Mamelles

esthétiques ou morales. b) Origine Le mot surréalisme a d’abord été inventé par Freud, découvreur de l’inconscient et de la psychanalyse. Puis il est utilisé pour la première fois par Guillaume Apollinaire pour qualifier son œuvre « Les mamelles de Tirésias (1917) », de « drame surréaliste ». Au niveau du contexte historique, il faut savoir que la Première Guerre mondiale dispersa les écrivains et les artistes qui étaient à Paris. Nombre d’entre eux étaient impliqués dans le mouvement

tête par un éclat d'obus le 17 mars 1916, alors qu'il lit "le Mercure de France" dans sa tranchée, est évacué sur Paris où il est trépané en mai 1916. Après une longue convalescence, il se remet progressivement au travail, fait jouer sa pièce "Les Mamelles de Tirésias" en juin 1917 et publie "Calligrammes" en 1918. Guillaume Apollinaire meurt le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole, affaibli par sa blessure et les gaz de combat.

burlesque, cherche à détruire toutes les valeurs humaines pour montrer l'absurdité du monde, tout en faisant éclater les catégories traditionnelles de la dramaturgie (personnages, action, etc.): Alfred Jarry, Ubu roi, 1896; Guillaume Apollinaire, Les Mamelles de Tirésias, 1917; Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve, 1950; Samuel Beckett, En attendant Godot, 1953. http://www.cafe.umontreal.ca/genres/n-comedi.htm

cubistes et les écrivains parnassiens, comme Pablo Picasso et André Salmon. Il a combattu dans la guerre et été blessé sévèrement en 1916. Après il est retourné comme un malade, il a commencé à écrire encore, produisant la pièce de théâtre fameux « Les Mamelles de Tirésias » en 1917. Durant l’épidémie de la grippe en 1918, il est tombé malade et s’affaiblissait de la blessure à sa tête, il est mort. De son premier recueil que le public a accueilli chaudement provient le poème célèbre « Le Pont Mirabeau »

j'avais d'abord employé. Surréalisme n'existe pas encore dans les dictionnaires, et il sera plus commode à manier que surnaturalisme déjà employé par MM. les Philosophes. » Celui-ci venait de mourir en 1918 et avait qualifier sa propre œuvre, Les Mamelles de Tirésias, de « drame surréaliste » -mouvement européen ? à fortune particulière dans littérature francophone belge (Paul Nougé) à Espagne (Ramón Gómez de la Serna)

étonnante pour les thèmes et la forme (pas de ponctuation). Quand éclate la guerre, il s'engage volontaire et il est envoyé au front en 1915, mais après un an il sera blessé à la tète et il retournera a Paris. Il publie un drame surréaliste, Les Mamelles de Tirésias, et une autre recueil, Calligrammes, fameux pour ses poésies-dessins. Il épouse la «jolie russe» de ses poèmes, Jackqueline Kolb, infirmière qui reste infecté par la grippe espagnole dans son travail et passe la maladie a Apollinaire

tâche surréaliste que Picasso a accomplie en peinture, [...] je m'efforce de l'accomplir dans les lettres et dans les âmes [...] » Pour Jean-Paul Clébert, c'est le poète Pierre Albert-Birot qui suggéra à Apollinaire de sous-titrer sa pièce « Les Mamelles de Tirésias », "drame surréaliste" plutôt que "surnaturaliste". Ce mot apparaît dès le 16 juin 1917 dans une lettre de Jacques Vaché à Théodore Fraenkel : « … et j'espère être à Paris […] pour la représentation surréaliste de Guillaume Apollinaire

burlesque, cherche à détruire toutes les valeurs humaines pour montrer l'absurdité du monde, tout en faisant éclater les catégories traditionnelles de la dramaturgie (personnages, action, etc.): Alfred Jarry, Ubu roi, 1896; Guillaume Apollinaire, Les Mamelles de Tirésias, 1917; Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve, 1950; Samuel Beckett, En attendant Godot, 1953

tête par un éclat d'obus le 17 mars 1916, alors qu'il lit "le Mercure de France" dans sa tranchée, est évacué sur Paris où il est trépané en mai 1916. Après une longue convalescence, il se remet progressivement au travail, fait jouer sa pièce "Les Mamelles de Tirésias" en juin 1917 et publie "Calligrammes" en 1918. Il épouse Jacqueline (la "jolie rousse" du poème éponyme) à qui l'on doit de nombreuses publications posthumes. Guillaume Apollinaire meurt le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole,

apatride. En 1916, il est blessé et trépané. Il se marie tardivement avec sa marraine de guerre. Le 9 novembre 1918, il meurt de la grippe espagnole. On lui doit entre autres : Calligrammes ; L’enchanteur pourrissant ; Le guetteur mélancolique ; Les mamelles de Tirésias (théâtre) ; Le poète assassiné (récits en prose)... Le recueil Alcools se compose comme une marqueterie. C’est un ensemble composite, révélateur des différentes facettes de la vie du poète. Les poèmes correspondent à des périodes d’écriture