Maison capétienne de Bourgogne

centaines de seigneuries féodales : les capétiens commencent alors à vouloir resserrer leur pouvoir mais ils sont concurrencés, à force de conquêtes militaires, mais aussi grâce aux alliances maritales : la maison capétienne va renforcer son pouvoir et va absorber les autres concurrents : plus la concurrence fait rage plus les unités augmentent : duchés, comtes… à la fin du XIIe siècle il ne reste que 16 maisons princières en concurrence, au XVIe siècle : 5 grandes maisons qui luttent pour obtenir l’hégémonie

Groupe Eyrolles Partie I 58 avant J.-C. – 1364 : de la Gaule à la guerre de Cent Ans monde gallo-romain doit donc y être évoqué comme les dynasties royales : Mérovingiens puis Carolingiens, avec Charlemagne pour figure emblématique. Les Capétiens en sont la dernière étape, quand Hugues Capet fonde cette dynastie endurante qui va régner en France pendant près de mille ans. Cette première visite par étapes-clés est indispensable pour comprendre le fil continu de l’histoire de France, mais cette

le successeur des magistrats romains. Clovis n’est pas seulement le roi d’un peuple son action va plus loin et s’inscrit dans l’histoire romaine. Clovis meurt put de temps après, seul quelque régions résiste au contrôle des francs : la Gascogne, Bourgogne, province septimaine (actuel Languedoc Roussillon) §1 : La royauté mérovingienne Avec l’avènement de Clovis il y a une unité politique entre les mains d’une famille dont les chefs se sont distingués par leur pouvoir militaire. Ce royaume Franc

II de Flandre ne désarment pas tout de suite et proposent la couronne occidentale à Arnulf qui les éconduit. Il faut compter aussi avec les autres grands : Richard le Justicier dans la partie occidentale de la Bourgogne intégrée au royaume de Francie occidentale (le futur duché de Bourgogne) qui préféra se contenter de ce titre, Guillaume le Pieux, comte d'Auvergne et marquis de Gothie mais dont la sphère d'action est lointaine. Le pouvoir est régionalisé et négocié entre des grands qui ont à cœur

du duc de Lorraine, ils connaissent leur ascension politique grâce à Claude de Lorraine et son fils François, les deux premiers ducs de Guise. Grâce au mariage de Marie Stuart avec l'héritier du trône, les Lorrains renforcent les liens entre leur maison et la dynastie des Valois. Dans leur famille s'illustrent égalementCharles, cardinal de Lorraine, Henri Ier, duc de Guise et Charles, duc de Mayenne. Si l'hostilité manifestée par les Guise à l'encontre de la politique de tolérance religieuse de Catherine

l’ordre que l’on reçoit du roi. Le souverain est donc vraiment le maître de la loi. Dès le XIIIème siècle, le roi de France légifère pour tout le royaume : “Si veut le roi, si veut la loi”. Et si quelques grands feudataires, à l’image des ducs de Bourgogne ou de Bretagne, légifèrent encore pendant quelques décennies, ce phénomène a totalement cessé d’être au XVème siècle. Cependant, force est de constater que le roi n’est pas lié par les lois qu’il édicte. Au XVème siècle, on admet que le roi conserve

L’obscurantisme moyenâgeux est une invention du siècle des lumières, de l’âge romantique. Trois grandes périodes : * Le haut moyen-âge : du VI° à la fin X° (mérovingiens du V° au VIII° siècle, carolingiens de 750 au X° siècle, arrivée des capétiens au X° siècle (Hugues Capet)) * Le moyen-âge central du XI° au XIII° : de Capet à Saint Louis (Louis IX, le roi croisé 1226-1270). Renaissance urbaine, activité économique, culturelle, religieuse. Montée de la puissance royale. Théocratie pontificale

mosaїque d'États féodaux, tels: le comté de Flandre, le comté de Champagne, le duché de Bourgogne, le duché de Normandie. Les Capétiens d'Hugues Capet (987) à Philippe IV le Bel (1314), eurent la chance de disposer des territoires autour de Paris et de régner de père en fils pendant 3 siècles. Par une politique matrimoniale avisée, ils rélargirent leur autorité. À l'aube du XIIème siècle, la monarchie capétienne commença une grande expansion avec Louis VI le Gros qui réduisit à l'obéissance les vassaux

travail de la royauté va consister à refaire ce qui avait été défait, reconstruire ce qui avait été détruit, recréer l’unité là où il y avait eu un éclatement et une dissociation du pouvoir et des territoires. C’est cet essor nouveau dû aux rois capétiens successifs et à leur entourage savant que vont naître un certain nombre de notions. C’est de là qu’a été établit la théorie de la couronne, inscrite dans la théorie statutaire. (cours de l’année dernière, reprise) Le renouveau de la royauté

serviteurs du roi : pour les grands officiers, ils sont officiers de la couronne (fonctionnaire du roi) et non pas officiers du roi. Ils sont inamovible (ex : chancelier). Peu à peu les secrétaires du roi portent l’appellation de « secrétaire du roi maison et couronne du roi ». Pour les autres théoriquement, à la mort du roi ont peu les remplacés. L’usage se selon lequel le nouveau roi reprend les anciens serviteurs du roi, de même pour les membres du parlement. En pratique, à chaque avènement, le roi