Mai 68 Politisation

Schtroumpfs un soir de janvier 2006. Merci à tous les rabatteurs qui m'ont aimablement signalé la présence de Schtroumpfs çà et là, sous une forme ou une autre. Merci aux collègues de promotion pour leur bonne humeur cette année, exception faite d'un mois de mai de sinistre mémoire, et pour l'organisation de nos séances personnelles, visant, bien sûr, à « travailler plus ». Cela me donne l'occasion d'avoir une pensée pour les sciences sociales, durement touchées cette année. Merci à Pascaline Grave, qui tenait

François Mitterrand. En 1962, c’est le peuple qui a le pouvoir de suffrage, de désigner le Président de la R. Cette désignation s’est faite au départ au mois de décembre 1962, la seconde en décembre 1965, aujourd’hui on élit le P.R au mois d’avril ou mai. Ce changement de date est le résultat de circonstances biologiques (le Président meurt en avril). Cette révision est considérée par certains comme la véritable naissance de la 5ème république, dans la mesure où ce changement de légitimité a donné

s’améliore de 1 an pour les Américains, de 5 ans pour les Soviétiques et les Russes ont presque rattrapé leur retard ; donc le système médical, sanitaire, scolaire soviétique a une certaine efficacité. A preuve la mortalité infantile a baissé de 68% côté russe contre seulement 20% côté américain. Dans les deux cas le « modèle » a généré de la croissance : un PIB par habitant accru de 73,5% aux Etats-Unis, de 113% en URSS. Même si les Soviétiques restent 2,5 fois moins riches que les citoyens

Par ailleurs, dès 1947, Diop s'est engagé politiquement en faveur de l'indépendance des pays africains et de la constitution d'un État fédéral en Afrique. « Jusqu'en 1960, il lutte pour l'indépendance de l'Afrique et du Sénégal et contribue à la politisation de nombreux intellectuels africains en France. Entre 1950 et 1953, il est secrétaire général des étudiants du Rassemblement démocratique africain (RDA)[11] et dénonce très tôt, à travers un article paru dans La Voix de l'Afrique noire, l'Union

conseil souvent des parlementaires pas de femmes (sauf Blum en 1936). Section 3. LA PRATIQUE DU REGIME : UN PARLEMENTARISME ABSOLU I- Un événement fondateur : la crise du 16 mai 1877 A. L’analyse événementielle 1. Le début de la crise Mac Mahon adresse un message au président du conseil Jules Simon le 16 mai 1877 il s’agit d’une lettre désapprouvant sa politique; ainsi Jules Simon démissionne et est remplacé par De Broglie. Mac Mahon procède alors à l’ajournement des chambres pour un

donc un régime très parlementaire. Il n’y a pas de réelle séparation des pouvoirs. Le projet est voté essentiellement par les socialistes et les communistes (309 voix pour et 249 voix contre) Il est ensuite soumis au peuple par le référendum du 5 mai 1946. De Gaulle qui a démissionné y est hostile. Les résultats donnent : 10 200 000 NON (environ 53%) 09 100 000 OUI (47%) Pour la première fois de notre histoire le résultat d’un référendum est négatif. Il faut alors élire une nouvelle Assemblée

leurs débats. CHAPITRE 1 : LE MOMENT CONSTITUANT On ne change pas une constitution à la légère : ce changement est le fruit de la nécessité, de crises. Au printemps 1958, la France connaît une crise extrêmement grave. SECTION 1 : LA CRISE DE MAI JUIN 1958 La situation en France est extrêmement tendue du fait de la guerre d’Algérie, qui a commencé en 1954, et on ne voit pas bien les solutions politiques que l’on va trouver. Les militaires estiment eux qu’ils peuvent gagner sur le terrain

des électeurs. Il peut et il y a une pluralité de partis qui se présente mais 2 seulement arriveront en tête dans la quasi-totalité des circonscriptions électorales. Sauf changement important emporté par les résultats des élections législatives de mai 2010, on peut dire que le bipartisme reste encore un facteur du régime parlementaire. Le nouveau 1er ministre est ainsi assuré de disposer d’une majorité homogène et stable aux communes, l’exécutif et le législatif ne sont pas 2 pouvoirs distincts mais

omissions », comme celle des langues anciennes. Mais cette évolution était au service d’une nécessaire formation des Mères de la République dont le premier devoir était d’élever des fils capables de devenir des citoyens vertueux. On faisait fond sur la politisation des femmes, inévitable pendant la période révolutionnaire, tout en appliquant leur conscience politique nouvelle-née à une mission qui s’exerçait à l’intérieur du foyer familier. 3. Devoir de se taire et droit de dire : Néanmoins l’idée de l’égalité

population. Ainsi, la Charte communale du 18 janvier 1967 confère aux assemblées populaires communales, élues au suffrage universel sur proposition du parti, le soin de gérer les affaires de chaque commune. La Charte de la wilaya – département – du 25 mai 1969 crée sur le même modèle une assemblée populaire de wilaya. Celle-ci est dirigée par le wali, une sorte de préfet nommé par le pouvoir central. Les entreprises constituent elles aussi un cadre adapté à la fois pour maintenir la population dans