Mal Desordre

pouvait vivre aux cotés de mendiants (qu'ils avaient rencontrés par hasard) sans avoir de remords. J'oubliais la troisième, car même pour moi elle était évidente. Je parlais à l'un d'eux fort longtemps, mais j'avais un traducteur qui me suivait si mal que je ne pus presque tirer qu'un plaisir gestuel durant la conversation. Je lui demandais quel profit pouvait-il tirer de part la haute place qu'il avait parmi les siens (il était ambassadeur de sa galaxie , et nos matelots le nommaient roi). Il

défiguré. Pangloss lui raconte la destruction du château de Thunder-ten-tronckh, la mort de ses habitants et de Cunégonde. Candide et Pangloss sont recueillis par Jacques, qui les emmène au Portugal où il va commercer. A ce moment là Candide ce sens mal car il pense avoir perdu sa bien aimer et est triste. Chapitre 7 et 8 : Soigné par une vieille, Candide retrouve Cunégonde qui lui raconte son histoire. Candide par des péripétie il parvient a retrouver Cunégonde. Chapitre 9 : Cunégonde partage

négation du mal mais l'affirmation que celui-ci était inévitable ou bien qu'il contribue à la perfection de l'ensemble a. Contre l’optimisme de Leibniz Le sous-titre souvent oublié de Candide est « ou l’optimisme ». Cette précision souligne l’enjeu du conte : la dénonciation de cette philosophie. La théorie du « tout est bien » est celle défendue par un certain Leibniz. Ce philosophe et mathématicien allemand publie en 1710 ses Essais de Théodicée où il s'interroge sur Dieu, le mal et l'harmonie

Voltaire. En 1759 Voltaire écrit le roman «  Candide ou l’optimisme ». Cela offre à l’auteur l’occasion de ridiculiser tous les discours métaphysiques oiseux qui véhiculent une idéologie aveugle et ne résiste pas à l’épreuve des faits. Candide fut mal reçut par les autorités mais cela n’empêche pas le livre de connaitre une grande diffusion. Il mourut le 3 Mai 1778 et fut enterré presque clandestinement, l’église lui ayant refusé des obsèques. 13 ans plus tard que la dépouille fut transférée au Panthéon

est dans un match de boxe où votre adversaire est plus fort et plein de terrible pitié. Elle vous donne un coup, terrible. Et puis, vous vous relevez, le récit se redessine plus lentement et le nouveau coup arrive, chaque fois plus dur. Vous avez mal, mal au ventre, à la tête. Nous avons peur. Peur de tant de souffrance, d'illusions. Alors on ne fait plus qu'un avec l'histoire et les rêves brisés éclatés qu'elle nous raconte. Terrible, violent !

raison et de la justice ». 2°) Les utopies valorisées : • L’Eldorado (voir III) mais aussi, • le jardin du chapitre 30. C’est aussi une utopie. On oublie ses grands problèmes par le travail plus qu’on ne les résout. Cet oubli est-il possible ? Le mal et la souffrance risquent de réapparaître et le désir de philosophie, c’est-à-dire de critiquer aussi. III. L’Eldorado ou la cité idéale : une utopie très voltarienne (chapitres 17 et 18)… On retrouve réunis comme dans un catalogue, tous les

monde équivaut à une véritable désillusion. Le jeune homme n'est jamais sorti de son château merveilleux, artificiel, de pacotille (comme il est décrit par ironie), surprotégé et coupé de la réalité où il ne connaissait aucune contrainte. Candide, mal préparé avec son esprit simple, limité à son univers faux et verni, va commencer un apprentissage douloureux. 2) Candide tombe dans le panneau du recrutement insidieux : a. Une courtoisie de façade :  • Le lecteur apprend que les recruteurs

fatalité en bien: *Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles *. * Le philosophe Leibniz expose en 1710 sa Théodicée : il y décrit un système philosophique célèbre fondé sur « une harmonie préétablie » pour expliquer l’existence du mal sur Terre. Leibniz, pour sa théorie, part du principe de la perfection et de la bonté divine. D'après lui, rien ne peut être aussi parfait que Dieu donc le monde n'est pas parfait, or, comme Dieu est bon, le monde qu'il a créé est forcément le meilleur

et raisonné Bérenger : - négligé - en retard - alcoolique - simplet - conciliant - mal être 1) Ce premier acte se passe dans une atmosphère comique. Bérenger : - veut aider jean, c'est lui qui représente la raison cette fois-ci. Jean : - ne veut pas d'aide - perd ses valeurs et ne sait plus se tenir ( barrissement, agitation, paroles plus familières...) 2) propos : - le front qui me fait mal - je bouillonne - enroué - je ne me laisse pas aller à la dérive, je vais tout droit

du fossé des générations. Le cas spécifique est celui d'un jeune qui essaie d'exprimer son individualité, ce qui est mal compris par la dame qui n'y voit que des vexations. Troisièmement, les rumeurs et les légendes urbaines ont souvent comme fonction la communication d'une moralité, c'est-à-dire qu'elles nous servent comme exemple pour nous aider à distinguer le bien et le mal dans ce monde de plus en plus compliqué et embrouillant. En général cette morale tend à être plutôt conservatrice, mais