Maja Desnuda De Goya

sainete, pièce comique en un acte pour décrire des scènes quotidiennes avec des personnages typiques de la vie madrilène. C'est à cette époque là que sont nés des personnages attachés à l'histoire de Madrid tels que la manola qu'on appelle aussi la « maja », c'est une femme du peuple un peu vulgaire avec du caractère et une langue bien pendue ; l'équivalent masculin est le majo, c'est une grande gueule, très soucieux de son apparence et qui sort très facilement son couteau pour régler ses comptes ;

hechos por Ponciano Ponzano del bronce fundido de cañones tomados en la Guerra de África (1886), frente a los que se encuentra una escondida estatua de Miguel de Cervantes. En las tres puertas del Museo del Prado se encuentran magníficas estatuas de Goya (Mariano Benlliure), Velázquez (Aniceto Marinas) y Murillo (Sabino Medina), y frente al Casón del Buen Retiro hay una estatua de la reina regente María Cristina de Borbón, también de Benlliure. En la Plaza de la Lealtad se encuentra el obelisco a los

selon son esthétique et sa sensibilité, peut, à toutes les époques, s’approprier et se réapproprier ce thème - la tradition picturale du nu : la femme - égérie  Rubens, Suzanne et les vieillards Vénus au miroir de Vélasquez Goya : La maja vestida, La maja desnuda David, Phryné devant l'Aréopage Dante Gabriel Rossetti, Venus verticordia Klimt, Judith Klimt, Danaé  penser à faire la lien avec les belles dormeuses et autres sirènes du recueil (page 6, entre autres) Dali, La femme

d'innovations formelles plus ou moins rigidement codifiées selon la norme de chaque genre. Si Édouard Manet transgresse à la fois les normes du genre pictural de la Vénus couchée (dans une tradition qui va de la Vénus d'Urbino du Titien à la Maja desnuda de Goya en passant par la Vénus à son miroir de Velázquez) et les interdits sociaux sur la représentation du nu dans son Olympia (Musée d'Orsay, Paris, 1863), Pablo Picasso avec Les Demoiselles d'Avignon (Museum of Modern Art, New York, 1907) opère

de la raison peut sembler un thème commun à notre époque où le doute et la remise en question sont de mise ; il s’agit pourtant d’une notion inexistante chez les penseurs antiques, qui se développe depuis l’époque moderne. Une eau-forte réalisée par Goya (1746–1828) m’a paru propice pour examiner ce thème des menaces pesant sur la raison. Sa légende est évocatrice : « el sueño de la razon produce monstruos »1 (« le sommeil de la raison produit des monstres », traduction sur laquelle nous reviendrons)