Mal Physique Mal Moral Mal Métaphysique

l'esprit autant que possibilité en tant que conversion éternelle de la possibilité en actualité » Par opposition à individu dans la psychologie et la morale contemporaines. C'est l'être humain en tant qu'ouvert à ses semblables, intégré dans une communauté de personnes et orienté vers un idéal. Chevalier, Jacques (1882-1962) (la vie morale et l'au-delà) : « l'individu est à lui-même sa fin ; la personne a des fins qui la dépassent » Mounier, Emmanuel (1905-1950) (Personnalisme) : « la personne

L'épistolarite comme obstacle a la connaissance des personnages Dans un roman épistolaire, les personnages ne révèlent une part d'eux même ou des autres qu'en fonction des destinataires de leurs lettres. Le roman donne peu d'indications sur le physique des personnages. Les rares indications font l'objet d'un portrait multiple qui révèlent le jeu de L'épistolarité: on pourra comparer ainsi le portrait antithétique que la Marquise de Merteuil, puis le Vicomte de Valmont font de la présidente de Tourvel

philosophes en trois groupes. Premier emploi et premier groupe : philosophie comme réflexion critique : Socrate | Deuxième : philosophie comme art de vivre : Socrate ; stoïciens, épicuriens, sceptiques grecs | Troisième : philosophie comme métaphysique (savoir absolu) : philosophes du 17ème (Descartes, Leibniz, Spinoza) ; pré-socratiques | Nous cherchons ce qui peut bien être commun à ces types de discours ou plus généralement d'activité. Ce qui présuppose, bien entendu, qu'il y a des ou un

peut-elle comprendre le mal ? Intro : Position de camus, le Mal est intolérable. Qui l’a vécu le sait. Le plus souvent, lorsque l’on est face à la mort, on ne peut exprimer que l’incompréhension. Le premier sentiment que l’on a face au mal est l’incompréhension. Il parait incompréhensible, et est pou cette raison innommable. L’agent du mal est systématiquement l’irrationnel, celui qui n’est pas nommé, celui qui mérite la mort, le bannissement ou l’oubli. En ce sens, l’agent du Mal est écarté de la vie

fus pour me tourner vers l’avenir, il faudrait oublier. 2. Le passé comme acte accompli dans la faute m’impose le remords qui obsède mes pensées Plus encore, le passé peut prendre le sens d’un poids culpabilisant : ce que j’ai fait et mal fait, et que je ne peux plus refaire. Impossible de revenir en arrière pour réparer la faute commise et j’ai beau chercher à m’innocenter, impossible de « réduire au silence l’accusateur qui est en moi » (Kant). Ici ce n’est plus seulement la liberté

LE BARBOUILLÉ.- Je m’en allais vous chercher pour vous faire une prière sur une chose qui m’est d’importance. LE DOCTEUR.- Il faut que tu sois bien mal appris, bien lourdaud, et bien mal morigéné [2] , mon ami, puisque tu m’abordes sans ôter ton chapeau, sans observer rationem loci, temporis et personæ [3] . Quoi ? débuter d’abord par un discours mal digéré, au lieu de dire : Salve, vel salvus sis, Doctor, Doctorum eruditissime [4] ! Hé ! pour qui me prends-tu, mon ami ? LE BARBOUILLÉ.- Ma foi

Comment trouver les moyens de dépasser ces influences ? Idée-force : Ce débat repose des questions qui concerne plus profondément la question de : 1. (sur le plan des questions existentielles) : La liberté. 2. (sur le plan éthique ou moral) : La morale (ou raison , bonheur) 3. (sur le plan politique) : Le devoir Développement de ces trois raisons : Idée 1. (formulation de la 1er raison)Définition(s) (des mots clefs) | L’homme même s’il croit être libre, ses volontés sont en fait déterminées

la violence en même temps que sur une scène de farce. 2. L'ironie-parodie séduit surtout. Elle s'exerce aux dépens : - des grands sentiments, comme l'amour : réduction de l'amour à une leçon de physique expérimentale ; réduction de la déclaration d'amour, des premiers émois, à des impulsions physiques au sortir de table ; - des grandes idées comme la philosophie de Leibniz dont le nom n'est même pas mentionné, et dont le «Tout est bien...» se réduit à l'hyperbole risible : «Tout est pour le mieux

nature chez les jusnaturalistes renvoient à 3 paradigmes : entendue comme essence, la nature d’un être est l’ensemble des caractères qui le définissent, comme destination, elle désigne ce vers quoi cet être tend spontanément ou doit tendre par devoir (moral), comme nécessité, elle est ce à quoi un être est déterminé par la causalité de la nature. ❖ Le choix de la contingence. Rousseau se met dans la situation paradoxale de se donner la tâche de penser l’historicité de l’homme en se privant de principes

humain? La Cour définit la femme et son fœtus comme étant « une seule personne physique » puisqu’il serait impossible de défendre les droits de deux êtres dans un même corps sans restreindre les droits de l’un ou de l’autre. Ici, les apôtres de la vision du monde matérialiste prennent la parole pour trancher le dilemme. Femme+fœtus = une seule personne physique. Le fœtus n’étant pas défini comme une personne physique il n’est réduit qu’à du matériel. En effet, « la Cour refuse d’aborder la question