Maison de l'Amérique latine

...................................................................... L’Espagne .......................................................................... Le Portugal ........................................................................ L’Amérique latine ................................................................ L’Europe centrale ................................................................. 171 172 174 175 175 176 176 Chapitre 13 L’art classique ..................................

Bienvenus à Paterson. À coté de New York, dans le cœur des États-Unis blancs, protestataires et anglo-saxons, le meilleur référant de la nouvelle Amérique du Nord. Ici, 53 % des habitants sont latins. Des mots, des sons et des odeurs jusqu'à présent inconnus. Récemment licencié en droit dans son pays, Arturo Mantilla est arrivé à Paterson il y a 30 ans avec cette idée : "Je pars un an, je fais de l'argent et je repars à nouveau". Mais il a passé beaucoup de plus de temps sans que le fait de laver

répertoire littéraire et découvre les musées. Au British Museum, l'enfant de onze ans voit pour la première fois un buste de l'empereur Hadrien. Elle s'initie seule à l'étude du grec, du latin et de l'italien et, avec l'aide de son père, à celle de l'anglais. Elle tente la première partie du baccalauréat en latin-grec à seize ans, mais, ne remportant que la mention « passable », elle renonce à poursuivre. Les débuts Un premier texte publié à compte d'auteur à dix-huit ans (Le Jardin des Chimères

humble et célèbre discours « I HAVE A DREAM » prononcé le 28 août 1963 à WASHINGTON. Ou encore Rosa Parks, cette femme noir qui a refusé de céder sa place dans un bus à un blanc le 1er décembre 1955 en ALABAMA. Mais aussi, les Pères fondateurs de l’Amérique tel Abraham Lincoln qui proclame l’abolition de l’esclavage en 1863, Franklin D. Roosevelt, le leader du monde libre... Cependant en revenant sur son enfance, Barack n’a pas toujours eu une vie facile, entre la disparition de son père en 1982

Sierra Tarahumara. — Dans une des régions les plus inaccessibles de la Sierra Madré occidentale, aux confins des États de Chihuahua, de Durango et de Sinaloa, s'est maintenue une des tribus indiennes les plus homogènes et les plus nombreuses de l'Amérique du Nord, puisqu'elle groupe 40 000 individus. Deux expéditions ethnologiques sont allées les étudier en 1950-1951 x. La région est caractérisée par un contraste brutal entre des hautes terres, presque froides, et des vallées taillées en gorges de

moitié du XVIIIème siècle. Effectivement, cette croissance passe de 17% à 25% à la fin du XVIIIème siècle. Au XIXème siècle, cette situation entraine des mouvements d’émigration d’Européens en Europe même et dans le reste du monde (principalement l’Amérique). I. Une longue stabilité de la population mondiale et européenne jusqu’à la fin du XVIIème siècle : * Une croissance faible sur le temps long Doc. 1 : L’évolution des populations mondiales et Européennes Il y a une faible croissance

L'intérêt d'une approche continentale : voir et comprendre les grands impacts de la mondialisation. Il est toutefois à noter que les entrées sont toutes problématisées et que les problématiques sont différentes d'un continent à l'autre : • l'Amérique : les relations et la dialectique Nord-Sud • l'Afrique : les défis du développement • l'Asie : la croissance Pour chaque continent, la démarche obéit à un même schéma : • une étude de cas qui correspond à un territoire (Caraïbes

Introduction Le roman La maison aux esprits d’Isabel Allende, fortement inspiré de faits historiques, témoigne de l’une des époques les plus intenses et complexes de l’histoire du Chili. Après une courte présentation de l’auteur, des grandes lignes de sa vie et de son cheminement en tant qu’auteure, j’analyserai son oeuvre plus en détail et soulignerai quelques-uns des nombreux parallèles possibles qui sont faits entre les évènements, les personnages du roman et l’histoire du Chili du XXe siècle

éditeurs de manuels scolaires massacrent à la tronçonneuse !) De l’esclavage des nègres Si j’avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : Les peuples d’Europe ayant exterminé ceux de l’Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l’Afrique, pour s’en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l’on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s’agit sont noirs depuis les pieds

23 3.1 Ordre paix et progrès 23 3.2 Les Cientificos 25 3.3 L’analyse rétrospective de Leopoldo Zea 26 CONCLUSION__________________________________________________ ____28 INTRODUCTION Le 15ème siècle annonce en Amérique latine, le début d’une longue période de vagues de colonisation venues d’Europe. Les traces des colonisateurs européens sont toujours observables aujourd’hui, dotées de valeurs appréciatives mais pas seulement. Les premières civilisations mexicaines ont