Mal Desordre

le monde ; philosophie du "tout est bien". Si Dieu existe et qu'il est bon, s'il a inventé le monde, le monde est bien. Voltaire vient d'écrire en 1756, le poème sur le désastre de Lisbonne qui a était frappé au contraire par tout ce qui arrive de mal à l'homme. Il observe autour de lui, des cataclysmes, des guerres, des haines, des jalousies...et décide d'écrire Candide pour montrer au contraire que la réalité humaine est douloureuse. Pour se faire, un jeune homme naïf à qui il va faire traverser

parler comme Rousseau lui-même, de la sensibilité morale sur la sensibilité physique. Dans le cas de Rousseau, il prend fin brutalement, par un traumatisme. L'aventure du peigne cassé a des conséquences incalculables: elle marque l'apparition du mal dans la conscience de Rousseau. La découverte de l'injustice entraîne la fin de l'innocence par cela même que l'enfant s'aperçoit tout d'un coup que cette communion des coeurs à laquelle il croyait était un mensonge La connaissance de soi est pour

de Dieu, et que ça se retournerait contre lui-même. Je viens de finir de lire Les Frères Karamazov (que j’ai adoré ! mais bon ce n’est pas le sujet  ) : on peut donner l’exemple d’Ivan, qui refuse l’idée d’un Dieu. Mais finalement, il découvre le mal en lui, et sombre dans la folie (Nietzsche aussi est mort fou, on peut peut-être faire un lien). Peut-être l’homme a-t-il besoin d’un Dieu car Dieu donne un sens à sa vie, une certaine réponse aux questions métaphysiques et car Dieu est un guide. Peut-être

se retrouvent au tribunal car leurs actes sont nuisibles au bien d’autrui. Si elles ont agi comme cela, c’est que leur libre arbitre ne possède pas les mêmes codes que les lois établis. Le libre arbitre est le pouvoir de choisir entre le bien et le mal que va engendrer notre action. Si des personnes se retrouvent au tribunal, c’est que leur libre arbitre n’a pas les mêmes codes pour différentier une bonne action d’une mauvaise. La justice apparait donc être une privation de liberté en condamnant

chute est doublement importante car Eve cède à la tentation et assouvit donc son désir. En mangeant le Fruit défendu elle provoquera la fin de la vie éternelle sur Terre et succombera aux péchés. On se demandera alors si le désir est un bien ou un mal pour l'humanité ?

ECRITURE PERSONNELLE ------------------------------------------------- THEME ------------------------------------------------- LE MENSONGE Sujet : Selon vous, le mensonge est-il un mal nécessaire ? Pour tous le mensonge est une affirmation contraire, faite avec l’intention de tromper. Cette capacité à mentir est souvent prise et comprise comme vil défaut. C’est un comportement qu’utilise une personne dans le but de se protéger, d’éviter de subir les conséquences de ses actions et d’affronter

la loi de la raison. C’est la raison qui le permet ! S’il y a lieu de soumettre les choses à la raison c’est en tant que cette raison incarne la possibilité du bien et de la morale. La raison c’est l’expression du bien suprême. c) L’erreur ou le mal sont eux-mêmes à la recherche d’un intérêt ; mais ce qui en sont les auteurs commettent une erreur de raisonnement (de calcul). Leur réflexion est rationnelle par rapport à leurs intérêts personnels (individualité matérielle) mais leur réflexion

parfois nos envies de faire quelque chose. Tout d’abord, les devoirs sont issus de la conscience. En effet, l’être humain sait de lui-même ce qu’il doit faire ou ne pas faire, il sait distinguer le bien et le mal. Chaque individu aurait en lui ce sentiment naturel de s’abstenir de faire du mal autour de lui c'est-à-dire à autrui. De ce fait, le devoir serait inné à tous les hommes. A ce moment la les hommes serait qu’il faut acquérir un certain « respect » d’autrui. D’autres théories disent que le

déprendre de ce qui est chez elle et à ses yeux le propre de la vertu, n’accepte que des dieux conformes à cet idéal et regarde comme absurde tout ce qui s’en écarte. Prends l’habitude de penser que la mort n’est rien pour nous. Car tout bien et tout mal résident dans la sensation : or la mort est privation de toute sensibilité. Par conséquent, la connaissance de cette vérité que la mort n’est rien pour nous, nous rend capables de jouir de cette vie mortelle, non pas en y ajoutant la perspective d’une

univers par son travail ; il "doit cultiver son jardin". On peut parler alors d'anti-utopie. • Le jardin du chapitre 30. C’est aussi une utopie. On oublie ses grands problèmes par le travail plus qu’on ne les résout. Cet oubli est-il possible ? Le mal et la souffrance risquent de réapparaître et le désir de philosophie, c’est-à-dire de critiquer aussi. II. L’Eldorado ou la cité idéale : une utopie très voltarienne (chapitres 17 et 18)… IV. …Mais trop peu crédible : En réalité, l’Eldorado