Main invisible

Monarchie) => 1791 B. Auteurs 1. Adam SMITH ‘’Nature et origine de la richesse des nations’’ 1776 - Th de la valeur et des prix : Travail = fondement et essence des richesses Valeur d’usage est différente de valeur d’échange. - Th main invisible : Individu rationnel, individualiste, recherche son intérêt. Concurrence => Mécanisme des prix => Autorégulation => Intéret général. - Th Division du travail : Parcellisation des taches => Spécialisation des individus => + rapide => +

en terme de profit, doit intervenir pour combler cette défaillance. Aux premiers abords, le marché paraît efficace pour réguler l'activité économique. Il permet de fixer un prix optimal et donc d'orienter le comportement des agents tel une « main invisible » (Smith). Il existe cependant des situations où le marché s'avoue inefficace et où l’État se voit obligé d'intervenir pour réguler l'activité économique.

dans le but d'assurer un revenu minimal à certains agents économiques. Les économistes classiques, comme Adam Smith, estiment que les rapports marchands ont toujours existé entre les individus. Smith développe notamment le principe de la « main invisible », selon lequel en recherchant la maximisation de son utilité personnelle, l'individu maximise l'utilité collective. Le marché permet alors de mettre en relation l'offre et la demande, et donc de concilier des intérêts peu convergents. Cette

côté, Keynes croit en la supériorité de l'économie de marché, la pensée socialiste ne l'a jamais séduit. De l'autre, il renie certains des fondements de la pensée économique traditionnelle: en particulier l'idée - héritage de la « main invisible » d'Adam Smith - que le marché est autorégulateur et optimisateur. Il n'est pas un penseur Page 1 sur 3 08/05/2006 libéral. Il pense que l'État doit avoir un rôle essentiel et actif dans l'économie. L'analyse de Keynes s'inscrit bien en

parles principes de la concurrence. C’est la formule « laissez-faire, laissez-passer » qui résume cette première formulation du libéralisme économique. Puis, ces idées furent reprises par deséconomistes britanniques : Adam SMITH évoque une « main invisible du marché » qui, grâce aux prix, assure la coordination des intérêts individuels et conduit à un résultat profitable pour tous sans qu’à aucunmoment, un acteur quelconque ait eu à sa charge la responsabilité de l’intérêt général. Le marché assure

richesse des nations » en se basant sur le travail productif. -La division du travail acquis grâce à la spécialisation des tâches est favorable à la croissance car il augmente la productivité (ex : la manufacture d’épingle) -principe de la « main invisible » sur le marché : l’individu rationnel cherche à maximiser son intérêt personnel, ce faisant il participe à l’intérêt général. Pour Smith si un individu s’enrichit, il enrichit non intentionnellement toute la nation. Ce principe repose sur le

production est de diviser le travail. Le second moyen d’enrichir la nation est de laisser les individus s’enrichir ; car en oeuvrant pour leur intérêt personnel, ils enrichissent naturellement la nation toute entière ; c’est la fameuse notion de « main invisible ». En effet, pour s’enrichir, les individus doivent créer des activités, qui profiteront à toute la société. Le troisième moyen pour s’enrichir consiste à se procurer les produits au meilleur prix. Sur le marché intérieur, cela est possible par

En cas de bulles spéculatives ou de besoins non solvables *** I) Les mécanismes du marché sont efficaces le plus souvent… 1.1) Pour les acteurs du marché… (pas de surplus ou rationnement) 1.2) …mais aussi pour la société dans son ensemble (main invisible) II) … mais pas toujours 2.1) En cas de biens publics ou d’externalités 2.2) En cas de bulles spéculatives ou de besoins non solvables *** I) Les mécanismes du marché sont efficaces… 1.1) La loi de l’O/D indique que le marché s’autorégule

b) Période de surchauffe (hausse de la quantité demandée) D > O hausse des prix baisse de la demande D = O (équilibre) B. Le marché est un lieu à part, indépendant. a) Le marché s’autorégule grâce au principe de la main invisible d’Adam Smith II. Ses limites A. Le marché rencontre certaines failles a) théorie Keynésienne sur la nécessité de l’intervention de l’état : b) les biens giffen : contrairement à la loi de l'offre et de la demande, la demande

lois du marché et l'État doit jouer un rôle secondaire. Il ne doit pas intervenir pour imposer des barrières protectionnistes ni subventionner à coups d'argent le secteur privé. Il doit laisser le processus de développement dans les mains de la main invisible du marché. Cette conception caractéristique du libéralisme n'est qu'une illusion. Depuis la fin des années 1960, les États occidentaux se sont pourtant employés à soutenir le secteur privé, que ce soit sous forme de prix d'achat garanti, d'exonérations