Madame Se Meurt Madame Est Morte

 Fiche 1: Le Roi se meurt : l’analyse du titre Le titre, en quelque sorte, résume la pièce : « Le Roi » désigne le personnage central dont il est question tout le long de la pièce. « se meurt », verbe pronominal, au présent d’énonciation, à valeur durative, représente l’agonie progressive et comme programmée du roi, à laquelle le lecteur/spectateur assiste en direct et qui s’achèvera à la fin de la pièce. Le titre de la pièce a plusieurs références littéraires : 1. Un sermon de Bossuet, l’oraison

Goncourt) Résumé Le narrateur, Momo (de son vrai nom Mohamed, mais tout le monde l'appelle Momo, est un petit garçon arabe, dix ans au alentour), raconte sa vie chez Madame Rosa et son amour pour la seule maman qui lui reste. Cette respectueuse femme, grosse, juive, laide, qui se défendait rue Blondel, et qu’il aime de tout son cœur. Madame Rosa a ouvert " une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers ", autrement dit une crèche clandestin où les dames " qui se défendent "(qui se prostituent)

adoptera un plan simple, en deux parties : le récit, la leçon, deux pièces maîtresse du genre. I- Le récit Récit lyrique = pas de renseignements sur la morte : Bossuet la connaissait peu et tire parti de la mort subite de cette princesse. 1- Une mort allégorique Mort soudaine, puissante et mystérieuse. « Madame se meurt ! Madame est morte ! » = ellipse temporelle (rapidité des faits). Mort foudroyante : juxtaposition et changement de temps du verbe. Succession rapide des « coups » : lignes

Paris. A 20 ans, il écrit Novembre. Il écrit la première version de L'éducation Sentimentale car il est refusé à son examen de droit.En 1846, le père et la sœur de Flaubert meurt. Il rencontre Louise Colet = sa maîtresse. En 1841, il part deux ans en voyage. Il rompt définitivement avec Louise Colet en 1854. En 1857, Madame Bovary est publiée dans la Revue de Paris. Énorme succès. Flaubert est jugé pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs » et est acquitté en 1858

après avoir bu un verre d'eau de chicorée, elle ressentit de violentes douleurs abdominales. Elle mourut en quelques heures. L'hypothèse d'un empoisonnement fut écartée. Mais la brutalité de cette mort frappa vivement toute la cour. Sa mère était morte quelques mois plus tôt, le 16 novembre 1669. Monseigneur, j'étais donc encore destiné à rendre ce devoir funèbre à très haute et très puissante princesse Henriette Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans. Elle, que j'avais vue si attentive pendant que

écrivain français née en 1914 et morte en 1996. Le livre est un roman, publié en 1958. Marguerite Duras est née le 4 avril 1914 à Gia Din, en Indochine, et est morte le 3 mars 1996 à Paris. Son oeuvre se distingue par la diversité de ses activités. Elle renouvela le genre romanesque et bouscula les conventions théatrales et cinématographiques comme dialoguiste, scénariste et réalisatrice. L’écrivain Marguerite a deux frères plus agés qu'elle, son père meurt en 1918. En 1921, elle vient vivre

de Jacques-Bénigne Bossuet, l'Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre. Jacques-Bénigne Bossuet est un homme d'Église il devient évêque en 1669 et écrivain français du XVIIe siècle. Il prononce l'oraison funèbre de la duchesse d'Orléans, Henriette, morte à 26 ans en 1670. Une oraison funèbre est un discours solennel prononcé pour honorer la mémoire de quelque défunt. Comment l'auteur réussit t-il à rendre ce malheur comme une terrible tragédie ? Dans une première partie nous verrons les effets de la

Plandome État de New York , le 24-11-1924 Frances Eliza Hodgson Burnett, de son nom de jeune fille Frances Eliza Hodgson, née le 24 novembre 1849 à Manchester et morte le 24 octobre 1924 à Plandome dans l'État de New York, est une romancière britannique, connue pour être l'une des pionnières du roman d'apprentissage pour enfants. Son père meurt en 1853, laissant sa famille dans une misère extrême. Cette période de sa vie eût un grand impact sur les motifs de son existence et sa conscience : dans plusieurs

la souffrance, ce qui me fait penser à la souffrance que Mme Rosa dit en être victime dans le roman. (« - Jamais, dit Madame Rosa. Jamais il ne pleure, cet enfant-là, et pourtant Dieu sait que je souffre. », «Madame Rosa était peut-être morte et qu'il n'y avait donc plus personne pour souffrir. » La première phrase du livre nous montre aussi cette souffrance : «[…] et que pour Madame Rosa, avec tous ces kilos qu'elle portait sur elle et seulement deux jambes, c'était une vraie source de vie quotidienne

même. Je me suis, dit-il, appliqué à la sagesse, et j'ai vu que c'était encore une vanité, parce qu'il y a une fausse sagesse qui, se refermant dans l'enceinte des choses mortelles, s'ensevelit avec elles dans le néant. Ainsi je n'ai rien fait pour Madame quand je vous ai représenté tant de belles qualités qui la rendaient admirable au monde, et capable des plus hauts desseins où une princesse puisse s'élever. Jusqu'à ce que je commence à vous raconter ce qui l'unit à Dieu, une si illustre princesse