chez Corneille, auteur préclassique du 17e siècle. Dans ses ouvrages, ses personnages ont un « moi rêvé » (qui n’est rien d’autre que la personne qu’ils ont l’ambition de devenir), une estime intuitive qu’ils doivent vérifier pour devenir des héros ; car, selon Jean-Paul Sartre, « on est soit un héros, soit un lâche, soit un salaud »[1]

errance et d’un quête, à travers lesquelles se découvre et se construit le chevalier ; ils préfigurent ainsi les romans initiatiques modernes. Le XVIIe siècle est marqué par l’avènement des romans d’analyse moderne, comme La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, qui par son exigence de vérité, entend ouvrir la voie de la connaissance du cœur de l’homme. Cette conception du réel est notamment reprise en 1957 par Michel Butor dans son roman : La Modification, dans lequel Léon Delmont, marié,

Sûreté publique saisit le parquet du délit d’« outrage à la morale publique » et pour « outrage à la morale religieuse ». Cette dernière accusation est finalement abandonnée. Le 20 août, le procureur Ernest Pinard, qui avait également requis contre Madame Bovary, prononce un réquisitoire devant la 6e Chambre correctionnelle. Le 21 août, Baudelaire et ses éditeurs sont condamnés respectivement à 300 et 100 francs d’amende, ainsi que la suppression de six pièces (sur les cent que compte le recueil), pour