Majorité civile

Grande-Bretagne ne connaît-elle pas réellement une séparation souple des pouvoirs ? La Grande-Bretagne connaît un régime parlementaire, caractérisé par un exécutif bicéphale (la Reine et le gouvernement). De plus, le gouvernement tire sa légitimité de la majorité à la Chambre des Communes. Enfin, il y règne une séparation dite souple des pouvoirs, ce qui signifie que la Chambre des Communes peut, en théorie, renverser le gouvernement (par l’acceptation d’une motion de censure ou par la réponse négative à

parlant du système américain, le pressentait dès l'après-guerre quand elle disait qu'«affranchi de l'autorité des adultes, l'enfant n'a donc pas été libéré, mais soumis à une autorité bien plus effrayante et vraiment tyrannique : la tyrannie de la majorité». Jusqu'à récemment, les jeunes étaient dans un rapport d'opposition à la génération qui les précédait. C'était conflictuel, névrotique, douloureux, mais jouable. Là, le risque que prennent les jeunes qui refusent de se soumettre au jugement normatif

Avant, le sénat et la chambre des députés représentaient l'assemblée nationale maintenant c'est le parlement -Président du conseil doit présenter son projet devant l'AN, La confiance se matérialise par un vote à la majorité absolue, car si l'on réussit à s'entendre à cette majorité, on estime que c'est un atout pour la stabilité ministérielle. De plus, dan ce vote, l'abstention est considéré comme un « non » au vote, à l'investiture B° La question de la mise en jeu de la responsabilité du gouvernement

représentation proportionnelle ne forme que rarement une majorité parlementaire. En effet, la diversité des opinions politiques des électeurs étant représentée, il n’y a pas d’unité réelle du pouvoir politique. Ceci amène à un mouvement, à posteriori des élections, de coalition des partis politiques afin de prendre la majorité. Ce modèle donne donc une grande importance aux petits partis qui jouent un rôle crucial dans la balance de l’une ou l’autre majorité. B_ Le scrutin majoritaire Le scrutin majoritaire

dizaine de changements importants de mode de scrutin législatif, alors que le Royaume-Uni utilise le même depuis le XVIIIe siècle. Les scrutins majoritaires Le principe du scrutin majoritaire est simple. Le ou les candidats qui obtiennent la majorité des suffrages exprimés sont élus. Il s'agit donc de confier le soin de représenter l'ensemble d'une circonscription aux candidats qui arrivent en tête sans tenir compte des suffrages recueillis par ses concurrents. Le scrutin peut être uninominal

république fut en place. Il sera repris en partie dans la V e république. Celui ci repose évidemment sur le principe de la majorité, le candidat obtenant la majorité absolue des voix que ce soit au premier ou deuxième tour est élu, à noter néanmoins qu'il existe un seuil d'accès pour atteindre le deuxième tour. Critiqué et préféré à la fois il conduit à la mise en place de « majorités stables » par le biais d'alliance ou de ce qu'on appelle aussi parfois de « tractation » politique. Ce principe d'alliance

politique menées. Alors RP une politique dans la continuité et dans la cohérence. Vu que difficile majorité absolue mène à des alliances. → la politique ne peut donc pas changer radicalement. SM à 2 tours les alliances sont fait dans les 2 tours → modération politique. Alors que dans RP campagnes extrêmement dure mais après vont se lier. 2. Les effet de homogénéité des majorités Difficulté à une majorité absolue dans une RP. Amène à une instabilité des coalition or une instabilité de l'État = instabilité

les élus. Ceci est possible via le « passage du décomptes des votes à l’attribution des sièges est permis par le mode de scrutin ». Plusieurs techniques sont possibles, en effet, les systèmes électoraux sont soit des scrutins ayant recours à la majorité, ce sont les scrutins majoritaires, soit des systèmes voulant représenter « fidèlement » le vote des électeurs par le biais du principe de la représentation proportionnelle, soit des systèmes mixtes conciliant ces deux types de système. Toutefois

comporte des effets pervers comme le nivellement de la société ou l’apparition d’inégalités injustes.  Tocqueville souligne trois principaux effets pervers de l’égalisation des conditions : l’égalitarisme et l’individualisme, la tyrannie de la majorité (condamnerait toute forme de déviance de la part des minorités et conduirait au conformisme), et le délaissement du pouvoir politique.  Si l’égalité des chances est un idéal démocratique incontournable, en revanche, son éventuelle réalisation ne

servitude que la liberté. Ils n'ont pas de mépris pour la liberté au contraire mais l'égalité remporte leur amour. /! Attention aux bureaucrates et administration qui peuvent s'emparer du pouvoir. Autre risque de la démocratie la tyrannie de la majorité elle peut imposer des lois injustes aux minorités Les craintes de Tocqueville sont qu'elle devienne tyrannique (Hitler façon légale) Elle peut apparaître à cause de l'individualisme → Risque de despotisme mou Les solutions : (inspiré