Malaise dans la civilisation

Sigmund FREUD (1929) MALAISE DANS LA CIVILISATION Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, Bénévole et professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi

Trois essais sur la théorie de la sexualité. -1910: Cinq leçons sur la psychanalyse -1912-1913: Totem et tabou. -1916: Introduction à la psychanalyse. -1922-1923: Le moi et le ça. -1927: L'avenir d'une illusion. -1930: Malaise dans la civilisation. -1939: Moïse et le monothéisme. Les deux topiques Freudiennes: Le mot topique signifie "lieux" et désigne des lieux psychiques distincts. Pour freud il sert à désigner le résultat d'un processus qui se déroule chez l'enfant et

Commentaire de texte : Freud : Malaise dans le civilisation, chapitre 1 Le sentiment du Moi que possède l'adulte n'a pu être tel dès l'origine. Il a dû subir une évolution qu'on ne peut évidemment pas démontrer, mais qui, en revanche, se laisse reconstituer avec une vraisemblance suffisante. Le nourrisson ne différencie pas encore son Moi d'un monde extérieur qu'il considère comme la source des multiples sensations affluant en lui. Il n'apprend à le faire que peu à peu, qu'en vertu d'incitations

reconnait pas. Il est également possible de retrouver ce malaise en lien avec la solitude. Le suicide est fréquent chez les personnes souffrant de solitude. N’est-ce pas là aussi la responsabilité de la société ? Les personnes âgées, les célibataires ou encore les chômeurs qui n’arrivent plus à se sentir utile, ces personnes qui ont un grand sentiment d’inutilité, qui n’ont plus de raison de vivre n’ayant plus grand-chose à apporter à la civilisation et qui se sentent réduit à creuser le trou de la sécurité

couche, et par l’éloignement du toit paternel. Il se décrit également comme un enfant lunatique, qui, d’une part, s’amuse avec ses camarades, d’autre part, les abandonne pour aller admirer le paysage. Il raconte également le malaise lors de ses retours au château paternel, malaise effacé seulement grâce à sa sœur ainée, Amélie, avec qui il partageait de forts liens. La mort de son père, qui a expiré dans ses bras, l’a fait réfléchir sur une possible immortalité, de l’éternité, qu’il voit au travers

décrire des êtres vivants (L.46-47 : « manchot », « invalide », « expirant », « borgne »). Le mobilier est donc comparé à un moribond. Ainsi la description se termine en vision d’Apocalypse (L. 29-30 « les débris de la civilisation ») engendrant ainsi une sensation de vertige et de malaise chez le lecteur. C’est le registre épique et pathétique de cette description qui renvoie à une forte présence du narrateur. 2°)Une forte présence du narrateur La présence du narrateur est marqué par des interpellations

Extension du domaine de la lutte, Michel Houellebeqc Intro : On œuvre brasse les préoccupations de la civilisation occidental en mêlant les souvenirs personnels, la réflexion et l'analyse psychologique. Ces personnages sont des antihéros qui exprime le malaise qu'ils éprouvent vis-à-vis des valeurs de notre société. Extension du domaine de la lutte raconte l'histoire d'un cadre moyen célibataire aupris avec une solitude intellectuelle, sentimentale et morale et observant avec un réalisme cru le

le dynamisme des classes moyennes 1 1.1. L'essor des classes moyennes 1 1.2. Les classes moyennes se définissent également par leur consommation 2 1.3. La promotion sociale par l'école 2 2. La France dans la Mondialisation (depuis 1973) : le malaise des classes moyennes 4 2.1. Les difficultés matérielles 4 2.2. L’ascenseur social en panne 4 Conclusion 5 Introduction La notion de « classes moyennes » recouvre une vaste catégorie sociale, regroupant plus d'un Français sur deux mais dont

absence de souffrances, cependant, ces progrès technologiques ne possèdent pas seulement des aspects positifs, un sentiment de malaise dû à la société transformée c’est développé lors du 20-21e siècle, de nombreuses oeuvres d’art exprimant le malaise dans la société moderne avec un aspect dystopique mais aussi des thèses philosophiques comme le “Malaise dans la civilisation” de Freud. La société moderne capitaliste repose sur la consommation de biens souvent obsolètes au consommateurs et repose sur

cette absence d’identité. Le débat sur l’identité nationale est le témoignage le plus flagrant de ce refus de la diversité, en témoigne Alain Badiou « cette identification va être négative. On ne parviendra nullement à identifier ce qu’est la « civilisation française », on va juste désigner ceux qui ne le sont pas ». Partant, si diversité culturelle signifie le cloisonnement des cultures et leur isolation, faut-il encore aujourd’hui souhaiter pour une société qu’elle soit multiculturelle ? La